Retail : les apps mobiles au cœur du parcours consommateur !

On sait désormais que 2018 sera marquée par la rencontre entre la technologie et les attentes des users. Utilisateurs qui deviennent exigeants et éduqués, ils attendent des apps qu’elles révolutionnent leur quotidien tout en leur proposant des expériences inédites et ça avec la VR/AR ou les assistants vocaux… C’est déjà dans la cartons de nos développeurs !!!

 

De la réalité augmentée au streaming vidéo, en passant par la vente au détail et les apps de Fintech, … AppAnnie vient de livrer ses prévisions pour le marché des applications mobiles en 2018.
L’année 2018 marquera le 10e anniversaire de l’App Store et d’Android Market. L’apparition des applis mobiles a bouleversé notre société à une vitesse fulgurante. En l’espace d’une dizaine d’années seulement, l’app économie a évolué sous bien des angles :

  • Google Play et l’App Store d’iOS proposent respectivement plus de 2 et 3,5 millions d’applis. De nouvelles apps font leur apparition à une vitesse exponentielle. Durant le seul mois d’octobre, l’App Store a enregistré plus de 50 000 nouvelles applications, et Google Play 150 000.
  • Sur les marchés développés, les utilisateurs passent en moyenne deux heures par jour sur les apps — ce qui équivaut à un mois par an.
  • Plus de 40 pays ont dépassé chacun la barre des 100 millions de dollars de dépenses consommateurs sur l’App Store et Google Play combinés en 2017.

 

L’expansion de ce marché se voit particulièrement dans la façon dont elle a révolutionné le quotidien des utilisateurs, les rendant de plus en plus exigeants en matière d’apps. L’aspect pratique, entre autres, joue désormais un rôle fondamental aux yeux des utilisateurs et c’est sur cet indicateur que sont basées la plupart de ces prévisions pour 2018.

 

Plus de 100 milliards de dollars dépensés sur les app stores dans le monde

L’évolution constante des marchés dans le monde a favorisé la croissance continue de la monétisation des applications. Une tendance qui devrait se confirmer en 2018, avec une augmentation des dépenses consommateurs de 30 % sur une année dans le monde, pour un total de plus de 110 milliards de dollars.

Si la catégorie Jeux enregistrera une fois encore le plus gros chiffre d’affaires, la part des dépenses des autres catégories devrait également augmenter l’an prochain — son taux de croissance dépassant de loin celui des jeux.

Ce changement, largement dû aux abonnements, reflète parfaitement l’expansion de l’app économie à l’heure où les utilisateurs se font de plus en plus nombreux.

 

Les apps stores passe à la curation de contenus

Le marché mobile compte un nombre incalculable d’applications — nombre qui ne cesse d’augmenter chaque jour.

Si cette diversité est un véritable atout pratique pour les utilisateurs, difficile pour les apps d’être découvertes au milieu d’un tel catalogue.

En juin 2017, Apple et Google annonçaient tous deux une mise à jour de leurs app stores respectives, grâce à la curation du contenu des apps.

À l’heure où ces changements gagnent du terrain, ils auront en 2018 des répercussions non négligeables sur les apps permettant aux utilisateurs d’occuper leur temps libre. Ce type d’applications, principalement axées sur le divertissement, sont maintenant plus susceptibles d’être proposées aux consommateurs lorsqu’ils naviguent dans les app stores.

À l’inverse, les applications « de première nécessité » (comme la livraison de repas à domicile, le paiement électronique, etc.) sont plus susceptibles d’être promues par le bouche-à-oreille ou une recherche bien spécifique répondant à un besoin particulier de l’utilisateur.

En outre, cette curation de contenus est un puissant outil pour Apple et Google qui peuvent désormais mettre en avant des apps nouvelles ou méconnues, conçues par des développeurs indépendants.

Le système de monétisation des applications « passe-temps » reposant souvent sur les achats intégrés, il y a fort à parier qu’en plus de dynamiser ces derniers, cette visibilité nouvelle profitera à un plus grand nombre d’éditeurs.

 

Des apps « coup d’œil » pour encourager l’adoption de la réalité augmentée (RA)

Si Pokémon GO et Snapchat ont su susciter l’engouement des utilisateurs pour la réalité augmentée, leur conception ne fait qu’effleurer la surface des nombreuses possibilités qu’offre cette technologie.

AppAnnie prévoit que l’année 2018 sera un véritable tournant pour la RA. Une révolution encouragée par le lancement d’initiatives majeures de RA en 2017, présentées lors des conférences développeurs de Facebook, Google et Apple — pour ne citer qu’eux — ou encore Alibaba, Baidu et Tencent pour le marché asiatique.

Un bon coup de pouce pour la technologie qui facilitera l’accès à la RA aux éditeurs et aux développeurs d’applications tout en piquant la curiosité des consommateurs.

On constatait d’ailleurs en septembre 2017 un regain des recherches et des téléchargements sur iPhone pour les meilleures apps de réalité augmentée.

Dès septembre 2017, on note une hausse significative des téléchargements d’apps en RA sur iPhone. Un phénomène explicable par l’apparition de nouvelles apps spécialisées et par l’ajout de cette fonctionnalité à des apps déjà existantes.

Côté jeux, la sortie prochaine de Harry Potter: Wizards Unite par Niantic devrait venir gonfler la popularité du développeur de Pokémon GO en même temps que l’engouement général pour la réalité virtuelle.

Alors qu’un nombre grandissant de développeurs se lance dans la course à la réalité augmentée, on s’attend à voir fleurir des apps « coup d’œil » reposant sur l’ajout de couches d’informations contextuelles sur le monde réel — à l’image des systèmes proposés par Google Translate ou MLB.com At Bat.

Ce type de fonctionnement, plus simpliste et susceptible de plaire au plus grand nombre, sera plus à même d’attirer durablement un maximum d’utilisateurs vers la RA, et ce, dans un contexte autre que celui du simple divertissement (ex. : jeu, filtres photo).

 

Retail : les apps mobiles au cœur du parcours consommateur

Au fil des ans, les téléphones portables sont devenus de véritables alliés pour les consommateurs. Au début simple outil de recherche (prix, informations sur les produits, avis…), il est rapidement devenu un canal de vente à part entière. En conséquence, les commerçants traditionnels ont adopté les apps et révolutionné le parcours consommateur.

Aujourd’hui, les acheteurs sont fidèles aux apps mobiles. Au 31 octobre 2017, les utilisateurs Android américains et anglais passaient en moyenne près d’une heure par mois sur les apps de shopping contre près d’une heure et demie pour les Sud-Coréens.

En outre, avec 1 milliard de dollars dépensés en une journée sur les terminaux mobiles américains, le Black Friday 2016 a marqué une journée record pour l’industrie. Quant au Jour des Célibataires d’Alibaba en 2017, les utilisateurs mobiles représentaient 90 % des ventes.

