AvendreAlouer incite à entrer dans les agences immobilières grâce au beacon

Du bon usage des #beacons

Agence-Foncia-BFLe site de petites annonces immobilières AvendreAlouer.fr lance une offre qui incite les internautes passant à proximité d’une agence immobilière à y entrer si celle-ci propose des offres correspondant à leur recherche.

Une notification mobile signale aux utilisateurs de l’application AVendreALouer passant à proximité de l’agence que celle-ci dispose de biens correspondant à leurs critères de recherche.

Les beacon sont des balises installées dans la vitrine des agences immobilières. Les détenteurs de l’application A Vendre A Louer sous iOS et Android recevront directement sur leur mobile, sous forme de notification, une alerte de l’agence devant laquelle ils passent, avec des biens correspondant exactement à leur recherche. Ils pourront ainsi consulter les annonces susceptibles de les intéresser et concrétiser une visite immédiatement.

Le boitier envoyé par A Vendre A Louer ne nécessite pas d’installation particulière affirme le site Web. L’offre est accessible à toutes les agences clientes du portail A Vendre A Louer, au tarif de 30€/mois.

AVendreALouer entend favoriser le contact direct entre l’agent immobilier et ses clients en incitant les utilisateurs à pousser la porte de l’agence. Ce type de service apporte des contacts fortement intentionnistes puisqu’il cible des utilisateurs en recherche active d’un bien, conclut AVendreALouer.

Source : La Revue du Digital (05/2016)

Stat of the day : M-commerce

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  • Chaque jour, les français passent environ 2h27 min de leur temps sur le mobile.
  • Environ 57 % du trafic  des consommateurs vers le web se fait maintenant depuis des périphériques mobiles.
  • Les connexions à internet via le mobile dépassent de plus en plus celles effectuées via l’ordinateur.

Source : LSA (04/2016)

Changement de stratégie pour les apps d’Accor Hotels

Bonne ou mauvaise idée une Appli pour toutes les enseignes ACCOR ? … encore une fois on raisonne autour de l’offre en centrant sur le service que l’on veut offrir et pas sur l’expérience client et l’interface Utilisateur ! Mama Shelter et HOTEL F1 dans la même Apps… Whaou il a fallu le vendre ça ! Bon c’est vrai qu’a 10 millions de visites mobiles … on cherche à optimiser ! Mais la ça va pas le faire !!!! 

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Les enjeux sont donc cruciaux pour ce type de groupe dont les concurrents et pure players sur le secteur deviennent considérable, il faut donc un point unique d’entrée ? Les gains d’une t’elle stratégie, citer ci-dessus ne sont pas les seules. Il y a aussi  l’intégration des différents back-offices, qui est un travail fastidieux, invisible mais essentiel, pour l’usage de l’application. Autres points de taille, la réaction du personnel d’hôtel face à un client qui est déjà mobile first, bien souvent, vous pourrez montrer votre mobile avec insistance, la réception aura quand même le nez plongé dans son desktop, voir des feuilles de papier et vous demandera avec insistance votre carte de fidélité en plastique… Une seule app pour les équipes est un atout !

Et le client

Le problème des applications de grandes marques, c’est bien souvent de vouloir mettre la masse d’information à disposition (On imagine les réunions en interne sur le sujet, avec les différents services qui tire vers eux la couverture…) : la réservation, les offre, les actualités, la fidélisation, mon compte (mon city guide, nos marques, nos hôtels, les actus) – au final, l’exhaustivité devient vite une usine à Gaz ! Alors, c’est sûr qu’il y a différents profils de clients, et tous ne sont pas mobile first selon les pays – mais on voudrait faire remarquer aux managers du Board de ces groupes, une chose, vous devriez gérer vos clients et ceux de demain, et ces derniers sont 1000% mobile first, ils veulent réserver en « one click » pas avec des process de réservation qui sont long et fastidieux. (d’ailleurs ceux qui arrivent sur smartphone seront découragés d’une t’elle complexité)

Nous nous sommes intéressé uniquement à la réservation sans compte, mais un test complet du paiement, de la gestion de son séjour, des notifications…  Nous n’avons pas vu d’intégration d’autres services (API) à ce stade ? J’encourage les équipes à tester (réaliser serait mieux) le futur des apps qui est déjà en place dans quelques startup prometteuses comme luka.ai.

