Qui sont les Millennials, de 13 à 34 ans ?

Emmanuel Macron : A quelques années près, on avait un président Millennial ! Et oui, le Millennial a entre 13 et 34 ans.. L’analyse du comportement et la maitrise des habitudes de consommation de ces digital natives sont désormais un préalable pour continuer d' »exister » dans le RETAIL (voir MACY’S aux US). En effet, c’est en produisant une offre RETAIL pertinente qui répond à leurs attentes et construite sur leurs usages que le succès sera au rendez-vous.

Les Millennials, âgés de 13 à 34 ans, représentent près d’un tiers de la population de 13 ans et plus. Cette génération, née en plein essor de l’ère numérique, regroupe en réalité 3 populations bien distinctes : les 13-17 ans, les 18-24 ans et les 25-34 ans. Ces Digital Natives, au cœur d’étapes cruciales de la vie (études, entrée dans la vie professionnelle, constitution d’un foyer) adoptent des comportements qui les distinguent les uns des autres et aussi du reste de la population.

Jamais sans mon mobile, pourrait être la devise des Millennials, le téléphone mobile représentant aujourd’hui plus d’un quart de leurs contacts médias et multimédias quotidiens. Mais Millennials ne rime pas uniquement avec Digital. C’est ce que démontre, entre autres, l’étude Media in Life de Médiamétrie qui zoome pour la première fois sur ces 16,5 millions de Digital Natives, une génération à part, hyper sociable et très entourée qui jongle avec aisance entre virtuel et réalité. Ci-dessous des extraits de l’étude Media in life de Mediametrie

Les Millennials, accros à leur téléphone mobile mais pas que …

75% des Millennials utilisent chaque jour leur téléphone mobile. Ce dernier représente 27% de leur consommation médias et multimédias quotidienne, soit 13 points de plus que l’ensemble des 13 ans et plus.

  • Tout commence au réveil : dès 7h du matin, ils sont 8% à utiliser leur téléphone mobile et déjà 15% à 8h, soit 2 fois plus que la moyenne de la population.
  • A l’heure du déjeuner, quand la population se tourne traditionnellement vers le téléviseur, les Millennials, eux, privilégient leur écran fétiche.
  • L’après-midi, ils jonglent entre leur téléphone mobile et l’ordinateur utilisé par près d’un tiers des 13-34 ans entre 14h et 18h.
  • C’est à partir de 19h que les Digital Natives délaissent un peu leur smartphone au profit du téléviseur, l’écran n°1 pour toutes les catégories de population en fin de journée. Mais leur mobile n’est jamais bien loin puisque plus de 42% d’entre eux en ont l’usage en soirée contre 26% pour l’ensemble des 13 ans et plus.

Loin de l’image de jeunes solitaires derrière leurs écrans que l’on se fait parfois d’eux, les Millennials sont particulièrement actifs et passent plus de temps hors de leur domicile que l’ensemble des 13 ans et plus. Et en général, ils sont accompagnés : les trois quarts d’entre eux sont entourés de leur famille, de leurs amis ou collègues au cours de la journée contre 57% de la population.

En termes de pratiques médias et multimédias, sans surprise, cette population se montre adepte et sur-consommatrice de loisirs numériques comme par exemple les jeux vidéos ou encore la musique sur les supports digitaux. Cependant, contrairement aux idées reçues, ils sont nombreux à être fidèles aux médias traditionnels : plus des 2/3 regardent la TV ou écoutent la radio chaque jour, quel que soit le support.

Bien qu’empreints de culture digitale, ils n’en délaissent pas pour autant les activités sportives et culturelles. Ainsi, ils vont être particulièrement friands, et parfois plus que la moyenne, de loisirs comme les visites de musées ou d’expositions et les pratiques sportives. De plus, près de la moitié des Millennials s’intéressent à la lecture, une activité qu’on aurait pu penser loin de leur quotidien.

Source : Services mobiles

L’utilisation des Apps ne cesse de croître ! décryptage

#lafrancequigagne !!! La France sur le podium mondial des plus forts téléchargements d’Apps !!!

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Alors que certains parlent d’une mort prochaine des apps, voici un rapport qui révèle qu’à l’inverse leur utilisation ne cesse de croître. Les données d’App Annie indiquent que les consommateurs utilisent régulièrement une poignée d’applications de confiance avec lesquelles ils gèrent certains aspects de leur quotidien. Cela représente une grande opportunité pour les éditeurs qui cherchent à stimuler l’engagement de leurs clients et les annonceurs qui cherchent à accroître l’exposition de leur marque.

Ce rapport met également en lumière que seules les entreprises qui ont une compréhension complète de l’utilisateur d’applis mobiles arriveront à émerger dans un marché de plus en plus saturé.