Si auparavant, on distinguait aisément Bricks-and-Clicks et Digital-First, la frontière est aujourd’hui de plus en plus ténue en raison des différentes acquisitionsdes partenariats noués et des innovations apportées.

Des facteurs qui influencent le parcours consommateur tant en boutique qu’à la maison ou sur le plan de la livraison. Gageons qu’en 2018, ces changements influenceront les habitudes de consommation des utilisateurs qui réévalueront leur relation aux canaux de vente existants, voire, la nature même de certains d’entre eux (ex. : applications, sites web, boutiques physiques).

Citons l’exemple de la Chine, où les consommateurs voient de plus en plus les boutiques physiques comme des lieux où récupérer la marchandise achetée sur mobile.

Par ailleurs, le rôle d’enregistrement des paiements des caisses enregistreuses risque fort de se voir confier, en partie tout au moins, aux terminaux mobiles. Dans les années à venir, les attentes des consommateurs en matière de confiance, de valeur et de commodité augmenteront progressivement pour donner naissance à un nouveau modèle de vente.

Pour beaucoup de consommateurs, le mobile sera un élément central de l’expérience de shopping, tout canal confondu.

Les agrégateurs de restaurants développe le mobile, à mesure que la livraison à domicile pénètre les marchés premium

La livraison de plats à domicile a connu certaines acquisitions. Grubhub, par exemple, a finalisé son rachat de Eat24, étoffant par la même occasion son impressionnant catalogue de marques.

L’an prochain, AppAnnie prévoit que les grands groupes (comme GrubhubJust EatYogiyocontinueront de cibler les marchés potentiels où l’offre est rare et convertiront les amateurs de restauration rapide à l’utilisation des applis.

Dans le même temps, les services de livraison (comme UberEATSDeliveroogagneront des parts sur les marchés premium où les consommateurs sont plus enclins à payer plus pour des expériences de qualité et l’accès à des restaurants hauts de gamme, plus onéreux et ne possédant pas leur propre service de livraison.

En outre, davantage de restaurants à service rapide (RSR) seront susceptibles de contrer la concurrence grandissante en s’associant à des applications proposant des services de livraison. En témoigne le partenariat fructueux entre McDonald’s et UberEATS.

À l’instar de l’industrie du streaming vidéo, ce marché devrait se consolider dans les années à venir, tandis que les consommateurs éliront leurs services favoris et que les pressions budgétaires se feront de plus en plus fortes sur ce marché hautement concurrentiel.

Le marché des assistants vocaux dynamisé par de nouveaux concurrents et les achats saisonniers

En 2014, Amazon inaugurait le marché des assistants vocaux en lançant la première version de son dispositif Echo. Un marché qui a depuis gagné en popularité avec l’arrivée d’Echo Dot. Sorti en 2016 à l’approche des fêtes de fin d’année, son prix d’appel de 49,99 $ a fait décoller les ventes.

Les téléchargements d’Alexa, l’app partenaire d’Amazon, ont décollé en octobre 2016 avec la sortie d’Echo Dot (50 $), avec un regain d’activité à l’approche des fêtes et du Prime Day d’Amazon.

 

Un phénomène amplifié le 12 juillet dernier, à l’occasion du Prime Day d’Amazon, alors que l’appareil affichait un prix défiant toute concurrence.

La tendance devrait s’accentuer en 2018, avec une augmentation des ventes au gré des évènements saisonniers (fêtes de fin d’année, Prime Day) et des opérations promotionnelles. Les ventes d’assistants vocaux seront également dynamisées par la sortie du Google Home Mini (vendu 49 $) et de nouveaux arrivants sur le marché comme Apple, Samsung ou les géants chinois Alibaba et Baidu.

Si cette soudaine popularité a éveillé l’intérêt des développeurs pour ces plateformes, leur mode d’utilisation restera plus ou moins inchangé en 2018 (musique, recherches internet basiques et tâches utilitaires).

En attendant de trouver de nouvelles utilisations pour les assistants vocaux, les utilisateurs les plus aguerris devraient se tourner de plus en plus vers d’autres objets connectés (contrôle de l’éclairage, du chauffage, de l’équipement audiovisuel, etc.)

 

Les plus gros changements restent à venir

Ce ne sont là qu’une poignée de secteurs de l’app économie susceptibles d’évoluer dans un avenir proche. Malgré une progression fulgurante au cours de ses premières années d’existence, ce marché n’en est qu’à ses balbutiements. L’exigence grandissante des utilisateurs devrait pousser les développeurs à redoubler de créativité et stimuler l’avancée technologique.

Les utilisateurs ne se satisfont plus d’applications proposant uniquement de reproduire les activités disponibles par le biais d’autres plateformes. Ils attendent des apps qu’elles révolutionnent la façon dont ils accomplissent leurs objectifs et leurs tâches quotidiennes tout en leur proposant des expériences inédites.

Il nous tarde de voir comment les développeurs repousseront les limites de la technologie actuelle pour combler ces attentes dans les dix années à venir…

 

Source : comarketing-news

Noël : 38% des e-acheteurs utiliseront leur mobile

Les chiffres a retenir qui marquent l’empreinte des générations et la nécessaire adaptation du #frenchretail aux nouvelles habitudes et aux nouveaux usages des acheteurs : 1 acheteur sur 2 de moins de 35 ans utilisera son appli mobile pour faire ses achats de Noël, c’est 1 sur 3 pour les 35/54 ans et 1 sur 10 pour les + de 55 ans ….

Si l’ordinateur reste sans conteste le support de prédilection des français pour leurs achats de Noël, les sites mobiles et applications prennent de plus en plus d’importance, notamment dans la phase de préparation des achats…

 

Selon une précédente étude sur les intentions d’achat pour Noël 2017, 37% des cadeaux seront principalement achetés sur Internet cette année.

Le Black Friday (24 novembre) a donné le top départ de cette course pour les achats de Noël en France, qui représente une période cruciale pour le e-commerce.

Webloyalty, spécialiste de la monétisation d’audience des sites e-commerce, s’est de nouveau intéressé aux comportements d’achats des Français pour cette période de consommation clé de l’année et plus particulièrement à l’utilisation de leurs équipements (ordinateur, tablette, smartphone).

Principal constat: 38% des acheteurs en ligne se rendront sur le site mobile d’un e-commerçant depuis leur smartphone pour préparer et/ou acheter leurs achats de Noël.

 

Le mobile continue de progresser mais l’ordinateur reste la norme

Ordinateur, tablette, smartphone, applications… les Français sont de plus en plus connectés. Ils utilisent plusieurs appareils pour préparer et réaliser leurs achats de Noël, même si, sans surprise, l’ordinateur reste le grand gagnant, utilisé par 97% des acheteurs en ligne.

