Vidéo, jeux, email, réseaux sociaux, achats,… chaque seconde des milliards d’actions dans le monde sont désormais réalisées depuis une mobile. Découvrez, en temps réel, l’ensemble des données disponibles sur l’utilisation de nos smartphones à travers la planète.
On estime aujourd’hui qu’il y a plus de 4,4 milliards d’utilisateurs mobiles dans le monde et que 56% de tout le trafic web aux Etats-Unis provient du mobile !
En plus de passer des appels et d’envoyer des messages, ils peuvent naviguer sur internet, télécharger des applications, payer des biens et des services et aussi utiliser tous les réseaux sociaux possibles.
Tous les chiffres du mobile en temps réel
Dans un effort de rassembler toutes les statistiques et de les mettre en perspective, le site Ecoreuil.fr a développé une infographie statistique animée sur l’utilisation mobile.
Au lieu de simplement publier les chiffres, elle met à jour tous les indicateurs clés en temps réel.
Cette infographie intègre toutes les données les plus récentes sur les recherches web, les revenus publicitaires des utilisateurs mobiles, l’activité sur les principaux médias sociaux et des applications « chat » comme Facebook ou encore Whatsapp, sur les dépenses mobiles et aussi d’autres statistiques intéressantes.
Un moyen de se rendre compte (entre autres) qu’en une heure seulement les utilisateurs mobiles effectuent 68 millions de recherches sur Google, génèrent l’équivalent de 3 millions d’euros de recettes publicitaires via Google ads, et effectuent 8 millions d’achats via leurs mobiles en utilisant Paypal.
Dans cette même heure, les utilisateurs mobiles ouvrent 2 milliards d’emails, envoient 1 milliard de message Whatsapp et 768 millions de SMS…
Le mobile : 1er support d’accès au WEB, il passe de 40% des connexions en 2012 à 68% en 2016 et on prevoit 79% en 2018 #thinkmobile #siliconvendee
Si l’on conçoit aisément que l’UX, dans le contexte de création de sites web et d’applications mobiles, désigne l’expérience vécue par l’utilisateur lorsqu’il se sert d’une application, navigue sur un site, etc., la mise en œuvre des concepts peut paraître floue. Le livre blanc (18p) dont un extrait est reproduit ci-dessous a pour objectif de montrer en quoi l’expérience utilisateur peut devenir un véritable levier de différenciation. Il dispense également quelques bonnes pratiques pour passer à la méthodologie UX.
[L’UX n’est donc pas une mode. Ce n’est pas non plus une recette miracle. C’est une véritable méthodologie qui permet de créer une expérience digitale de qualité au service de vos utilisateurs. Et ainsi de créer de la valeur. Il faut aussi avoir les bonnes compétences qui comprennent les utilisateurs du service !!]
La démarche UX est un ensemble cohérent de pratiques et de postures. Elle est le liant du triptyque : stratégie – design – technologie. C’est un décentrage qui permet de se mettre à la place des utilisateurs et d’effectuer des choix basés sur des tests avec eux. L’utilisateur se retrouve ainsi au centre du processus de création.
Voici 5 points sur 7 pour amorcer votre transformation UX :
Prenez le temps de comprendre et définir le problème à résoudre (l’objectif à atteindre). Cette étape est essentielle et trop souvent négligée. Tout le travail de conception et réalisation de votre service en ligne va se baser sur le problème identifié dès le départ. Cela vous permettra aussi de délimiter le périmètre du projet. Créez des cartes d’empathie pour explorer et définir les besoins, apprendre à vous décentrer, à vous mettre à la place d’un utilisateur. Couplé avec d’autres ateliers de découverte, cela vous permettra de définir clairement votre objectif.
Allez à la rencontre de vos utilisateurs pour comprendre leurs besoins et identifier leurs attentes précises. S’il est important de les écouter (interviews, enquêtes, focus groups), il est également essentiel de les observer en situation, via des tests d’utilisabilité par exemple. En effet, les utilisateurs ne font pas toujours ce qu’ils disent qu’ils feraient. Réalisez des personas et parcours : archétypes de vos utilisateurs cibles, les personas serviront de référence tout au long du processus de conception. Le parcours sert à représenter la globalité de l’expérience d’un utilisateur et à identifier de possibles points de blocage ou de frustration, autant avant et pendant qu’après l’achat en ligne. À chaque étape, l’utilisateur doit être guidé et réassuré.