[ En France, on passe plus de 4h devant la TV chaque jour et les utilisateurs américains eux totalisent plus de deux heures quinze d’utilisation par jour de leurs apps, soit prés d’un mois par an… Les usages (iot, iiot, voiture, santé, AR, VR…] vont créer beaucoup d’applications, y compris les bots qui eux aussi ont besoin d’application, le software mange le monde! Le smartphone a encore de beaux jours devant lui, ne les jetez pas encore 🙂 ]

Quelques points clés du rapport :

L’utilisateur type d’un smartphone utilise plus de 30 applications par mois
– En moyenne, entre un tiers et la moitié des applications installées sont utilisées chaque mois
– Dans les pays étudiés, les utilisateurs ont utilisé en moyenne au moins neuf applications par jour
– En moyenne, les applications les plus utilisées quotidiennement appartiennent aux catégories Rencontre et Productivité avec 4 sessions/jour, derrière les applications pré-installées.

Décryptage des habitudes d’utilisation des consommateurs

Dans chacun des pays étudiés, l’utilisateur de smartphone type a utilisé plus de 30 apps par mois. Preuve s’il en fallait, que les apps se sont faites une place parmi les dizaines de tâches que nous effectuons chaque mois. En moyenne, entre un tiers et la moitié des apps installées sur les smartphones des consommateurs sont utilisées chaque mois. La rétention et le réengagement des utilisateurs restent indispensables à toute stratégie mobile réussie. Les consommateurs ont tranché : dans l’ensemble, ils préfèrent gérer leur vie avec des apps. Pour bon nombre de secteurs, elles sont en passe de devenir indispensables.

Dans chacun des pays étudiés, les détenteurs de smartphones utiliseraient pas moins de neuf applications par jour.
Au quotidien, les possesseurs d’iPhone emploieraient sensiblement plus d’applis que les utilisateurs Android.
– Le Brésil, l’Inde et la Chine sont en tête des classements, avec le plus grand nombre d’apps utilisées par jour.
– Malgré la grande diversité de services proposés par l’éditeur chinois WeChat, les consommateurs utilisent toujours en moyenne 11 apps par jour.
– Parmi les 10 apps que nous employons quotidiennement, toutes ne sont pas utilisées à la même fréquence. Elles répondent à des besoins quotidiens et mensuels différents.

 

Source : services mobiles

« Facebook Rewards » QR codes dangle discounts for offline purchases

Quand FACEBOOK se met au « mobile-to-Store »… #générationdetrafic

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Facebook wants to prove it drives brick-and-mortar foot traffic with its latest feature test. TechCrunch has discovered a previously unreported Facebook feature where users can scan a personalized QR code to score discounts or bonuses when they buy something in-person at certain shops. Some users see the Rewards feature listed in the More tab of their Facebook mobile app.

When asked, Facebook told us it has been running the test over the past few months, and provided this statement: “To help businesses continue to connect with customers where they are, we’re running a small test that enables people to use the Facebook app to collect and redeem rewards when they make a purchase at a participating store.”

Facebook Rewards could benefit users, merchants and the social network. People could earn free discounts just for being Facebook users. Merchants could lure people to their stores, earning a higher margin than the Rewards they give while fostering repeat customers and word-of-mouth promotion. Facebook could become more appealing to users while earning ad revenue from businesses looking to promote their Rewards giveaways via ads. The feature could also give Facebook more data on who buys what where, which it can use to improve the relevance of ad targeting and News Feed content.

Snap Inc. has been pushing its own way to drive people to brick-and-mortar stores and track their visits. Brands can buy Sponsored Geofilters ads that let Snapchat users overlay special graphics related to a business over their photos and videos when they’re nearby. Snap then shares this info with the business through its “Snap to Store” program.

Facebook has been toying with in-store discounts since 2012 when it launched Offers. It revamped the feature last year, and now Offers can be redeemed both online and offline. They use a special barcode and promo code that’s either scanned at the shop or entered in the online checkout flow. Facebook once said that viral sharing of Offers was a big hit.

Meanwhile, Facebook has been working on a wide variety of ways to “close the loop,” proving how its online ads lead to offline purchases. Facebook works with data providers like Datalogix, Epsilon, Acxiom and BlueKai to index people’s offline purchases. It also has forged partnerships with point of sale software systems Square and Marketo to track which ads lead to purchases, or even just to store visits by matching GPS, Wi-Fi, radio signals, cell towers and beacons with a store’s location coordinates.

Rewards seems more positioned as a loyalty program. Instead of the offer having a code to scan, Rewards assigns the user a single personal QR code they can scan everywhere. People could potentially scan their code every time they come to a shop, like building up stamps for a free sandwich on a loyalty program card.

Because Facebook Rewards lives in your phone in an app everyone already has rather than a loseable card or a new app you must download, it could compete with Belly, LevelUp, Punchcard and other apps. We’ll see if Facebook gets good enough results from this test to more widely roll-out and promote Rewards. But it’s another unsettling moment where loyalty startups might suddenly find themselves in the path of the big blue steamroller.

Les réalités de la transformation digitale en B2B, une vue de 63 entreprises

Cela aurait été très intéressant sur des PME. Mais l’enquête montre quand même ce que nous rencontrons sur le terrain chaque jour : le moteur de la transformation digitale n’est ni le service IT, ni les services techniques… Tout simplement car la digitalisation n’est pas l’adoption de technologies ce à quoi on la souvent réduit mais UN CHANGEMENT D’ÉTAT D ESPRIT !!