Réservation sans compte (ne devrait pas exister)

Il vous faudra pas moins de 6 actions pour faire une recherche avec une page de 26 résultats (avec les hôtels partenaires) sous forme de liste ou de carte  – vous avez aussi la possibilité de trier par distance, tarif croissant, décroissant et les étoiles, vous pouvez aussi rajouter des choix d’équipements (17), de choisir vos marques, votre devise. (voir les images en bas du post)

La carte est un excellent moyen de cibler votre Hôtel, mais la réservation rebondie sur le process long et fastidieux. Si on pousse l’utilisateur à déposer nom, prénom, e-mail, mobile et CB dés le départ, on favorisera l’acte d’achat et la qualité du process.

Pour notre part quand on voyage, on aime la carte, car cela permet de voir ou vous serez situé dans la ville. La liste n’est pas pratique, trop longue, trop d’informations (prix, offres, marques, étoiles) et obligé de vérifier la disponibilité ! (avec les hôtels partenaires)

La fiche de l’hôtel contient pas moins de +/-35 informations entre les pictogrammes, les images, les fonctions et les textes

Ensuite si vous poursuivez la réservation, vous avez une 2eme fiche de la chambre (avec 5 fonctions), avec le tarif de vos 4 nuits, mais là encore cette information cruciale est en bas de la fiche en petite police de caractères ? Pourquoi cette information qui devrait conforter l’utilisateur des jours de sa réservation et du prix n’est pas signaler explicitement  ?

Ensuite, 1 click pour continuer la réservation avec encore du blabla (merci le service juridique), 1 click pour ajouter le petit dej, 1 click pour le résumer…

Bon, nous n’avons pas passé en revue toute l’application, mais d’une manière générale si l’UX (ux,ui, design), la simplicité de l’offre et les informations ne sont pas changées radicalement, on préfère les app de type Hotel Tonight et Airbnb, alors que l’offre physique d’Accord Hôtels est très souvent supérieure (confort des chambres, personnel qualifié, services de qualité…)

Nous, on repartirait d’une feuille blanche 🙂 vu le budget laissé dans l’application IBIS en 2013, on peut dire qu’il y à perte d’argent et de temps ?

Source : Services Mobile (03/2016)

Stat of the day « M-commerce »

84% des mobinautes accèdent quasi quotidiennement à internet mobile 

« Si en 2015 le mobile s’est définitivement installé au cœur de la vie connectée d’une majorité de Français, le mobile va littéralement transformer nos modes de vie en 2016 avec une consommation de la plupart des contenus et services exclusivement en mobilité, la gestion via mobile d’un nombre croissant d’objets communicants et de nouvelles habitudes d’achats véritablement mobile-first »

Source : Baromètre Marketing mobile (03/16)

E-marchands : comment utiliser les push-notifications pour vendre plus

Comment vendre Plus avec les notifications PUSH ? Le Push : C’est la KILLER APP de l’application mobile toutes nos applications intègrent les PUSH en natif avec une stratégie spécifique à chaque typologie de clients.

Les push représentent déjà une part significative du trafic applicatif des marchands qui les emploient. Si le test&learn est encore de rigueur, leur potentiel ne fait aucun doute.

Julien-Henri Maurice, Bazarchic © S. de P. Bazarchic

« 15€ offerts sur TOUT le site, 24h pour en profiter ». De plus en plus d’e-commerçants utilisent les notifications push sur mobile afin de générer du trafic sur leur application et d’y susciter des ventes. « La Fnac tire déjà des push 10% de son trafic app, explique ainsi Ghadi Hobeika, directeur marketing digital et client de Fnac.com. Et ce levier accélère énormément, puisque fin 2015 il ne pesait encore que 5% du trafic app. » Quant à Bazarchic, qui réalise 60% de son audience et presque 50% de ses ventes sur mobile, « les push dopent le trafic app de 20% à 25% supplémentaires aux moments où ils sont envoyés », souligne Julien-Henri Maurice, directeur marketing du site de ventes événementielles.