Respectez les conventions (cohérence externe). Comme Jakob Nielsen le dit très bien, « les utilisateurs passent la plupart de leur temps sur d’autres sites que le vôtre ». Certaines habitudes fortement ancrées créent ainsi des attentes fortes, comme trouver son panier d’achat en haut à droite d’un site e-commerce par exemple. Le respect des conventions facilite la compréhension de votre site et ne vous empêche pas de créer une expérience personnalisée avec votre image de marque et votre ton de communication. Au moment de la conception, pensez à vous référer à des design patterns : ce sont des bonnes pratiques pour des situations récurrentes (menu, filtres, recherche, création de compte). Effectuez également des analyses comparatives de sites de référence pour identifier les tendances.
Souciez-vous de la cohérence interne. La cohérence est un pilier de l’expérience utilisateur. Un site cohérent se com- porte comme l’utilisateur l’attend et lui permet d’atteindre ses objectifs. Les informations données, le ton, l’habillage graphique, les éléments de navigation, de recherche et de repérage contribuent à renforcer ou à éroder cette cohérence. Un site cohérent est facile à utiliser et crée de la confiance !
5/ Explorez différentes solutions et testez-les ! Un autre principe fondamental de la démarche UX : faire plusieurs essais jusqu’à converger vers la solution optimale. Testez des prototypes avec vos utilisateurs pour ajuster le tir et atteindre une satis- faction client maximale. C’est une démarche itérative, agile : il arrive que certaines fonctionnalités prévues au départ ne soient finalement pas retenues ; à l’inverse d’autres peuvent être ajoutées car plus pertinentes. Cette mise à jour du backlog s’effectue à chaque itération à partir des enseignements tirés des tests.
Sigfox n’est plus une licorne, c’est un « avion de chasse », bravo FRENCHSPIRIT !! L’objet connecté se pose doucement comme la prochaine révolution qui va impacter la vie quotidienne de chacun de nous.
Fleuron de l’ IOT en France, Sigfox a annoncé aujourd’hui avoir levé 160 millions de dollars pour continuer à étendre son réseau de communication pour les objets connectés.
Sigfox lève 160 millions de dollars !
Le dernier tour de table a eu lieu il y a moins de deux ans. La société avait alors recueilli 115 millions de dollars, un montant qui était alors le plus grand round de financement jamais levé en France. Cela a ensuite été surpassé par BlaBlaCar, qui a levé 200 millions de dollars.
Sigfox signe donc une nouvelle performance. Parmi les investisseurs figurent Salesforce, Total, le cofondateur de Parrot Henri Seydoux, Alto Invest, Swen CP et Tamer Group. Les investisseurs historiques ont également participé au tour, y compris Bpifrance, Elliott, Intel Capital, Air Liquide, Partenaires Idinvest et IXO.
C’est quoi Sigfox ?
Lancé il y a cinq ans par Ludovic Le Moan, Sigfox construit un réseau de communication dédié qui permet aux appareils connectés d’envoyer des messages courts sur de longues distances. Le réseau permet aux périphériques de fonctionner à faible puissance, ce qui signifie qu’ils peuvent être installés en grand nombre à faible coût et ne nécessitent pas de charge supplémentaire ou des batteries pendant des années ou des décennies.
L’idée est d’encourager le déploiement massif d’objets connectés pour les clients industriels, les gouvernements et d’autres grandes organisations qui leur permet de surveiller et de collecter plus de données pour leurs opérations.
La société apparait, à l’international, comme le leader des start-ups françaises. La frénésie actuelle autour de l’entrepreneuriat montre que les start-ups françaises ont encore faim. Cette nouvelle renforce, à coup sûr, la réputation de la France « startup nation »!
Sigfox a récolté un total de près de 300 millions de dollars en capital de risque depuis son lancement et son réseau est présent dans 26 pays.