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Plus personne n’ignore la transformation digitale, rupture provoquée dans l’entreprise par l’adoption de technologies numériques. Elle accélère les mouvements des marchés, les nouveaux comportements des clients et ceux des employés. Elle génère de nouveaux business modèles, introduit brutalement des pure-players apparus de nulle part dans l’éco-système. Elle provoque une explosion des données qui elle-même crée d’autres opportunités de business modèles, dans une course exponentielle. Les technologies numériques sont l’aiguillon de l’économie mondiale.

Cependant, elles ne suivent pas toutes une progression identique, en suivant les étapes de la fameuse courbe de Hype de Gartner ; Découverte – espoirs – désillusion – éclaircissement – productivité. Certaines envahissent le monde immédiatement (les SMS, le chat), d’autres disparaissent peu après leur naissance (le télétexte, Second Life), ou n’en finissent pas d’accoucher et leur adoption est au forceps (la reconnaissance vocale, le CRM). Le BCG a recensé 500 « deep technologies » et prédit que 40 sont appelées à survivre (Les Echos, 3 avril 2017). Quelle que soit l’entreprise, les adoptions de nouvelles technologies se réalisent par un point d’entrée, local ou central, avant éventuellement de s’étendre. Des responsables de départements, des chefs de projet, des « digital officers » recherchent, essaient, promeuvent, rejettent des technologies.

Parmi toutes les technologies numériques, lesquelles sont le fer de lance actuel de la transformation digitale ? S’agit-il d’une myriade de technologies ou peut-on identifier un hit parade des plus présentes ? Quels départements constituent l’antichambre de la transformation digitale dans l’entreprise ?

Pour répondre à ces questions, nous avons réalisé un benchmark auprès de 63 entreprises, dont 81% sont du domaine B to B pour l’essentiel de leur activité et 60% d’une taille supérieure à 1000 personnes.

Le tableau suivant donne le résultat des interviews : treize technologies dominent la transformation digitale. Il est intéressant de constater qu’une seule, le PLM 4.0 (robotisation exploitant l’internet des objets) est propre à un secteur, l’industrie. Les autres seront à terme universelles. Cinq sont déjà anciennes. Les deux technologies les plus citées sont l’internet des objets et les e-services. Sachant que l’IoT engendre par synergie des e-services, on peut s’attendre à une invasion du monde des objets connectés apportant des services aux clients B2B. La dématérialisation, le CRM, la collaboration 2.0 (les forums, les blogs, le partage de documents…), le e-commerce et les réseaux sociaux ont plus de dix ans. Pourtant, leur adoption demeure le challenge actuel de nombreuses entreprises : un tiers de l’effectif, celui des late adopters se bat avec des technologies que les deux autres tiers possèdent déjà. Inversement, l’adoption des technologies nouvelles, l’Internet of Thing (objets connectés), le big data, le PLM associé au 4.0, l’intelligence artificielle est le match d’un deuxième tiers des entreprises, qui seront les premières à les adopter. Elles sont les innovators. Entre les deux, le cloud, le e-learning et les e-services sont des fruits mûrs sans être très anciens, ils concernent un petit tiers de l’effectif, ni en avance, ni en retard, celui du peloton des followers. Sans chercher à créer un index de digitalisation ambitieux, tel que celui que les Echos et Gilles Babinet cherche à créer avec le eCAC40 (Les Echos du 20.10.2015), une échelle de mesure simplifiée apparait ici.

Les technologies citées comme premier facteur de transformation digitale

L’enquête livre également les fonctions « têtes de pont » des entreprises qui introduisent la transformation digitale. La surprise vient de la quasi absence des départements IT et HR. En dépit des résistances humaines qu’elle provoque et de ses impacts informatiques lourds, la transformation digitale semble se passer d’eux. Deuxième surprise, la faible présence du R&D et du service technique, qui ne représentent qu’un petit tiers, alors qu’il s’agit d’adoptions technologiques. Pour la moitié de l’effectif, les fonctions qui se transforment le plus sont les ventes associées au marketing et le support au client.

Les départements cités comme le premier affecté par la transformation digitale

C’est donc la raison d’être de l’entreprise qui est affectée : le business modèle, les relations avec les clients avant vente et après vente. Ainsi, au vu de ce benchmark, douze technologies universelles viennent bousculer simultanément le moteur de l’entreprise. Dans cette course, la prise de conscience des dirigeants fera la différence. Les technologies numériques risquent de tuer les late adopters. Elles opèrent un tri spontané entre les innovators qui sont les premiers à investir, essuient les plâtres et paient le prix fort de l’adoption et les followers qui cherchent le meilleur moment moins coûteux de maturité des technologies, mais le paient par une image de suiveur.

Source : marketing-professionnel

Auteur : Marc Diviné, dirigeant de A2Z-Innovation et enseignant à l’IAE-Paris

 

 

Et si la mobilité était une affaire de génération ?