Parmi cette majorité d’utilisateurs, 21% d’entre eux l’utilisent uniquement pour préparer leurs achats contre 79% pour préparer et payer leurs achats de Noël.

La tablette est utilisée par 37% des acheteurs en ligne dont près de la moitié (53%) l’utilise uniquement pour préparer leurs achats de Noël contre 47% pour préparer et aussi régler ces achats.

Le site mobile d’un e-commerçant est utilisé via le smartphone chez 38% des acheteurs en ligne pour préparer et/ou régler leurs achats de Noël, contre 31% qui utlisent l’application mobile d’un e-commerçant. Cette dernière est le canal qui convertit le mieux les intentions d’achats, après l’ordinateur, avec 59% de conversion, quand le site mobile sur smartphone atteint 49%.

Webloyalty note que les Français restent moins nombreux à préparer et finaliser leurs achats sur les appareils mobiles vs sur l’ordinateur : ils sont 47% sur tablette, 49% sur smartphone via le site mobile et 59% via une application mobile smartphone, contre 79% sur l’ordinateur.

 

 

 

Une utilisation du mobile différente selon les âges

Webloyalty constate une uniformité des usages des appareils mobiles entre les femmes et les hommes. 30% des femmes utilisent le smartphone via une application mobile contre 31% des hommes et le smartphone via le site mobile est utilisé par les hommes et les femmes à 38%. Une différence s’établit entre les genres pour l’utilisation de la tablette, plus prisée chez les hommes (40%) que chez les femmes (34%).

Si les hommes et femmes seront aussi nombreux à utiliser le smartphone que ce soit sur le site mobile ou sur l’application, Webloyalty remarque une différence en fonction des âges. En effet, les 18-34 ans sont beaucoup plus nombreux à utiliser leur smartphone via le site mobile et via l’application pour leurs achats de Noël, respectivement à 64% et 51% contre 18% et 14% chez les 55 ans et plus.

Quant aux 35-54 ans, ils utilisent les appareils mobiles de manière équilibrée : 40% d’entre eux se servent de la tablette, 41% le smartphone via le site mobile contre 34% le smartphone via l’application.

 

Rodolphe Oulmi, Directeur Général de Webloyalty France commente :

« Les Français utilisent encore majoritairement leur ordinateur pour effectuer des achats en ligne et les devices mobiles restent davantage utilisés pour la préparation de ces achats.

Seule exception à la règle, les applications mobiles, puisque celles-ci ont une utilisation autant de recherche que de paiement lors des achats en ligne pour près de 60% de ces utilisateurs.

Une tendance qui s’explique par la capacité des e-commerçants à proposer des dispositifs de paiement sur mobile toujours plus fluides, rapides et securisés ».

 

Source : comarketing-news

Webdesign : les 10 tendances à suivre pour 2018 !

Vous voulez tout savoir sur les tendances du webdesign et de l’UI pour 2018 ? En voila déjà une dizaine à mettre en place de toute urgence !

Nous vous présentons les tendances à venir en matière de webdesign !

En 2018, apprenez à mieux communiquer avec vos clients en adoptant une stratégie webdesign pertinente et dans l’air du temps.

1. Card design

Rendu populaire grâce aux social média, le card design est considéré comme l’avenir du web. Pinterest l’a adopté en 2017, mais la mode est directement inspirée de Metro Design sur Windows. Le card design, c’est une présentation originale, faites de plusieurs grilles sur une page, avec différentes icônes dans des blocs à l’horizontal.

L’avantage : une meilleure expérience utilisateur, notamment sur mobile. Un contenu interactif et facilement modulable.

Windows 8 exemple de card design
Windows 8 exemple de card design

    2. Hamburger Menu ou Menu latéral

Il y a de fortes chances que vous ayez déjà vu le « menu hamburger » dans le coin supérieur de sites Web mobiles. Ce sont trois lignes empilées pour reproduire la forme d’un hamburger. Cette fonctionnalité a été développée afin d’intégrer de manière optimale le menu de votre site Internet sans prendre trop de place.

L’avantage principal du menu hamburger, c’est d’avoir une esthétique minimaliste, qui colle bien avec le flat design. Le hamburger permet de condenser l’information, et de ne pas emcombrer votre site. Cependant, il peut avoir des inconvénients importants. Le menu étant caché, il est peu visible par votre utilisateur. Cacher certaines fonctionnalités de votre site peut nuire à votre taux de rebond. Alors, attention ! Voici une analyse complète sur le menu latéral.

Side Menu / Hamburger menu webdesign
Side Menu / Hamburger menu webdesign

  3. Inboud video

Utiliser la vidéo pour votre marketing, c’est so 2018 ! Proposez du contenu vidéo à vos lecteurs et autres clients potentiels, c’est engageant. Les influenceurs et les entreprises créent de l’interaction en créant des mises en situation et travaillent de vrais stratégies de contenus audiovisuels. Sur le web, vous devez intéresser votre client, en proposant une vidéo informatif, avec un contenu à forte valeur ajoutée.

Vous pouvez, par exemple, à la section « A propos » de votre site web, préférer une belle vidéo à un contenu textuel. Sur les réseaux sociaux, proposez des solutions adaptées à votre cible (par exemple, la recette de cuisine traditionnelle dorénavant filmée en vidéo). Voici un lien pour aller plus loin.

  4. Material Design

Du flat design au Material Design. Alors qu’Instagram a lancé la tendance flat design il y a bientôt 3 ans, Microsoft (encore eux), ont promu le Material Design. Le Material Design, c’est un logo en flat design avec des ombres. Tout en conservant le minimalisme du flat design.

 Material Design : un mix de Flat Design,de Skeuomorphisme et de nouveautés.
Material Design : un mix de Flat Design,de Skeuomorphisme et de nouveautés.

 

  5. Cinemagraphs

Le cinémagraph est une image animée à laquelle on ajoute un mouvement de répétition. Bien connue des réseaux sociaux, avec notamment Instagram et l’application Boomerang, le cinemagraph est une technique qui va cartonner en 2018, selon plusieurs agences web.

Pour réaliser une vidéo en cinemagraph, vous pouvez créer un GIF sur Photoshop, et suivez le tuto ci-dessous.

Le cinemagraph est un contenu engageant. Par exemple, cela permet de créer une vue à 360 degrés d’un produit, de mettre en avant un lieu, un service, et permet de mettre l’accent en particulier sur un de vos produits phares. C’est une manière drôle et décalée de communiquer.

Pour rentrer de plein pied dans la nouvelle année, ajouter 360 cinemagraphs à vos pages produits ou à votre menu de navigation.