Le mobile n’est plus un simple device, il n’est plus un canal, il est au centre de la révolution mobile centric…. Il devient un moyen d’améliorer l’expérience client dans les magasins grâce au design thinking avec de nouvelles interfaces. Mais cela implique des entreprises éduquées, avec une culture basée sur des raisonnements agiles. Gare à celles qui n’ont pas pris le virage du mobile et qui n’ont pas vu les usages de leur clients évoluer…
Dans de nombreux secteurs, le mobile dépasse le PC en nombre d’appareils, d’auditoire, de trafic et de transactions, en chiffres et en dollars. Le mobile a évolué d’un canal autonome à un point de référence pour toutes les expériences numériques de marque. Selon Forrester, à partir de 2017, l’avenir se situera au-delà des applications, mais les expériences (Bot,IA) sont encore trop pauvres pour rivaliser avec des applications autonomes.
Pour améliorer l’expérience client à travers le mobile, les entreprises vont développer de nouvelles interfaces et devoir se transformer en interne. Il faudra vous adapter à la culture comme pour les apps car la popularité des applications de messagerie et des modèles commerciaux varient d’un pays à l’autre, de sorte que les façons les plus efficaces d’engager les consommateurs diffèrent selon la géographie et la plate-forme.
En 2017, Forrester dans son rapport « Mobile is The Face of Digital » prévoit que les professionnels de la mobilité vont :
– Utiliser le mobile pour transformer l’expérience client au-delà du digital. Le mobile n’est pas seulement le point de contact principal de la relation digitale. En appliquant les principes du design-thinking, il devient pour les entreprises pionnières comme les marchands, les hôtels ou les chaînes de restauration – la possibilité d’améliorer les parcours clients y compris en magasin ou dans l’environnement physique.
– Développer un portefeuille d’expériences au-delà des applications. Les entreprises ont beaucoup investi dans les applications mobiles natives et commenceront à repenser leur approche du Web mobile. Les plus innovantes développeront de nouvelles interfaces conversationnelles, comme Alexa d’Amazon, Siri d’Apple ou les chatbots de Facebook Messenger – mais l’adoption par les consommateurs finaux de ce type d’interfaces restera très limitée en 2017.
– Internaliser les compétences mobiles et changer les processus internes. Les entreprises embaucheront davantage de spécialistes de la mobilité car cette compétence est devenue essentielle à leur activité ; ces recrutements monteront jusqu’à plusieurs centaines de personnes pour les entreprises du Fortune 100. Elles vont intégrer les centres d’excellence mobile aux groupes digitaux et étendre les process agiles indispensables au mobile à l’ensemble des services digitaux.
– Tout ceci a un impact sur vos SI, dans l’élaboration de votre stratégie d’hébergement, de développement, d’infrastructure… comme les architectures microservice, qui est autonome vis à vis de la fonctionnalité qu’il réalise. Il a son propre code, gère ses propres données et ne les partage pas, en tout cas pas directement avec d’autres services.
Nous rentrons dans une ère beaucoup plus professionnelle depuis quelques années et c’est déjà trop tard pour beaucoup d’entreprises qui n’ont pas pris le virage du mobile, pourquoi ? Elles n’ont pas d’équipe, ne connaissent pas les sujets phares et les technologies, n’ont pas compris les usages de leurs clients, etc…
Quels sont en 2016 les leviers marketing les plus utilisés ? Quelle est l’approche des pros des apps et quelles stratégies autour des Applis mettent-ils en place ?
L’app économie transforme les plans business et elle est au centre de l’acquisition de l’utilisateur, de la monétisation, de l’analyse concurrentielle et plus encore…
On se rend compte que les leviers marketing les plus rentables ne sont pas forcément les plus utilisés. Si les organisations utilisent en moyenne autant de canaux qu’en 2014, leur arbitrage diffère de façon notable. Sur les dix leviers marketing les plus utilisés par les professionnels du marketing pour communiquer avec leurs cibles, six sont des leviers digitaux. De façon générale, la digitalisation du marketing se poursuit donc. La baisse des budgets marketing affecte le recours des professionnels aux canaux offline traditionnels; certains accusent des baisses importantes en deux ans. C’est notamment le cas de la publicité print (-13,9 points vs 2014) ou des prospectus (-7 points).