Les Européens passent en moyenne 9h35 par semaine à se déplacer (du lundi au vendredi), soit près de 2h par jour. Mais il y a de fortes disparités au sein de l’Union Européenne : les Français sont ceux qui déclarent passer le moins de temps dans les transports (7h12 par semaine en moyenne). Dans tous les pays, la voiture est le moyen de transport incontournable et ce, pour la quasi-totalité des trajets du quotidien : que ce soit pour se rendre sur leur lieu de travail ou d’études (65 %), aller faire leurs courses alimentaires importantes (77 %), emmener leurs enfants pour leurs activités quotidiennes (60 %).

Ford n’est plus seulement un constructeur automobile. Ford propose aujourd’hui de nombreux services de mobilité. Dans le cadre du développement de ces activités en France, Ford a réalisé une étude avec Kantar TNS au 1er trimestre 2017 qui dévoile le rapport des Français face aux nouvelles solutions de mobilité, avec notamment l’influence très prononcée des plus jeunes générations dans leur développement.

Et si la mobilité était une affaire de génération ? L’étude Kantar TNS réalisée pour Ford sur un échantillon de 1000 personnes en France au 1er trimestre 2017, met en évidence le rapport des Français face aux nouvelles solutions de mobilité. Les résultats font très clairement ressortir l’influence des jeunes générations sur l’avenir des transports et la façon d’y accéder.

L’étude montre en effet une réelle disparité entre les mœurs et les aspirations des Millenials et celles du reste de la population. Des différences qui impulsent véritablement le changement. Dans le détail, trois grandes tendances régissent cette mutation : l’optimisation de son temps et du coût des trajets, l’information accessible en temps réel via les applications smartphone et l’attrait pour les modes de transports alternatifs et collaboratifs.

  • Les Millenials veulent rentabiliser leurs déplacements
  • Les Millenials plus enclins à vouloir rentabiliser leurs déplacements
    48 % des interrogés veulent optimiser leur temps durant leur trajet, notamment les 18-24 ans (63 %)
  • 65 % des Français se disent intéressés pour réaliser des économies en livrant par exemple des colis pour un tiers pendant leur trajet. Une proportion qui grimpe à 71 % chez les 18-24 ans.
  • Aujourd’hui, 26 % des Français qui possèdent un permis de conduire affirment avoir recours au covoiturage. Les raisons sont avant tout pour les économies réalisées (62,5 %), loin devant la convivialité (23 %) ou la contribution à un meilleur respect de l’environnement (11%). La tendance risque de s’accélérer, ainsi que le marché du covoiturage, si on en croit les 75% des Millenials interrogés qui disent vouloir faire appel à un service de covoiturage pour de prochains trajets.

Collaboration, rachat de startup 

Compatible avec le système connecté Ford SYNC, l’application MyBoxMan permet aux conducteurs de livrer un colis pour un particulier et de gagner approximativement de 5 à 8 euros pour un simple trajet de 5 Km. Lorsque le smartphone est connecté à une Ford par USB, les contrôles de l’application se font en toute sécurité sur l’écran tactile ou grâce à la commande vocale. Si une mission MyBoxMan est disponible, le conducteur est averti par un message sonore et il lui suffit d’accepter ou de refuser la mission en utilisant la commande vocale du véhicule.

Pratiques et instantanées, les applications sont des alliées incontournables pour les Millenials;
55 % des Français seraient intéressés pour utiliser régulièrement une application leur indiquant en temps réel quel est le meilleur mode de transport pour rejoindre leur destination. La proportion passe à 70 % chez les 18-24 ans. 61 % des automobilistes aimeraient disposer d’une application smartphone leur indiquant les places de parking disponibles proches de leur destination. Une proportion qui grimpe à 81 % chez les 18-24 ans.

FordPass est l’application mobile de Ford qui centralise l’ensemble des services pour optimiser sa mobilité. Par exemple, l’un des premiers services disponibles est la fonction Parking. Elle vous aidera à trouver une place rapidement en affichant les parkings autour de vous, ainsi que les horaires d’ouverture et les tarifs pratiqués. Une fois trouvée, vous pourrez enregistrer votre emplacement pour retrouver facilement votre voiture. Il y a aussi la fonction Live Traffic qui, interfacée avec le système SYNC 3, vous transmettra des informations en temps réel sur la circulation le long de votre itinéraire. D’autres services seront bientôt disponibles sur l’application FordPass dans les mois à venir.

Les modes de transports alternatifs et collaboratifs sont désormais plébiscités par toutes les générations. Les modes de transports alternatifs et collaboratifs tels que le covoiturage, les voitures en libre-service ou encore la location entre particulier sont des modes de transports bien considérés par les Français. La preuve : 1 conducteur français sur 4 affirme avoir déjà eu recours au covoiturage.

63 % des Français feront appel à un service de covoiturage pour de prochains trajets. Pour les jeunes conducteurs (18-24 ans), ils sont 75% à l’envisager. 53 % des Français seraient intéressés par des solutions de transport à la demande comme la location de voitures de particulier. Cette part monte à 62 % chez les 18-24 ans.

44 % des Français et 55 % des 18-24 ans seraient prêts à utiliser un service de vélo en libre-service. Pour les véhicules en libre-service, les chiffres sont aussi très proches, puisque c’est 47 % des Français qui seraient prêts à y recourir et 54 % pour les 18-24 ans.