Certes, les taux d’ouverture sont encore faibles, note Ghadi Hobeika : « Ils oscillent de 2% à 6%, voire 10% pour une très bonne campagne, mais bien en-deçà des 15% à 25% de nos e-mails. Pour l’instant, les push constituent donc un levier intéressant pour transmettre une information aux clients les plus fidèles – ceux qui ont l’app – mais souvent ces derniers n’agissent que plus tard. » Les performances de cet outil encore très jeune peuvent donc encore progresser.

Positionné sur un mode de vente de l’urgence et de l’impulsion, Bazarchic constate d’ailleurs déjà un effet intéressant : les push tendent à booster le taux de conversion et le panier. « De même qu’une relance de panier abandonné tend à produire des paniers supérieurs, l’effet d’opportunité des push l’emporte même face à des clients qui ne sont pas organiquement intéressés », analyse Julien-Henri Maurice.

Des push pour dire quoi ?

Actuellement, la Fnac envoie en push trois types de messages : des sorties produits, de grands temps forts commerciaux (journée adhérent, grosse promo…) et des événements (concert Fnac Live, événement magasin, lancement de la catégorie sport…). « Nous n’en sommes qu’aux prémices de notre dispositif, précise Ghadi Hobeika. Mais nous pourrons bientôt être plus fins en segmentation, ce qui nous permettra des notifications plus commerciales. Il y a beaucoup de recettes d’e-mailing qui marchent très bien, par exemple une relance après un abandon de panier, et qui fonctionneraient aussi en push. » Les notifications de suivi de commande en ligne sont également dans les cartons.

Captures de notifications envoyées à des détenteurs de l’application mobile de la Fnac © S. de P. Fnac

Bazarchic utilise déjà les push pour de nombreuses occasions. Le suivi de commande d’abord : lorsque le colis part de l’entrepôt, arrive en point relais, ou quand l’e-marchand accuse réception d’un produit retourné. Mais le site en envoie aussi pour souhaiter un joyeux anniversaire, annoncer l’ouverture des ventes le matin, relayer le best-of des meilleures ventes du moment, indiquer au client qu’il lui reste un bon d’achat, ou encore envoyer une relance 15 minutes après une mise au panier pour indiquer qu’il ne reste que 5 minutes pour le valider. « En moyenne sur le marché, la personnalisation permet de tripler l’engagement, indique Julien-Henri Maurice. Nos taux d’ouverture peuvent par exemple monter jusqu’à 70%, d’autant qu’il n’y a aucun problème de délivrabilité. Donc plus on a de data, mieux c’est. »

Fnac.com va d’ailleurs s’engager dans la même voie et mettre en place d’ici l’été Accengage, solution de gestion des push, pour accompagner sa segmentation. Bazarchic, qui aujourd’hui construit « à la main » de gros segments, veut aussi aller plus loin : « Bientôt, du scoring nous permettra de faire du marketing automation et de segmenter de façon automatisée et industrialisée, en fonction de l’historique de transactions et de navigation de l’utilisateur, comme de son cluster de look-alike », précise Julien-Henri Maurice.

Pas plus de trois push commerciaux par semaine

Chez Fnac.com, des push sont envoyés deux à trois fois par semaine à l’ensemble des clients qui les ont autorisés, fréquence amenée à baisser lorsque sera mise en place une meilleure segmentation. Bazarchic ne monte pas non plus au-delà de deux push commerciaux par semaine, trois en cas de grosse actualité. « Mais ils s’ajoutent aux notifications de suivi de commande, qui sont automatiques et très attendues par les clients, ainsi qu’aux push signalant un bon d’achat ou un panier abandonné, qui ne sont pas non plus perçus comme de la pression commerciale », souligne Julien-Henri Maurice.