  6. Applications Web progressives (PWA)

On appelle application web progressive ou progressive web app, (PWA) une nouvelle tendance créée par les développeurs, qui consiste à naviguer sur un site web hybride, entre page web et application mobile. Le principal avantage des applications web progressives, c’est le fait qu’elles puissent être identifiables sur les moteurs de recherche. Elles peuvent être directement téléchargées sur votre téléphone sans passer par les plateformes classiques.

Les PWA sont facilement partageables, et peuvent être consultées hors-ligne, et fonctionnent sur tous les supports (mobile, tablette, smartphone). Naviguer sur une application web progressive permet de consulter un site web avec des fonctionnalités améliorées, comme par exemple en incluant des notifications push, des écrans de démarrage, le mode hors ligne et des transitions de pages animées.

Dernier avantage, et pas des moindres, les applications web progressives fournissent des mécanismes de livraison qui évitent l’espionnage, et la falsification.

PWA application web progressives, entre application et site web
PWA application web progressives, entre application et site web

  7. Chat bots avec intelligence artificielle

Le chat bot est un programme informatique permettant de lire des messages sur un site web et de proposer une réponse adaptée. Messenger a récemment intégré un boot de chat, qui permet de répondre de manière spontanée via un robot à vos clients. Et ainsi de totalement transformer votre SAV. De nombreux sites ont adapté la technologie des chats box sur leurs sites web. Si certains utilisateurs se plaignent, pour l’instant, de la piètre qualité de certaines réponses obtenues via le chatbot, il est fort à parier que cette technologie va devenir plus intelligente, et que 2018 sera l’année des chat bots.

Exemple de chat bot sur mobile
Exemple de chat bot sur mobile

  8. Bottom Sticky Elements

Les développeurs s’adaptent aux lecteurs. Alors que nous lisons de droite à gauche, les utilisateurs s’habituent de plus en plus à cliquer en bas de leur écran sur leur smartphone pour commencer leur navigation. Il fallait donc répondre à ce besoin. Les développeurs collent donc désormais des éléments en bas des sites, comme des menus déroulants à faire défiler à partir du bas, et non du haut.

Les applications Web progressives sont en grande partie responsables de ce changement de conception.

   9. Pages Web sécurisées et applications sécurisées

En 2017, les problèmes liés au piratage malveillant sur Internet n’ont cessé d’augmenter. Il est donc primordial de protéger vos contenus et vos plateformes. En 2018, l’un des objectifs prioritaires est de redonner confiance aux utilisateurs qui se rendent sur votre interface. Conséquence, il faut sécuriser les téléchargements, les formulaires de contact, les donnés bancaires, utiliser une URL HTTPS, protéger vos transactions.

  10. Adapter une typographie audacieuse et expressive

2018 est l’année du minimalisme. Il faudra donc adapter votre typographie en tant qu’élément de design, et la placer au centre de votre communication. Il faut oser ! Trouver des polices colorées et artistiques, à la place des images. Les images, trop lourdes, peuvent être remplacées par une typo. Soignez vos entêtes et placez des designs textuels dynamiques et créatifs, avec un beau call to action, et une landing page travaillée. Voici un calendrier de typo tendances en 2018.

Exemple de design 2018
Exemple de design 2018

Source : FocuSur

Darty en leader du retail as a service !!

Les enjeux du #frenchretail face aux révolutions actuelles participent plus à des plans de survie que de la logique évolution des offres. Chez Darty, on montre qu’on en a vraiment pris conscience et leur plongée pour ré-enchanter l’expérience client en s’appuyant sur des services et des offres innovantes (expérience digitale, programme de Fid différent, omnicanal repensé, offre BtoB …) doit être une piste inspirante à l’heure du #amazoniscoming ...

Fnac Darty a annoncé son nouveau plan stratégique ‘Confiance+’. Ce premier plan Fnac Darty prend appui sur les forces des deux enseignes, et sur la bonne avancée de leur intégration. Au-delà du plan de synergies de 130 ME pour fin 2018, le nouveau groupe a pour ambition de créer « la plateforme omnicanale de services de référence en Europe ». Fnac Darty vise ainsi à moyen terme une croissance supérieure à ses marchés, et une marge opérationnelle de 4,5% à 5%.

Confiance+ vise à faire du groupe un leader de l’ère du ‘Retail as a Service’ nouvel enjeu des acteurs de la distribution, qui requiert d’offrir des services innovants tout au long de l’expérience d’achat.

Le déploiement de la plateforme Fnac Darty repose sur 2 piliers, un écosystème Fnac Darty enrichi et une plateforme omnicanale ouverte.

Disposant déjà d’une offre de produits jugée ‘pertinente et compétitive’, en phase avec les dernières innovations, le groupe compte approfondir son positionnement de spécialiste, tout en s’appuyant sur des relais de diversification ciblés (cuisine, nouvelles catégories majoritairement en marketplace).

Par ailleurs, cette offre de produits sera indissociable de « la meilleure gamme de services du marché » (conseil, financement, livraison, SAV).

Enfin, les clients du groupe bénéficieront de programmes d’abonnements et de fidélisation innovants. Ils seront adossés à l’offre de services du groupe, offriront des avantages croisés entre les enseignes, seront enrichis par des offres personnalisées et ouverts à des partenaires tiers.

En capitalisant sur ses deux marques emblématiques, Fnac Darty va ainsi déployer un écosystème enrichi permettant « d’offrir la meilleure proposition de valeur à ses clients ».

Afin de proposer aux clients et aux partenaires des produits et des services accessibles partout, sous tous les formats, à tout moment, Fnac Darty entend poursuivre l’extension de son réseau de magasins, en accélérant notamment son développement en franchise. Par ailleurs, le groupe compte capitaliser sur la modernité et l’efficacité de son outil logistique en l’ouvrant progressivement à des tiers. Enfin, Fnac Darty entend déployer une expérience digitale ‘best in class’ en magasin, afin de mieux répondre aux nouveaux usages des consommateurs. Le groupe a pour ambition de proposer « la meilleure expérience omnicanale de son secteur ».

Confiance+ repose sur plusieurs initiatives :

  • Des gains de part de marché sur les trois grandes catégories de produits, en particulier sur les produits blancs ;
  • Le développement de l’empreinte omnicanale, soutenu par un plan d’investissements dédié à la digitalisation des magasins, aux plateformes e-commerce et aux actifs logistiques ;
  • Une marketplace multi-enseignes et multi-pays dont le volume d’affaires devrait tripler par rapport à son niveau de 2016 ;
  • Plus de 200 nouvelles ouvertures de magasins en franchise ;
  • Plus de 100 nouveaux magasins ou corners dédiés à l’offre Cuisine ;
  • Une offre de services renforcée, reposant notamment sur des partenariats avec des leaders du secteur, à l’image du lancement du Bouton Darty dans l’écosystème Google Home ;
  • Le lancement d’un service ‘Smart Home’, d’assistance pour les appareils connectés opéré par Darty ;
  • La création d’une entité dédiée à une offre de services BtoB ;
  • L’enrichissement des programmes d’abonnements (Fnac+ et Darty+).