Les leviers de communication les plus utilisés par les organisations sont aussi ceux qu’ils estiment être les plus rentables (Sites mobiles, applications mobiles, Sites Internet). Mais certains leviers utilisés par un nombre plus restreint d’organisations sont pourtant perçus comme plus efficaces que la moyenne. C’est notamment le cas pour les push notifications sur mobile.
Les trois canaux de communication perçus comme étant les plus rentables sont le site Mobile/Application mobile (note d’efficacité attribuée : 6,9/10), le site Internet (6,8/10) et la télévision (6,5/10)
Le mobile transforme radicalement le rapport au marketing. Aujourd’hui, le marketing mobile n’existe plus! Nous sommes depuis quelques temps dans le Mobile Mind shift, ce changement de mentalité fait que le mobile est connecté à toute sortes d’expériences, (ex : La TV qui arrive à porter les succès des applications avec LCI qui se réorganise en mobile First : https://youtu.be/PwtUi4CnagM ), et que les marques ont à leurs portées plusieurs technologies pour permettre la meilleure expérience possible sur mobile !
Media Markt : Bel exemple pour illustrer que Digitaliser le point de vente n’est un choix de technologie. La vraie question à se poser est : « Mais quels usages puis-je faire de ces technologies pour ré-enchanter l’expérience client? » Et là, le magasin physique sera toujours supérieur aux pures players !!
Le digital store qui privilégie l’expérience et les services clients
Le concept du digital store Media Markt Barcelone :
En juillet 2016, Media Markt a ouvert à Barcelone le premier de ses Digital Stores. Avec une surface de seulement 800 mètres carrés, dont 450 dédiés à l’espace de vente, l’enseigne déploie ici un concept urbain utilisant les dernières technologies : RFID, écrans tactiles, réalité virtuelle, etc.
À partir des écrans et bornes présents en magasin, vous allez pouvoir consulter un catalogue virtuel regroupant plus de 20 000 références organisées autour de quatre univers distincts : électroménager, informatique, photographie et téléphonie. Une fois votre choix arrêté, vous n’avez plus à vous rendre en caisse. Chaque support de consultation est équipé d’un terminal de paiement intégré. Si le produit est disponible dans le stock du magasin, vous pouvez le récupérer en deux minutes simplement en vous rendant à l’un des comptoirs dédiés. L’article n’est pas disponible ? Le magasin se transforme alors en point retrait ouvert 24 heures /24 et 7 jours /7 grâce au robot installé en devanture. Il vous suffira de scanner le QR code que vous avez reçu sur smartphone pour que les portes s’ouvrent en dehors des heures d’ouverture.
Toutefois, le Digital Store est bien plus qu’un simple point de vente digital tel qu’on peut, par exemple, l’expérimenter chez Argos à Londres. Media Markt a ainsi choisi de privilégier une palette très large de services pour faire de votre venue une expérience unique et ludique.
Dès l’entrée du magasin, vous pouvez, par exemple, sélectionner la musique d’ambiance que vous souhaitez écouter. En privilégiant l’expérimentation, le point de vente vous propose de découvrir les dernières nouveautés telles la réalité virtuelle avec les derniers casques disponibles, le HTC Vive ou le Playstation VR de Sony. Les innovations sont d’ailleurs particulièrement bien mises en avant avec l’utilisation de la RFID. Dès lors que vous saisissez le produit, les tutoriels correspondants s’affichent sur l’écran associé. Une manière de vous immerger au cœur de l’innovation technologique.
Reste que tout au long de votre présence en point de vente, vous n’êtes pas seul. Dès votre entrée, l’équipe terrain est particulièrement présente pour vous renseigner, vous accompagner dans l’utilisation des bornes et vous conseiller. Tout comme dans les Apple Stores, le magasin dispense ainsi des formations et cours gratuits pour vous aider après votre achat à prendre en main vos appareils..
Difficile de lister tous les services et attentions proposés. Toutefois, nul doute que vous garderez en mémoire l’écran interactif mis en place pour occuper les enfants et ce, que vous en ayez un ou non. Une fois son coloriage terminé, il va pouvoir voir évoluer son avion, sa voiture un sein d’un mur d’écran. Pour plus d’immersion, il peut remplacer l’image du conducteur par sa propre photographie et ainsi conduire « pour de vrai » un avion.