Captures de notifications envoyées à des détenteurs de l’application mobile de Bazarchic © S. de P. Bazarchic

 

Les heures d’envoi des push commerciaux sont assez classiques. « Le matin entre 7h et 8h quand les gens se lèvent et petit-déjeunent, puis vers 19h, conseille le directeur marketing de Bazarchic. Mais dès 9h les résultats plongent, car les clients conduisent ou sont dans les transports en commun où ils captent mal et ne tiennent pas à sortir leur carte bancaire. » A la Fnac, Ghadi Hobeika considère que les « moments mobiles » incluent les transports et vise davantage de plages horaires : de 8h à 10h, de 12h à 14h, de 18h à 19h puis sur tablette de 20h30 à 23h.

Un ton plus léger, propre au mobile

Dans une pratique encore marquée par le test&learn, les usages en matière de formulation divergent, preuve aussi qu’il convient avant tout de s’adapter à ses produits et à ses clients. « S’adresser à l’utilisateur par son prénom marche bien, comme dans l’e-mail », note Julien-Henri Maurice, qui use aussi d’émoticônes pour habiller et contextualiser le message de façon ludique : une fleur pour le printemps, une boule de neige pour l’hiver… « Le teasing est aussi efficace. On peut ne pas tout dire et se contenter d’un ‘Bazarchic vous réserve une surprise, n’attendez plus’, ou ‘Bazarchic a un cadeau pour vous’. »

Lorsque les ventes s’ouvrent le matin, l’e-marchand ne s’oblige pas non plus à citer les marques concernées et ne relaie deux ou trois noms qu’en cas de marques stars, telles que Converse ou The Kooples. Le plus important est de varier les formulations. Le directeur marketing du site de ventes événementielles recommande enfin de ne pas hésiter à adopter un ton décalé. « Le push est à l’email ce que Youtube est à la télévision : on peut être plus light et moins gnangnan que dans un email formel. »

Ghadi Hobeika, Fnac © S. de P. Fnac

Une légèreté de ton qui a aussi marqué les débuts des push de la Fnac. « On a osé des messages comme ‘Tu me manques’, sans dire que c’était le titre du dernier Harlan Coben, se souvient Ghadi Hobeika. Ou, à Halloween, ‘Ca fait peur, non ?’. Mais quand on prend ce type de risque, on doit être sûr de soi. Donc nous essayons le plus souvent de rester dans le cadre, ce qui n’empêche pas un ton détendu qui créera la connivence. Nous nous adressons à nos meilleurs clients, qui ont un affect vis-à-vis de notre enseigne. Nous pouvons donc nous l’autoriser… sans nous prendre pour leurs potes. » Restent à suivre quatre règles d’or : clarté (« sur mobile, device très personnel, mieux vaut être très explicite pour ne pas sembler intrusif »), concision (« car on dérange »), pertinence et… personnalisation. « Les clients sont prêts à recevoir beaucoup de messages s’ils sont adaptés à leur situation, ajoute le spécialiste. Ce qui nous réserve une belle marge de progression. »

L’appli Fnac.com, téléchargée 3,3 millions de fois en France, compte déjà 1,1 million d’opt-in push. Chez l’agitateur culturel comme chez les autres marchands qui se mettent aux notifications mobiles, les taux d’ouverture et de conversion vont pouvoir grimper lorsque seront affûtées segmentation et personnalisation. Les push démarrent peut-être avec un peu de retard, mais ils n’ont pas fini d’accélérer.

Source : JDN (05/2016)

La Chine, pays du mobile first

« La Chine, pays du mobile first » publié le 18/03/2016 par Marie-Juliette Levin. La Chine, alternative à la Silicon Valley ? De nombreux investisseurs étrangers y croient… L’Atelier BNP Paribas, implanté à Shangai, livre un retour d’expérience du comportement des Chinois à l’heure de la consommation digitalisée.