Source : Boursier.com

La grande distribution confrontée aux nouvelles tendances de consommation !

Quelles solutions mettre en place ? Quand l’hypothèse de départ est que le client veut faire autre chose qu’acheter dans les magasins ? Le Digital ? (oui bien sûr) mais on saupoudre… Le contact humain ? (évidemment) mais c’est la base de ce commerce physique qui n’oublions pas, est le détenteur historique de la relation client ! La data (certainement) pour anticiper et cibler les attentes mais attention à l’aspect intrusif et au manque de finesse des sollicitations… La Solution ne sera pas une, elle est multiple et sera innovante, construite autour de l’expérience client, elle va devoir réinventer des usages, comme en son temps (il y a 10ans) Steve Jobs et son téléphone, appareil photo, walkman … cet iPhone vendu à 1milliard d’unité en créant le besoin !!

L’accès plus fréquent à l’information a transformé, ces dernières années, le comportement des consommateurs. Ces derniers sont plus exigeants, mieux informés, plus connectés, pressés et de plus en plus attentifs à ce qu’ils consomment. Pour répondre aux attentes de ces acheteurs modernes et suivre le rythme des nouvelles tendances de consommation, les acteurs historiques de la distribution vont devoir se réinventer car de grands défis les attendent !
Le plus important serait sans doute celui de faire face au commerce électronique qui progresse depuis une quinzaine d’années. La vente en ligne a enregistré un chiffre d’affaires de près de 2000 milliards de dollars en 2016, en hausse de 24 % par rapport à 2015.

La croissance impressionnante du e-commerce

La France est l’un des plus grands marchés pour l’e-commerce en Europe avec un chiffre d’affaires de 72 milliards d’euros en 2016 contre 31 milliards d’euros en 2010 et 8.4 milliards d’euros en 2005. Selon la Fédération de l’e-commerce et de la vente à distance, les français ont dépensé 20 milliards d’euros sur Internet au premier trimestre 2017, soit une croissance de 14,2% par rapport au premier trimestre 2016. Le chiffre d’affaires mondial du e-commerce BtoC s’est élevé à près de 2000 milliards de dollars en 2016, en hausse de 24 % par rapport à 2015.
Des chiffres qui reflètent la progression astronomique du commerce électronique au cours de ces quinze dernières années. Ce dernier a favorisé le développement d’une multitude de nouveaux services causant la baisse de fréquentation des magasins physiques. Aux USA, la fréquentation des centres commerciaux a diminué de 60 % en 10 ans. Et pour cause le sentiment de pouvoir et de liberté que le e-commerce procure aux internautes. Ces derniers par un simple clic ont accès à une infinité d’offres à travers la planète et cela sept jours sur sept. Sans oublier le gain de temps et d’argent qu’offre l’achat en ligne aux cyberacheteurs. Mais cette montée en puissance du web sonne-t-elle la fin des réseaux physiques ?

Y a-t-il encore une place pour le magasin physique ?

Même si la vente en ligne représente moins de 9 % du total des ventes de détail dans le monde, elle oblige les réseaux de distribution classiques à se repositionner. Les spécialistes s’accordent à dire que le magasin physique aura toujours sa place à condition qu’il soit repensé pour s’adapter aux nouveaux comportements des clients.
Touchées de plein fouet par l’arrivée d’Internet et de pure players, certaines enseignes traditionnelles n’ont pas hésité à se réinventer pour rester dans la course. L’émergence du commerce électronique a favorisé l’apparition de nouveaux concepts de magasins et la multiplication de nouvelles propositions commerciales. 

Le digital, la nouvelle arme des magasins physiques ?

Le consommateur d’aujourd’hui veut tout, n’importe où et n’importe quand. 74 % des français supportent de moins en moins de faire la queue et 85 % d’entre eux apprécient que les vendeurs soient passionnés par ce qu’ils vendent. Ils sont de plus en plus nombreux à vouloir faire autre chose qu’acheter dans les magasins. Pour répondre aux nouvelles aspirations des clients et faire face à la montée en puissance du e-commerce, les points de vente physiques ont dû se restructurer, revoir leur stratégie, repenser le parcours client dans sa globalité… Et si la solution était de se servir du digital et d’utiliser des dispositifs digitaux ?
Inclure le digital dans le magasin physique offre à ce dernier un nouveau visage : Bornes d’information et d’expérimentation, solutions de drive permettant de retirer en magasin une commande passée en ligne, interactions extérieures, étiquettes intelligentes connectées permettant d’éviter la case « caisse », vendeurs équipés de tablettes proposant aux clients des services élargis, espaces de démonstration en libre-service, mur digital interactif et connecté permettant de visualiser les produits de l’enseigne, cabines d’essayage qui scannent le corps du consommateur afin de déterminer ses mensurations… 

Une autre approche du client

Outre la digitalisation, le levier fort de différenciation dans le magasin passe par le contact humain. Le but étant d’offrir au client une expérience personnalisée et conviviale. A l’ère de l’individualité reine, l’enjeu est de répondre aux attentes de clients de plus en plus exigeants et d’anticiper leurs besoins, des attentes de fluidité et de proximité mais aussi d’émotion. Grâce au Data, les enseignes disposent aujourd’hui d’une mine d’informations leur permettant de mieux connaître leurs clients afin de cibler leurs attentes.
Source : ac-franchise

Monoprix vous fait dicter votre liste de courses avec Google Home

Monoprix restera dans l’histoire comme le premier a être passé au conversationnel. Grace à la Google Home, vous pourrez désormais préparer votre liste de course et être livré directement. Petite finesse, le service fonctionne à partir de la carte de Fidélité, l’assistant a donc accès aux préférences d’achat du consommateur.  »OK Google je dois acheter un iPhone X  » … A tester…

Ok Google, je veux le beurre et l’argent du beurre.

Il y a ceux qui ont de la mémoire, et ceux qui ont besoin de faire une liste des courses. Mais comme ils l’oublient aussi, les achats peuvent vite devenir difficiles. Si la plupart des enseignes de la grande distribution française permettent de faire ses courses en ligne pour s’épargner des trajets, il n’y en a pour le moment qu’une seul qui a adopté le conversationnel : Monoprix. Accompagnée de l’agence , spécialiste de la data, la marque du groupe Casino a officiellement annoncé la disponibilité de son service sur Google Home, l’assistant vocal de Google. Connecté à de nombreux services et applications, ainsi qu’aux appareils de la maison, cet assistant vous permet de tout piloter par la voix. Du lancement de Netflix à l’intensité lumineuse de vos ampoules connectées, et désormais à l’enregistrement de votre liste de course.