Avec son équipe dédiée « City Solutions », Ford travaille avec des grandes villes afin de résoudre les problèmes de mobilité et faciliter les déplacements urbains. A San Francisco, Ford a acquis la société CHARIOT, spécialisée dans les services de minibus à la demande. Cette entreprise fonctionne sur le principe du financement participatif. Le principe est très simple : les utilisateurs potentiels vont indiquer l’adresse de leur domicile et de leur lieu de travail et lorsqu’un nombre suffisant de voyageurs est atteint, Chariot leur demande de financer l’ouverture d’une nouvelle ligne en achetant les premiers billets. Il existe à ce jour une trentaine de lignes dans le secteur de San Francisco, opérées avec l’aide de 100 Ford Transit d’une capacité maxi de 14 personnes. Ford espère étendre ce service à 7 nouvelles villes prochainement.

Par ailleurs, toujours à San Francisco, Ford a lancé GoBike. D’un fonctionnement similaire à celui des Vélib’ parisiens, 700 vélos sont actuellement disponibles en libre-service. Ford GoBike devraient porter le nombre de vélos à 7000 d’ici 2018.

Infographie

Source : Services mobiles

« La route du Frais » de U sur Snapchat avec TBWA

Story Snapchat ou quand Système U parle aux millennials ! Et oui, FACEBOOK est déjà bien loin !

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3 000 producteurs, pêcheurs ou agriculteurs indépendants, livrent chaque jour leurs produits dans les magasins U de leurs régions. Trois d’entre eux, Lionnel (pêcheur), Romain (responsable marée) et laurence (poissonnière) équipés de lunettes Spectacles ont partagé ce qu’ils voient et vivent chaque jour. Sur chaque étiquette d’origine des produits, les clients pouvaient découvrir leurs histoires sur un compte Snapchat dédié : LaRouteDuFrais. Des stories Snapchat éphémères comme preuves ultimes de la fraîcheur des produits.

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Source : CBNews

L’appli vendeur, garantie d’un trio gagnant client, vendeur, enseigne

Quand on parle digitalisation, on parle souvent écrans, mobiles applis et on va se focaliser sur le choix d’une seule technologie ! Mais si doucement, les décideurs intègrent que plus que la technologie c’est l’usage de la technologie qui est importante… La focalisation sur l’expérience client a comme effet pervers de négliger le parcours vendeur, il faut impérativement avoir présent à l’esprit que l’expérience client passe par l’expérience de vente du vendeur !

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73% des consommateurs désirent bénéficier de conseils ou résolutions de problèmes à travers un échange humain. Une tendance qui se confirme avec l’apparition des live chat en e-commerce. En parallèle, 58% considèrent le point de vente physique comme le canal le plus personnalisé.

A en juger par une étude du Global Consumer Pulse de 2016 menée par Accenture Strategy, le digital – levier omniprésent dans l’univers du retail – doit désormais tendre vers une plus grande humanisation entre l’enseigne et le client final. En parallèle l’exigence du client ne cesse de croitre et souhaite avoir des réponses à ses interrogations ou bénéficier d’une fluidité online comme en boutique. Quelle solution mieux que le digital pour y parvenir ?

Le vendeur, point névralgique de l’expérience d’achat sans couture

Jusqu’ici simple conseiller en boutique, le vendeur endosse grâce au digital un rôle à haute valeur ajouté : être la passerelle entre le client et l’offre en ligne. Il se positionne comme la véritable incarnation de l’interlocuteur idéal pour les clients plus enclins à se rendre en magasin souhaitant avoir une visibilité sur la globalité de l’offre, qu’elle soit instore ou online. Pour se faire, un équipement efficient est indispensable pour donner toutes les cartes dans les mains du vendeur et en faire l’ambassadeur de l’expérience d’achat sans couture et humanisé (réponse aux attentes, amabilité, pertinence des conseils,…).

L’appli, le meilleur ami du vendeur au service du client

Un outil digital POS adapté et performant apparaît comme l’allier incontournable pour répondre aux besoins croissants des conseillers en boutique, désireux de maîtriser l’ensemble des rayons, suivre en temps réel les gammes de produits en stock, accéder à l’historique d’achat de chaque client, finaliser le paiement d’un client où qu’il se trouve et sans faire la queue, ou encore maîtriser les offres commerciales en cours. Ainsi, le vendeur peut moduler le discours comme l’offre proposée à chaque client et ainsi le fidéliser plus facilement. Désormais valorisé, le vendeur redevient le détenteur de toutes les informations utiles pour aiguiller le client vers le bon produit. En parallèle, le point de vente n’est plus assimilé à un choix par défaut mais évolue en représentant LA place de marché où règne un contact humain pointu, sur-mesure et efficient grâce à l’utilisation d’objets connectés.