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En Chine, le mobile est roi. Ce device a très vite supplanté le desktop auprès d’une génération « mobile addict ». De fait, les smartphones sont implantés dans le quotidien des Chinois, dans les petites comme dans les grandes villes. « Le mobile sert à communiquer, payer, s’informer, faire du business, ne rien oublier… C’est un compagnon du quotidien », explique Judy Wei, nouvelle managing director de la filiale asiatique de la société de prospective et d’innovation, basée à Shanghai. Cette explosion de l’usage et le taux d’équipement de la population sont à l’échelle du pays. A tel point que les opérateurs locaux, les BAT (Baidu, Alibaba et Tencent) n’hésitent pas à se présenter comme des concurrents sérieux des traditionnels GAFA (Google, Amazon, Facebook, Apple). Sur une population d’1,3 milliard, Internet bénéficie d’un taux de pénétration de 50,3% (source : CNNIC 2016). Et sur ces 688 millions d’internautes, 90,1% utilisent le mobile soit 620 millions d’individus connectés en permanence sur leur téléphone. Et 127 millions surfent sur la toile, exclusivement via leur mobile. Avec plus de 650 millions d’utilisateurs, WeChat, l’application mobile de messagerie textuelle et vocale, développée par Tencent, est très populaire.

 » Elle permet de payer en magasins, de transférer de l’argent, appeler puis payer les taxis, commander de la nourriture, se géolocaliser pour communiquer avec ses amis… bref la déclinaison de ses services est infinie « , précise Jean de Chambure, Directeur du Conseil de la filiale Asie.

Retail : Mobile centric génération

Dans toutes les transactions commerciales, le mobile s’impose comme le lien naturel. Rechercher des informations produits sur les moteurs de recherche et autres comparateurs de prix (surenchère permanente sur le meilleur prix), profiter des bons de réduction (m-coupons) dans le cadre d’une culture du discount très forte en Chine ou encore payer grâce aux QR codes dans les boutiques fait partie du quotidien sur consommateurs.  » Les transactions sont simplifiées pour payer avec son device en magasin. Les mobiles sont tous équipés de wallets « , complète Jean de Chambure. A titre d’exemple, les solutions de paiement chinoises, Alipay (Alibaba) et Tenpay (WeChat) rassemblent respectivement 400 millions (77% de PDM) et 200 millions d’utilisateurs actifs (13,5 % PDM) contre 220 millions pour PayPal dans le monde (moins de 1% du marche chinois). Apple Pay, lancé en février 2016, a attiré 30 millions d’utilisateurs dès les premiers jours.

Source : E-commercemag  (03/2016)

Les principales tendances du marché des APPS

Les Tendances 2016 du marché des Apps ! Encore une fois, la migration du monde physique vers le monde mobile reste un vecteur de succès . Pour 1T16, petit chiffre étonnant la France est le 4 ème pays en terme de croissance sur Google Play …. Merci à AppAnnie pour ces chiffres.

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App Annie, vient de publier un rapport intitulé « Q1 Market Index Report ». Ce rapport revient sur les principales tendances du marché des APPS qui ont marqué le premier trimestre 2016.

Dans ce rapport, on apprend notamment que :

La France arrive en 4ème position des pays ayant connu le plus de croissance en terme de chiffre d’affaires sur Google Play (avec 37% d’augmentation par rapport au 1er trimestre 2015).
Les partenariats stratégiques, les intégrations et les lancements d’API semblent être un vecteur de succès sur le marché des apps et offrent un nouveau pont permettant la migration du monde physique vers le monde mobile. (ex : Spotify est intégrée dans l’application Starbucks).