« Ok Google, je dois acheter des yaourts » suffira à ce que Google Home ajoute à votre liste vos yaourts préférés. En effet, pas besoin de spécifier les marques (c’est possible pour plus de précision) puisque le service conversationnel mis en place par Monoprix fonctionne à l’aide de la carte fidélité du magasin. L’assistant a donc accès aux préférences d’achat du consommateur. S’il le souhaite, ce dernier pourra consulter la liste engagée et la vérifier en ligne avant de l’envoyer lui-même au service de livraison du magasin. Cependant Google Home est aussi capable d’automatiser cette tâche.

Pour Monoprix, être le premier acteur français sur la brèche en matière d’achat conversationnel est un gage de modernité. Une façon d’améliorer l’expérience consommateur en le soulageant de la nécessité de mémoriser ou de noter ses idées d’achat au fil de l’eau. Mais c’est aussi une source potentielle de profit. Le service de Monoprix permettra d’effectuer des recommandations d’achat par l’intermédiaire de la voix de Google Home. Si le consommateur achète des œufs, il pourra se voir proposer de la farine ainsi qu’une liste de recettes pour concevoir crêpes et gâteaux. Monoprix pourra donc proposer aux annonceurs un service payant de recommandation de leurs produits, de la même façon que le magasin facture ses têtes de gondole.

Source : La réclame

Amazon devoured 55% of Black Friday online orders

55% ! Oui 55%… C’est la part des transactions AMAZON dans l’ensemble des transactions aux US lors du Black Friday! Quand certains #frenchretail pensent qu’ils ont le temps, qu’ils continuent d’appliquer des process d’une époque complètement révolue (celle des SSII) où il faut 18 mois pour sortir une application mobile ou un module de prise de commandes sur tablettes instore … Un autre chiffre pour enfoncer le clou : c’est WALMART qui monte sur la seconde marche du podium, on se dit que c’est normal avec tous les efforts consentis par le Géant du retail US vers le Digital … Mais quand on voit le pourcentage 8,8% et qu’on le compare au 55% d’Amazon on se dit que le chemin va être long !!

Dive Brief:

  • Amazon was responsible for 55% of all online transactions that occurred on Black Friday, as well as for more than 45% of online checkouts completed on Thanksgiving Day, according to data supplied to the publication Dealerscope by analytics company Hitwise.
  • That means Amazon accounted for 7.14 million of 13 million transactions that occurred on Black Friday, as well as 5.64 million of the 12.5 million orders placed on Thanksgiving Day.
  • Separately, marketing technology company Amobee, which monitors digital content engagements and their relation to various brands told Retail Dive via e-mail that 36% of all Black Friday digital content engagement was Amazon-related. In comparison, early yesterday through 7 a.m. Eastern Standard Time, about 55% of all Cyber Monday digital content engagement was Amazon-related.

Dive Insight:

It comes as little surprise that Amazon dominated the biggest holiday shopping reason of the year. However, hearing in real numbers just how much the e-commerce giant commanded this past weekend is still a bit startling.

According to the stats that Hitwise provided to Dealerscope, the company that came in second to Amazon for share of online transactions on Black Friday was Walmart, which was responsible for almost 1.14 million transactions. That 8.8% share of the total sound impressive until you put it next to Amazon’s 55%. Walmart got a somewhat bigger piece of the pumpkin pie on Thanksgiving, taking an almost 14% slice out of online transactions.

Walmart has done a lot with its online endeavors and acquisitions to make us believe it should be identified as being in the same league as Amazon, but that numbers comparison makes the whole thing sound laughable.

Meanwhile, the rest of the top 10 in online transactions from Black Friday included, in order: Best Buy, Kohl’s, Target, Apple, Macy’s, Old Navy, Home Depot, GameStop, and Toys R Us. Curiously, neither Apple nor Old Navy made the top 10 on Thanksgiving — both Costco and GameStop did.

With more shopping moving online and on mobile, more Amazon dominance is expected to come. Amobee likened Amazon’s online dominance over Black Friday weekend to a successful sports team with a home court advantage, and the fact is that everyone else in the retail sector increasingly will be played on Amazon’s home court.

With this in mind, Cyber Monday wasn’t starting out much differently yesterday, with Amazon dominating again, according to Amobee’s digital content insights. However, Target and Walmart are also becoming a bigger part of the Cyber Monday conversation, with Target generating 32% as much Cyber Monday digital content engagement as Amazon. The digital deals week isn’t over. Many retailers, including Amazon and Target will keep the cyber sales going throughout the week.

 

Source : Retaildive

Le nouveau concept de magasin de Coolblue sera lancé l’an prochain en Belgique

Dans l’exploration de nouveau concepts retail Coolblue XXL (magasin de l’e-commerçant Coolblue) est à suivre aux Pays Bas. Ces nouveaux magasins font la part belle à une expérience client centrée sur l’essai et le test de plus de 1000 produits (un volume important ! et ça c’est nouveau) accompagnés par des spécialistes de chaque univers mais aussi par des bornes d’informations digitales ou du click and collect instantanées (dans la minute)… Pas forcement une révolution ces idées, mais on sent bien que le concept est pertinent car en phase avec nos propres attentes …

Coolblue a inauguré, à Amsterdam, un nouveau concept de magasin, Coolblue XXL. Dans ce point de vente de 1700m2, on trouve un assortiment de plus de 1000 produits pouvant être testés sur place, ainsi que des spécialistes présents dans chaque catégorie de produit pour guider le consommateur. Ce tout nouveau concept, « pièce maîtresse de Coolblue », sera lancé en Belgique dès l’année prochaine.

 

Coolblue XXL, tel est le nom du nouveau concept de magasin de l’e-commerçant Coolblue. Le premier point de vente répondant à ce concept remplace l’ancien magasin de la Gustav Mahlerlaan d’Amsterdam, et s’étale désormais sur une surface de 1.700m2, soit 5 fois la taille du précédent. Les consommateurs y trouveront plus de 1.000 produits pouvant être testés sur place, mais aussi, pour l’anecdote, une oeuvre monumentale faîte en boîte de carton. « Nous avons écouté attentivement nos clients et employés et avons mis en place de nombreuses améliorations, petites et grandes. La plus grande amélioration se situe dans l’expansion de la gamme de produits sur place », explique Pieter Zwart, Directeur Général de Coolblue.