…et une vraie force pour l’enseigne  

Au-delà de l’évolution de la relation entre l’équipe de vente sur place et le client, l’enseigne apparait comme une marque innovante et agile en s’appuyant sur le digital. C’est d’ailleurs ce que souligne une étude Epson : 91% des clients pouvant échanger avec un personnel expérimenté est un facteur décisif pour établir une opinion positive sur une marque. Le digital offre d’autres bénéfices pour la marque comme la fluidité des échanges entre les différents services et les équipes terrain ; une valeur ajoutée qui vient doper le chiffre d’affaires. Une étude pour le magazine Action commerciale révèle les répondants ont constaté une hausse de 26% du chiffre d’affaire avec l’utilisation d’outils connectés.
En définitive, l’expérience d’achat du client passe par l’expérience de vente du vendeur. Le device connecté représente un créateur de valeur pour le client comme pour le vendeur et vise à résoudre les problématiques du client comme du vendeur.
Source : Journal du Net

Le mobile : du commerce de proximité à distance

Alors ? Quelle stratégie mettre en place pour faire face au déplacement massif de l’audience sur Mobile ?

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Selon une étude publiée par Deloitte* en mars dernier, les Français se servent en particulier de leur mobile pour échanger des SMS (75 %), passer des appels téléphoniques (56 %) et échanger des e-mails (47 %). Ils sont 55 % à le consulter plus de 10 fois par jour (74 % chez les jeunes de 18 à 24 ans).

Le Mobile tient donc une place importante dans le quotidien des Français. Mais comment les marques, les enseignes appréhendent-elles ce déplacement massif de leur audience ? Quelles sont les nouvelles règles du jeu ? Comment optimiser au mieux ce canal avec une vision sur le long terme ?

Il y a 10 ans, le e-commerce devenait de plus en plus présent dans la vie des Français et continue de l’être. Tous les ans, ce marché enregistre une croissance à deux chiffres. Mais aujourd’hui, les pure players et les points de vente physiques vivent une mutation profonde ensemble, c’est le décloisonnement des deux promesses. Le consommateur est à la recherche d’une expérience « hybride » mêlant web, mobile et point de vente et les commerçants en face doivent être dans une approche omnicanale efficace et fluide.

La rentabilité du mobile n’est plus à prouver, en janvier dernier, la Fevad partageait son bilan annuel de 2016 en mentionnant les chiffres du M-Commerce : une augmentation de 30 % du nombre de transactions en un an ce qui amène aujourd’hui le mobile à représenter plus du quart du chiffre d’affaires du e-commerce. Au moment de la montée en puissance des smartphones, le mobile tenait une petite place dans la distribution des e-marchands, mais plusieurs d’entre eux ont beaucoup cru en ce canal et sont aujourd’hui ce qu’on appelle des « Mobile First », c’est le cas d’entreprises comme Showroomprive par exemple. L’entreprise indiquait au cours d’une récente table ronde organisée par la Mobile Marketing Association France que son audience se trouvait à 80 % sur le mobile et que ce canal représentait 60 % de son chiffre d’affaires.

Les pure players sont loin d’être les seuls concernés par cette transformation. La digitalisation du point de vente est un sujet qui ne date pas d’hier, mais avec l’omnicanalité qui s’impose chez tous les acteurs du commerce, il prend une place de plus en plus importante dans la mise en place d’une bonne stratégie de distribution. Au-delà du canal et des services proposés (coupons de réductions, promotions en push…), l’enjeu principal des magasins va se trouver dans la relation client. Le commerce physique permet une réelle proximité avec l’acheteur : des vendeurs qui créent un échange personnalisé, des experts qui rassurent sur la complexité technique de certains produits, des conseillers qui accompagnent dans la recherche d’un cadeau… Alors comment à l’ère de la digitalisation du point de vente, la relation humaine peut-elle être la même entre le commerçant et ses clients ? Faut-il choisir entre la relation de proximité avec un client et la digitalisation d’un commerce physique ?

Mais au fond, la distance aujourd’hui existe-t-elle vraiment avec le mobile ? Le mobile, avec le format message plus particulièrement, ne permet-il pas au contraire d’éliminer toute contrainte de temps et d’espace et donc de mieux s’adapter à cette exigence consommateur qu’est le ATAWAD (Any Time, Anywhere, Any Device) de Xavier Dalloz ? Le format message sur mobile offre de nombreux avantages : il est asynchrone, il permet de garder une traçabilité de la discussion de façon indéterminée et surtout il permet au consommateur d’utiliser son mode de consommation préféré dans son quotidien pour échanger avec les marques. L’approche conversationnelle change également la donne. Depuis quelque temps, les marques peuvent faire parvenir un message promotionnel au consommateur sans que celui-ci ne puisse répondre ou sans qu’il ait lui la possibilité de prendre contact avec elles en passant par le même format ! En permettant au consommateur d’engager la discussion par message sur son mobile, les marques augmentent de façon certaine la qualité de leur relation client.