Dirigé largement par iOS, les applications de divertissement et de Musique ont connu une croissance explosive des revenus au 1er trimestre 2016. Ceci est largement dû au succès des modèles de revenu d’abonnement pour les services de streaming. Comme mentionné dans l’App Index Janvier, Netflix a atteint la place n° 1 dans le monde entier pour ce qui est des apps de vidéo en streaming sur iOS après avoir introduit les abonnements in-app. (34% des revenus de Netflix provenant de l’extérieur des États-Unis à la fin de 2015)

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La Chine a perturbé le classement iOS encore une fois, cette fois en doublant le Japon pour prendre la place n ° 2 pour les revenus, en attendant la 1er place, elles ont augmenté de près de 2.2x année entre le 1er Trimestre 2015 au T1 2016. La Chine a continué à avoir de fort téléchargements après avoir dépassé les États-Unis au 1er trimestre 2015 pour devenir le plus grand marché pour iOS. En termes de chiffre d’affaires sur iOS, la Chine gagne sur les États-Unis pour les jeux, mais les États-Unis maintient une avance de 30% dans l’ensemble.

Il est intéressant de noté l’introduction de Spotify dans l’application Starbucks au 1er trimestre 2016. L’intégration permet aux utilisateurs de découvrir la musique en magasin. L’application Starbucks représente un marché mûr pour favoriser Spotify et augmente le potentiel de monétisation de la base d’utilisateurs. Des partenariats stratégiques et d’intégrations sont susceptibles de continuer parmi les applications entre le monde du physique vers le monde mobile.

Source: Services/Mobiles (04/2016)

STAT OF THE DAY « M-commerce »

          Le chiffre d’affaires du m-commerce augmente bien plus vite que celui des sites                             e-commerces

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Une étude  publiée par Sociomantic le 27 Avril 2016 sur le marché mobile français, montre que le chiffre d’affaires généré par le commerce mobile (7 milliards d’euros) affiche une croissance de 75% en 2014 et 2015, alors que celui du e-commerce n’a augmenté que de 11%.

Source : LSA (04/2016)

Shoppers connectés : comment les séduire en magasin ?

Au-delà de la relation entre le client et sa marque, le consommateur d’aujourd’hui ne cherche plus à exercer un simple acte d’achat en magasin, il veut vivre une expérience immersive IN STORE, il attend qu’on le surprenne. Le rapprochement du monde DIGITAL au point de vente physique créé ce qu’on appellera le VENDEUR CONNECTE. Faire vivre au client une expérience d’achat in store fluide ! Mais comment séduire ces acheteurs qui savent tout sur tout ? ET quels dispositifs digitaux mettre en place dans le retail . Quels contenus pousser vers les visiteurs pour leur proposer une expérience d’achat in store inédit ?

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Chaque année, la France compte de nouveaux acheteurs en ligne. Avec une hausse de 20% en 2015, on compte au total 34,7 millions d’acheteurs en ligne. Ces nouveaux acheteurs en ligne deviennent rapidement des acheteurs fréquents. Ils sont 37% à acheter régulièrement tous les mois sur Internet et 30% à acheter tous les jours ou toutes les semaines sur le web. Ces acheteurs en ligne sont aussi des acheteurs dans le retail.

Selon l’étude Link Emporium menée par KR Media et le CELSA Paris Sorbonne, plus de la moitié des personnes qui fréquentent des centres commerciaux aiment réaliser leurs achats en ligne. Preuve que ces deux types de commerces (magasin et online) se complètent. Pour séduire ces acheteurs en ligne et leur faire passer une expérience in store génératrice de valeurs, les enseignes misent sur l’innovation en intégrant des nouvelles technologies dans les points de vente : miroirs intelligents, robots, équipement des vendeurs avec des tablettes, bornes, terminaux de paiements mobiles, beacons …

Les magasins se transforment. Ils se digitalisent avec l’objectif d’offrir des services continus et cohérents sur tous les points de contacts avec le client. Le but étant de faciliter le shopping qu’il soit in store ou online en proposant la bonne réponse au bon moment et au bon endroit. Finalement l’important ce n’est pas le lieu où le consommateur passe à l’acte d’achat mais tout le chemin qu’il a parcouru pour passer à l’acte d’achat que nous pouvons appeler l’expérience shopping. Et ce chemin doit être façonné sur chaque point de contact en prenant en compte tous les besoins du client pour garantir une expérience d’achat unifiée et sans écueil. Outre l’intégration de la technologie dans les points de vente, il est primordial également de recentrer l’humain dans les interactions entre le client et la marque.