 

 

Tout peut y être testé

«Nos clients ont souvent déjà une idée du produit qu’ils veulent, mais ils apprécient pouvoir le tenir en main et le tester. Lorsque vous souhaitez acheter un nouveau casque audio, vous voulez entendre comment il ‘sonne’ en réalité, et cela même si vous disposez de toutes les spécificités techniques via nos reviews et vidéos pédagogiques… De même, si vous cherchez à acquérir une nouvelle machine à café, vous voulez tester le goût du café qu’elle produit. A partir d’aujourd’hui, nous offrons cette possibilité avec une gamme encore plus large dans le Coolblue XXL à Amsterdam » explique Pieter Zwart.

 

Service, conseils avisés et disponibilité directe des produits

 

Outre l’expérimentation de la large gamme proposée dans ce nouveau magasin, les consommateurs pourront également s’adresser à des spécialistes pour obtenir des conseils, aller retirer leurs achats online dans la minute qui suit leurs commandes et bénéficier d’un service direct après l’achat.

Le point de vente est organisé en univers de produits : Téléviseurs, son, ordinateurs portables / ordinateurs / réseaux, téléphonie / tablettes / Wearables, et enfin machines à café. Pour guider le client dans la multitude de produits disponibles, des spécialistes sont donc présents dans chaque univers. L’e-commerçant entend de cette façon offrir des conseils avisés à ses clients. Et si certains préfèrent l’informatique, ils pourront se tourner vers les différentes bornes de conseils qui leur indiqueront ce qu’il est important de prendre en considération lors, par exemple, de l’achat d’une nouvelle télévision : quelle est la taille idéale d’une TV pour votre intérieur? Pourquoi opter pour une smart TV? Ou encore ce qu’apporte réellement un écran HDR…

 

Bientôt en Belgique !

 

Avec Coolblue XXL, Coolblue dispose désormais de deux concepts de magasins. Ceux-ci coexisteront. Le nouveau n’est donc pas amené à remplacer l’ancien.

 

Le déploiement du nouveau concept devrait toutefois se faire rapidement, puisque le second Coolblue XXL ouvrira bientôt à La Haye et que le premier Coolblue XXL belge est prévu pour l’an prochain. « En attendant, nous écouterons attentivement les commentaires de nos clients et ajusterons si nécessaire le concept. De cette façon, nous pourrons améliorer celui-ci un peu plus chaque jour » explique Pieter Zwart.

 

En Belgique, Coolblue dispose déjà de trois points de vente : à Wilrijk, Lochristi et Zaventem. A ceux-ci s’ajoutera dès 2018 un Coolblue XXL.

Source : Gondola

Le défi d’attirer le client en magasin

Les achats de NOËL sont le bon exemple pour démontrer la prédominance des magasins physiques dans la prédominance de l’expérience client lors de l’acte d’achat …. Guirlandes, pères Noël, vendeurs « endimanchés », animations, services, participent à la MAGIE de Noël (et c’est ce qu’il faut arriver à reproduire quotidiennement les autres jours de l’année). Car sur ce terrain les Pures players ne peuvent pas lutter, un bandeau en GIF et quelques animations originales sur l’écran des PC ou des Mobiles font un peu pales… C’est Karen Boyd (voir ci dessous) qui en parle le mieux  » les années où j’ai tout fait en ligne ne m’ont pas donné l’impression de faire mes achats ». Mais cela ne saurait être suffisant car du coté Obscur, les problèmes de parking, de disponibilité, les magasins surchargés, la fluidité des achats ne va pas toujours être garantie… Mais cette situation reste un problème rationnel beaucoup plus facile à traiter qu’#amazoniscoming 😉 

NEW YORK — Acculés par la concurrence grandissante du commerce en ligne, les magasins américains jouent la carte de l’originalité, multipliant les initiatives pour faire du magasinage une expérience allant au-delà des seuls achats.

Le jeudi de Thanksgiving marque le début aux États-Unis de la saison des fêtes, avec le célèbre Black Friday, pendant lesquelles les acheteurs se ruent sur les magasins à l’assaut des meilleures affaires.

Quelques 164 millions d’Américains devraient ainsi procéder à au moins un achat entre jeudi et lundi, selon l’Association nationale des détaillants (NRF), soit 69 % de la population.

Mais les sites Internet, Amazon en tête, ont bouleversé cette tradition et les magasins «en dur» rivalisent d’initiatives pour faire revenir le chaland.

Le grand magasin new-yorkais Bloomingdale’s organise désormais des classes de yoga pour ses clients et son concurrent Nordstrom expose des voitures électriques Tesla au milieu de son rayon habillement masculin. D’autres offrent encas et boissons.

Le père Noël reste aussi une attraction majeure, offrant maintenant sa barbe blanche pour des photos avec les chiens venus avec leurs maîtres.

L’enseigne Macy’s, elle, organise toujours son grand défilé dans les rues de New York le jour de Thanksgiving en espérant que les spectateurs viendront ensuite visiter ses rayons.

Selon les enquêtes d’opinion, environ un tiers des consommateurs veulent faire de leurs achats une expérience festive et 23 % apprécient les décorations de Noël qui ornent les magasins, indique la NRF.

Karen Boyd, habitante de Palo Alto en Californie est venue cette année faire ses achats à New York, à l’autre bout du pays. Elle pense réaliser la moitié de ses achats en ligne et l’autre moitié dans des «vrais» magasins.

«Les années où j’ai tout fait en ligne ne m’ont pas donné l’impression de faire des achats», confie-t-elle près de la célèbre enseigne Saks sur la 5e Avenue aux vitrines animées.

Esthétisme

Le cabinet IHS Markit table sur une hausse de 4,2 % cette année à 685 milliards de dollars des ventes sur l’ensemble de la période des fêtes. Les ventes en ligne devraient représenter 18,3 % de ce total pour 16,8 % l’an dernier.

Les magasins traditionnels proposent de plus en plus de produits en ligne que les acheteurs peuvent ensuite venir chercher en magasin et utilisent des programmes informatiques de traitement des données pour mieux cibler les goûts des consommateurs.

«Les clients veulent maintenant faire leurs achats quand et où ils veulent et les points de retrait sont une manière de les satisfaire», souligne Shea Jensen, chargée de la satisfaction des clients chez Nordstrom.

Une autre enseigne, Kohl’s, a décidé d’aller chasser sur les terres mêmes d’Amazon en offrant à ses clients de Chicago et Los Angeles la possibilité de rapporter des articles achetés sur Amazon, Kohl’s se chargeant pour eux de les retourner s’ils ne leur plaisent pas. L’espoir est de les voir traîner un peu et effectuer un nouvel achat dans l’enceinte du magasin.

«Attirer les clients est notre principale priorité», souligne le PDG du groupe Kevin Mansell.

Pour autant, Neil Saunders, expert auprès de l’institut de marketing GlobalData Retail, reste sceptique devant ces initiatives.