Le format messaging va continuer à prendre une place de plus en plus importante dans l’échange entre les entreprises et leurs clients. L’annonce par Google du déploiement de son offre RCS va dans ce sens, on repousse les limites du SMS avant tout pour mieux s’en servir commercialement. Le Rich Communication Service va permettre aux marques de s’appuyer sur tous les avantages du format message enrichi : communication en groupe, envoi de photos, vidéos et cela représente réellement une aubaine. Il peut quand même paraître incroyable que des services client dans les entreprises s’appuient sur le mode de communication préféré des clients afin d’améliorer les relations, et donc la satisfaction. Imaginons un appel à un service client qui doit nous aider dans la gestion d’un problème d’installation d’électroménager ou informatique, le conseiller et le client vont parler la même langue grâce à la transmission d’informations visuelles en temps réel ! Aujourd’hui, les consommateurs préfèrent le message au mail, simple, rapide, discret et asynchrone et le RCS est parfaitement en phase avec ce qu’on peut attendre en termes de services à l’ère du digital.

*étude Deloitte sur « les Usages du mobile en 2016 »

Source : Les Echos

Meilleures pratiques d’une stratégie de test mobile

Comment s’assurer de la compatibilité de votre application sur l’ensemble des Devices ? Si l’univers iOs est relativement homogène (90% des iPhones tournent sous IOS 9), Androïd reste la bête noire des DEV. En effet, avec des dizaine de milliers de combinaisons possibles (device & Os) toujours fonctionnelles, la garantie de compatibilité des apps ANDROÏD reste toujours une loterie… C’est le cas en ce moment en particulier avec NOUGAT (Androïd 7) pour lequel nous attendons impatiemment les versions mineures…

iOS-and-Android

Il y a quelques années, il y avait une guerre des écosystèmes mobiles et le test mobile est née… D’un point de vue rétrospectif, comment tout cela a-t-il joué et où nous en sommes aujourd’hui ? Personne ne le sait vraiment ! En 2010, Android a rapidement obtenu de la traction avec les OEM, Apple a poussé son iOS vers l’avant et a boosté son écosystème d’applications pour en attirer toujours plus. Le nombre d’appareils Android des différents OEM a permis d’intéresser toujours plus un nombre croissant de développeurs !

Symbian c’est avérer être un environnement de plus en plus difficile à développer pour satisfaire les besoins des consommateurs, ce qui a entraîner une lenteur dans le développement de produits et un désavantage pour profiter des nouvelles plates-formes matérielles. Nous pouvons aussi rappeler la plate-forme « Meego » du temps de Stephen Elop au début de 2011, cependant cette nouvelle plate-forme étaient surréaliste avec (Nokia + Intel) + (MeeGo + Symbian + S40) + Qt.  (tout le monde qui était sérieux dans les affaires de l’industrie mobiles le savait). Que serait-il arrivé si le géant avait été prêt à aller dans les eaux d’Android ? Nous ne le serons jamais, mais du temps aurait été gagné et des parts de marché aussi !

À côté, Windows, il y avait peu d’autres entreprises qui étaient prêts à être les prochaines plates-formes OS importantes pour les applications, les développeurs d’applications, les OEM et l’ensemble de l’écosystème mobile. Cependant, Android et iOS sont ceux qui sont restés populaires – et pour des bonnes raisons. Google et Apple ont marché avec l’écosystème et créé les bonnes incitations pour que les développeurs construisent leurs affaires sur ces plates-formes.

Le nombre d’applications Android disponibles dépasse le nombre d’applications iOS vers l’automne 2012

Depuis 2013, nous avons vu deux plates-formes majeures devenir une norme (Android et iOS) pour les applications mobiles qui sont très différentes du point de vue des développeurs d’applications.

La fragmentation des OS

La fragmentation est largement responsable pour décrire la manière dont les applications fonctionnent différemment et sont compatibles avec différents types de périphériques. L’affichage, sa résolution, les facteurs de qualité et l’utilisation du portrait/paysage avec les applications sont des problèmes d’affichage les plus courants que les utilisateurs voient. L’autre cause de la fragmentation, c’est l’impossibilité d’utiliser correctement les applications sur les périphériques qui ne disposent pas de suffisamment de mémoire (RAM) et peuvent ne pas fonctionner correctement.

L’image ci-dessus illustre les problèmes pour les développeurs et les utilisateurs de la fragmentation chez Androïd

La comparaison des versions de l’OS Android les unes avec les autres est simple lorsque la même application est utilisée. Les utilisateurs qui testent leurs applications devraient toujours utiliser des appareils mobiles réels pour faire les tests. L’environnement émulé/simulé ne produit pas toujours les résultats comparables de l’application dans les mains des utilisateurs finaux.

En regardant ces statistiques ci-dessus, il est tout à fait évident que la différence de taux d’échec moyen est assez proche avec ces deux plates-formes. Avec Android, le taux d’échec moyen est de 17,8% et avec iOS, il est légèrement inférieur, 15,5%. Et bien qu’il existe une dispersion entre les différentes versions du système d’exploitation, la tendance est généralement la suivante : de nouveaux bug ont été corrigées sur une nouvelle sous-version de cette version du système d’exploitation. Par exemple, chaque version mineure d’Android et iOS réduit le nombre de problèmes que les développeurs d’applications voient avec leur application.