Le digital a ainsi initié une nouvelle culture du point de vente où l’expérience client est devenue le Graal du commerce connecté. Mais comment séduire ces acheteurs qui savent tout sur tout ? Quels dispositifs digitaux mettre en place dans le retail et quels contenus pousser vers les visiteurs pour leur proposer une expérience d’achat in store inédite ?

Les vendeurs : l’atout premier des magasins

Les pure players comme les enseignes ont compris l’importance du contact physique avec les clients pour proposer une expérience de marque globale à leurs consommateurs. Nous avons vu les pure-players comme Amazon ouvrir des points de ventes physiques et élargir leur offre produits et services tout comme les grandes enseignes ouvrir leurs boutiques en ligne et innover en magasin en proposant de nouveaux services. Pour couvrir une expérience de marque globale, le digital ne peut pas exister sans le retail et le retail ne peut pas exister sans le digital. Les deux univers doivent co-exister et avancer ensemble avec un objectif commun : apporter une réponse pertinente et personnalisée au client au moyen d’une relation client omnicanal. Et à l’ère du tout digital, la relation client passera obligatoirement par le numérique.

Dans le retail, le digital in store apparait ainsi comme une réelle opportunité pour les enseignes qui souhaitent faire du commerce personnalisé à l’instar de la petite boutique du coin qui connait chacun de ses clients. Mais pour proposer une relation personnalisée en magasin, les retailers doivent replacer le vendeur au cœur de leur stratégie de vente. La relation client impliquera nécessairement le vendeur qui pourra alors remplir son premier rôle de conseiller et devenir par là-même un véritable porte-parole de la marque. Le vendeur n’est pas seulement là pour ranger les produits dans les rayons. Et les enseignes doivent donner les moyens à leurs vendeurs en les incluant dans le processus de fidélisation client afin qu’ils accompagnent leurs clients lors de leur parcours d’achat en magasin et leur faire vivre une expérience d’achat réussie.

Face à la question suivante : « Qu’est-ce qui améliorerait votre expérience d’achat en magasin ? », 40% des consommateurs ont répondu « Des vendeurs ayant une connaissance approfondie de la gamme de produits ». La qualité du conseil prodigué par les vendeurs reste la principale attente des consommateurs lorsqu’ils se rendent en magasin. Pour redonner au vendeur ce premier rôle d’expert, l’enseigne devra nécessairement mettre en place des formations approfondies pour permettre aux vendeurs de connaître leurs segments de produits, faciliter les échanges d’informations avec les autres services de l’enseigne, équiper les vendeurs en terminaux mobiles et les former à l’utilisation de ces nouvelles technologies que le secteur du digital a su développer.

Le vendeur de demain sera connecté, informé et disponible sans être intrusif.

La DATA au service de la relation vendeurs/shoppers connectés

Pour faire face à des acheteurs surinformés qui poussent la porte des enseignes avec une idée précise de ce qu’ils viennent chercher en magasin, ces dernières n’ont pas le choix que d’équiper leurs vendeurs d’outils numériques comme les tablettes pour leur permettre d’avoir accès à la data afin de pouvoir conseiller au mieux cette clientèle en orientant chaque client vers le bon produit. Ces outils permettront aux vendeurs d’avoir accès à des données sur les clients mais aussi des informations sur les produits. Des données importantes auxquelles le vendeur doit pouvoir accéder rapidement afin de répondre efficacement aux attentes de sa clientèle. Selon l’étude Total Retail 2015 « Sur quoi miser aujourd’hui pour réenchanter la relation client ? », 32% des shoppers considèrent que la possibilité de vérifier rapidement les autres stocks en magasin ou en ligne permettrait d’améliorer l’expérience d’achat en magasin.