«Tous ces marchands essaient désespérément d’attirer les clients dans leurs magasins, mais le résultat est très incertain», prévient-il.

Si la photo du chien avec le père Noël peut contribuer à nourrir l’augmentation constatée des achats de cadeaux pour les animaux, la possibilité de récupérer les achats 24h sur 24 l’est peut-être moins face à ses coûts supplémentaires, estime-t-il.

David Simon, responsable de la chaîne de centres commerciaux Simon Property Group, juge que l’esthétisme devrait être davantage pris en compte.

«On a accordé beaucoup d’attention aux investissements technologiques», souligne-t-il, «mais j’aimerais aussi que cela profite aux magasins eux-mêmes», notamment aux caisses et au décor général. Cela se traduirait, selon lui, par un rebond des ventes.

Melin Ghotan, venue de Los Angeles et qui effectue ses achats à New York, grommelle ainsi qu’elle fera dorénavant ses achats en ligne après s’être vue refuser un deuxième sac pour ses emplettes.

Source : le soleil

Tmall Supermart : l’anti-Amazon Go développé par Alibaba

Fidèle à sa stratégie de « benchmark sauvage » sans états d’âmes, ALIBABA, le géant de l’e-commerce chinois créée sur le modèle d’AMAZON GO des magasins sans caisse : les TMALL Supermart. Son expérience dans de commerce physique avait été initié avec HEMA FRESH son concept de magasin hybride. On sent avec cette expérience, le « pivot » entamé par ALIBABA pour se débarasser de sa connotation de commerçant 100% pure player. ALIBABA sera une entreprise de techno « phygitales » qui cherche à orienter, conseiller ou améliorer la stratégie digitale des marques ou des distributeurs en magasin physique. Petite tendresse pour ce système de caméras capables de décrypter l’humeur du client. Reliées au prix du produit sur son étiquette électronique, il fait baisser le prix en fonction du sourire du client …. Bienvenue dans l’ère des « emotionals promotions » ….

Le géant chinois de l’e-commerce a présenté pour la première fois à Shanghai lors de son Global Shopping Festival, le 11 novembre dernier, un prototype de magasin sans caisses.

 

Le supermarché sans caisses Amazon Go a fait couler beaucoup d’encre, notamment pour sa capacité à réinventer -et fluidifier- l’expérience client en point de vente. En proie à quelques problèmes techniques à ses débuts, le concept développé par Amazon pourrait bien être sur le point d’être déployé plus largement, selon toute vraisemblance, les difficultés rencontrées au sein du magasin ayant depuis été résolues. Bientôt, ce pourrait être un autre géant du Web qui pourrait faire parler de lui pour les mêmes raisons : le Chinois Alibaba. Ne cessant de répéter qu’elle est une entreprise de technologie bien plus qu’un professionnel de l’e-commerce, Alibaba a récemment apporté un peu plus d’eau à son moulin avec la présentation, le 11 novembre dernier, d’un prototype de magasin sans caisses baptisé « Tmall Supermart ».

Le concept a été mis en avant à l’occasion de son Global Shopping Festival, aux journalistes qui avaient fait le déplacement pour couvrir cet événement commercial unique en Chine. Alibaba avait ainsi prévu un espace au sein duquel se trouvaient une sélection de technologies ‘phygitales’ qu’il développe, bien souvent, conjointement avec des grandes marques comme Maybelline. « Tmall Supermart » trônait ainsi aux côtés de miroirs intelligents, cabines virtuelles d’essayage et autres distributeurs automatiques bourrés de technologies. Si le groupe chinois ne communique que très peu pour le moment sur ce prototype, il se pourrait bien que ce soit en raison du fait qu’il n’est pas complètement abouti, un employé du groupe nous ayant confié qu’il restait quelques améliorations à apporter afin que technologiquement il soit complètement au point.

Plus le client sourit aux produits, plus leur prix baisse

Du reste, en l’état, il est tout à fait prometteur. En effet, tout comme Amazon Go, lorsque le client entre sur le point de vente, il est tenu de s’identifier avec son smartphone en scannant un QR Code (photo ci-contre), ainsi, le système fait immédiatement le lien avec le compte de l’application de paiement Alipay du client. Une fois à l’intérieur, et de manière très classique, le client se sert librement des articles dont il a besoin. Détail amusant, certains produits, que le commerçant a le loisir de sélectionner à sa convenance, peuvent être équipés d’une caméra capable de décrypter l’humeur du client, et relié au prix du produit affiché sur son étiquette électronique. Ainsi, lorsque le client sourit au produit, le prix de ce dernier baisse. Et plus le sourire est grand, plus le rabais appliqué est important. Alibaba a baptisé cette technologie (gadget ?), «emotional promotion».

Pas de caisses, mais un sas de paiement

Première différence avec Amazon Go, Alibaba ne précise pas de quelle manière les articles sont ajoutés au panier virtuel du client. Du côté d’Amazon Go, ils sont ajoutés au fur et à mesure du picking grâce la technologie « Just Walk Out » reposant sur l’utilisation de caméras et de capteurs permettant de tracker le client dans le point de vente, et de connaitre les produits qu’il prend en rayons. Dans le Tmall Supermart, il se pourrait que les clients n’aient qu’à scanner un QR Code apposé près des produits pour que ceux-ci s’ajoutent à leur panier, un peu à la manière de ce que l’entreprise propose déjà dans ses points de vente Hema Fresh. Une fois que le client a effectué toutes ses courses, il se dirige vers la sortie, et tandis qu’Amazon Go permet au client de prendre la poudre d’escampette sans avoir besoin de rien faire – le paiement est automatique sur son application Amazon Go -, le Tmall Supermart prévoit un sas au sein duquel le client fait une pause de quelques secondes pour que la technologie de reconnaissance faciale – dont l’enseigne KFC en Chine s’est équipée dernièrement – développée par Alibaba identifie le client, l’associe à son compte Alipay, et procède au paiement automatiquement. C’est donc à cette étape que la différence la plus nette avec le concept Amazon Go se fait ressentir. Le Tmall Supermart ne parvenant pas complètement à s’affranchir de l’étape du paiement. Dans une certaine mesure, il se contente de la lisser un peu plus qu’un classique passage en caisses.

Pour l’heure, Alibaba ne communique pas sur les ambitions qu’il nourrit pour ce Tmall Supermart. Il pourrait aussi bien en déployer des dizaines (centaines, milliers ?) aux couleurs de sa place de marché Tmall, que le commercialiser auprès de marques par exemple ou de distributeurs. Il est désormais de notoriété publique que parmi les chevaux de bataille du groupe, aider les marques et les distributeurs à améliorer leurs performances digitales dans le physique, est devenu un axe majeur de la stratégie retail d’Alibaba.

Source : LSA