Lorsque la nouvelle version principale du système d’exploitation est diffusée, elle augmente généralement le taux d’échec et il existe diverses raisons pour lesquelles cela se produit. C’est souvent les nouvelles API, les fonctionnalités, même les personnalisations OEM et les mises à niveau…

Si vous cherchez des tendances dans le développement et le test d’applications mobiles, n’oubliez pas de vous tenir au courant des dernières nouvelles sur le domaine de l’automatisation des tests. Beaucoup de choses se déroulent constamment et de nouvelles versions apportent leur soutien à vos efforts d’automatisation des tests avec ces plates-formes mobiles.

https://developer.apple.com

https://developer.android.com

Les bonnes décisions

Une bonne stratégie de test mobile exige que les architectes d’entreprise mettent en place un cadre complet d’automatisation des tests. Il existe des coûts initiaux dans la mise en œuvre de ce processus en termes de temps et d’infrastructure. Cependant, cela conduira à des applications de meilleure qualité qui sont plus alignées sur les objectifs de l’entreprise. Cela peut augmenter une stratégie DevOps qui a permis un délai de mise sur le marché plus rapide et un rythme plus rapide pour itérer de nouvelles modifications.

De nombreuses entreprises, recommandent l’utilisation d’un mélange optimal de périphériques dans les tests qui varient selon l’emplacement, le type d’appareil, la version du système d’exploitation, la configuration et les options de connectivité.

L’entreprise doit décider où tester les applications. Les émulateur de périphériques et les simulateurs peuvent être de bonnes options pour des tests de développement rapides (ci-dessous une liste), mais il est important d’utiliser des périphériques réels pour les tests d’acceptation. Une approche consiste à créer et à maintenir un cloud privé de périphériques pour vos tests mobiles. Cependant, à moins que vous ayez des exigences spécifiques pour conserver les applications et les tests dans vos locaux, vous voudrez probablement exploiter un service public en nuage comme AWS (Amazon Web Services)

La sécurité mobile doit également être testée dans une large gamme de périphériques et de versions OS. Une application vraiment sécurisée n’est pas seulement sécurisée si elle fonctionne sur un système sécurisé et un périphérique sécurisé, mais aussi sur un système non sécurisé et un périphérique manipulé !!

Un certain nombre d’outils de sécurité peuvent aider à compléter un flux de travail DevOps pour les applications mobiles. Deux classes courantes de ces outils comprennent les tests statiques de sécurité des applications (SAST) et les tests de sécurité des applications dynamiques (DAST). SAST est plus rapide car il analyse simplement le code pour trouver des vulnérabilités flagrantes. DAST recherche les vulnérabilités causées par le comportement des applications. DAST a tendance à être plus complet et à prendre plus de temps.

Outils en vrac

L’automatisation des tests est une tâche complexe. Il nécessite une préparation approfondie et des recherches. Il faut également tenir compte de toutes les nouveautés dans les technologies de l’information, les applications et les outils d’automatisation des tests. Toutes ces connaissances sont nécessaires pour créer les tests les plus efficaces.

Bien que le test de l’application iOS soit totalement différent des tests d’application Android, vous pouvez utiliser Appium ou Calabash pour créer des scripts de test qui peuvent être utilisés pour effectuer des tests multiplate-forme. Voici quelques simulateurs pouvant être de bonnes options pour des tests de développement rapides :

Robotium
MonkeyRunner
Ranorex
Bitbar
Appium
UI Automator
Calabash
EarlGrey

 

Source : services mobiles

Mercedes rend ses véhicules compatibles avec Amazon Alexa et Google Home

« Ok Google dis à MERCEDES de me démarrer ma voiture … » C’est possible ça ?

Mercedes rend ses véhicules compatibles avec Amazon Alexa et Google Home

 

Aux Etats-Unis, il est désormais possible de démarrer une Mercedes récente avec les assistants vocaux Google Home et Amazon Alexa.

Les assistants vocaux s’immiscent partout… y compris dans l’automobile. Ford et Volkswagen ont annoncé des partenariats avec Amazon pour intégrer Alexa directement dans leurs véhicules, Hyundai opte pour l’intelligence artificielle de Google… et Mercedes a choisi de ne pas choisir. Ses modèles 2016 et 2017 seront compatibles avec les deux systèmes aux Etats-Unis. Il sera possible d’interagir avec son véhicule avec les enceintes Amazon Echo et Google Home.

 

« OK GOOGLE, DIS À MERCEDES ME DE DÉMARRER MA VOITURE »

Concrètement, les fonctionnalités disponibles sur l’application de la marque Mercedes Me pourront être activées par la voix. Il sera donc possible de verrouiller ou démarrer son véhicule à distance, d’activer le chauffage, de s’informer sur les conditions de circulation, de charger un itinéraire sur le système de navigation… Mais il faudra auparavant disposer d’un compte sur l’application Mercedes et de le lier à son compte Home ou Alexa. La marque ne perd donc pas le contact direct avec ses clients en optant pour les assistants vocaux des géants du numérique.

 

A ce stade, Google Home, mais pas Alexa, sera intégré directement au système de bord des véhicules. Mercedes voit dans ces outils une opportunité de proposer des services utiles à ses clients lorsqu’ils ne sont pas dans l’habitacle de leurs véhicules. Un bon moyen de mieux connaître leurs habitudes…

Démonstration en vidéo

Source : Usine Digitale