Très simple, cette initiative résume à elle seule la vision de Media Markt avec son digital Store : seule, la technologie ne crée rien. Intégrée dans la relation client, elle permet de créer des services uniques vecteurs de différenciation. De quoi assurer le succès du concept ? En tout cas, un deuxième Digital Store devrait sortir de terre sous peu, place de la Catalogne, à Barcelone.
Pourquoi visiter le magasin Media Markt?
Acheter depuis un écran
Récupérer ses achats
Le Digital Store est aussi un point de collecte ouvert 24/7 grâce au robot. Vous ne pouvez pas venir pendant les heures d’ouverture ? Scannez le QR code reçu pour ouvrir les portes du magasin et récupérer votre colis.
Découvrir les services
Accueil par le personnel, café, séance de formation, espace pour recharger votre smartphone, etc. ; les services ne manquent pas au sein du magasin avec un objectif commun : faciliter au maximum votre visite.
Immerger les clients
Vous aimez les nouvelles technologies? Alors n’hésitez pas à les prendre en main en magasin afin de les tester pour de vrai. Mettez un casque pour découvrir, par exemple, toutes les possibilités offertes par la réalité virtuelle.
Occuper les enfants
Vous venez faire vos achats avec vos enfants? Pour les occuper, laissez vivre une expérience à la fois ludique et immersive. Une fois leur coloriage de bateau ou voiture scanné, ils auront la joie de le voir apparaître au sein de la ville digitale visible sur l’écran géant dédié.
Les terminaux mobiles, tels que les smartphones et les tablettes génèrent plus de trafic que l’ordinateur traditionnel. Pourtant, le taux de conversion de ces visites est inférieur. Cela est dû en grande partie au fait que sur beaucoup de sites e-commerce, le processus de paiement n’est pas optimisé pour fournir une expérience mobile sans couture. La taille de l’écran et l’interface tactile rendent complexent la saisie des données telles que les numéros de carte de crédit, ce qui conduit beaucoup de consommateurs à un abandon de panier.
Ingenico ePayments, dédiée au commerce mobile et en ligne, et Ingenico Labs, le département innovation du groupe, ont développé conjointement une solution innovante pour effectuer un paiement sécurisé en ligne sur un mobile par simple contact de la carte bancaire avec le mobile.
TapHero est une nouvelle technologie expérimentale qui associe les éléments du paiement en point de vente et du paiement mobile. Cette solution permettra aux smartphones équipés d’un lecteur NFC, de lire les données liées à la transaction grâce à la puce de la carte et de remplir automatiquement les champs nécessaires au paiement à distance. De plus, Ingenico a ajouté une fonctionnalité qui recrée le paiement sur présentation de la carte bancaire afin de renforcer la sécurité. TapHero devrait être disponible dès 2017.
TapHero s’intègre facilement dans la page de paiement d’un marchand et détecte automatiquement la présence d’un lecteur NFC. Aujourd’hui, la majorité des smartphones disponibles sur le marché sont compatibles NFC mais, pour éviter toute confusion, l’option ne sera pas proposée à ceux qui ne disposent pas de lecteur NFC. Les consommateurs n’ont rien à télécharger, ni à enregistrer leurs données ou créer de compte pour utiliser la solution. De plus, les données sensibles de la carte ne sont jamais stockées sur l’appareil mobile pour renforcer davantage la sécurité et la vie privée. Les clients Ingenico pourront simplement ajouter la fonctionnalité dans le cadre de leur intégration Ingenico Connect.
Les consommateurs peuvent rencontrer de nombreux obstacles pendant le processus de paiement, notamment :
– de longs formulaires d’informations difficiles à compléter
– un prix vague ou affiché dans une devise étrangère
– des pages qui semblent différentes du reste de votre site, ce qui conduit à une certaine confusion et méfiance
– l’absence de moyens de paiement populaires
– des pages de paiement qui ne sont pas responsives ou optimisées pour les appareils mobiles
– …et bien d’autres encore.