Car à défaut de pouvoir trouver les informations recherchées auprès des vendeurs, les consommateurs utiliseront leur propre mobile en magasin pour consulter les informations sur les produits (avis, prix, disponibilité…). Selon cette même étude, 76% des acheteurs en ligne utilisent leur smartphone en magasin pour comparer les prix (48%), s’informer sur un produit (47%), accéder à un code promotionnel (41%) et consulter les avis sur le distributeur (33%). Et à mon sens, ce comportement nuit à tous les efforts produits par l’enseigne pour proposer une expérience d’achat in store positive. Le consommateur lorsqu’il se rend en magasin, il ne vient pas pour acheter un produit mais pour vivre une expérience avec la marque. Il ne doit donc pas ressentir le besoin de rechercher des informations sur les produits en utilisant ses propres moyens. Le temps passé dans le magasin doit être un temps alloué à l’expérience. Il ne doit pas être perturbé par un élément extérieur. L’enseigne aura réussi son expérience de marque lorsqu’elle sera capable de proposer une immersion totale dans son univers tout en prenant en compte les nouveaux comportements et les nouvelles tendances digitales y compris l’utilisation du mobile en magasin.

Certaines enseignes ont compris l’importance de rendre accessibles certaines données au sein même du magasin pour faire vivre une expérience d’achat in store fluide. Nous avons vu certains magasins afficher les avis produits à côté du produit en magasin par exemple. Une pratique qui offre aux consommateurs la possibilité de lire les avis produits sans avoir à dégainer leur mobile.

Pour palier à ce comportement caractérisé par l’utilisation du mobile en boutique, les enseignes peuvent également intégrer des dispositifs digitaux dans le paysage de leurs magasins pour inviter les visiteurs à utiliser les services offerts par le store tout en utilisant leur mobile et ainsi à créer des connexions entre le visiteur et le store.

Des dispositifs digitaux adaptés au retail pour faciliter l’expérience des shoppers connectés

Le digital doit inévitablement s’inviter en magasin pour proposer une expérience d’achat unique et sans couture aux visiteurs. Le client magasin est à la recherche de sensationnel, il veut vivre une expérience immersive. En plus de pouvoir retrouver en magasin les codes de la marque qui font sa notoriété, le client attend qu’on le surprenne, qu’on l’enchante, qu’on l’émerveille. Les marques arrivent à faire plonger le consommateur dans leur univers au moyen du brand content (vidéos, publicités…). Et cette expérience doit se prolonger in store pour ne pas créer de rupture entre les points de contacts. Avec le digital, nous avons vu apparaitre de nouveaux dispositifs novateurs qui ont séduit le public soit parce qu’ils permettent une immersion totale dans l’imaginaire de la marque en offrant une expérience originale, soit parce qu’ils facilitent l’expérience d’achat en rendant le shopping facile et rapide.

C’est le cas des bornes de paiement mobile qui utilisent le paiement sans contact. Grâce à cette nouvelle technologie, le client peut payer ses achats avec son mobile et il ne se sent plus obligé de sortir sa carte bancaire. Un nouvel usage qui facilite le shopping in store. BNP Paribas, Société Générale et Orange ont déjà lancé leur application avec Visa pour offrir à leur clientèle la possibilité de régler leurs achats avec le paiement mobile sans contact. Côté utilisateur, le client télécharge l’application sécurisée sur son mobile. Et pour régler ses achats, il lui suffit de poser son mobile sur le terminal de paiement et c’est réglé ! Pour les achats de plus de 20 euros, le client devra tout de même saisir son code sur l’application.

Selon une étude de Juniper Research publiée le 11 avril 2016, les paiements sans contact ont enregistré un montant total de 35 milliards de dollars en 2015. Ils devraient représenter 95 milliards de dollars en 2018. Des chiffres qui attestent de l’intérêt pour ce nouveau mode de paiement. Après son lancement aux Etats-Unis en octobre 2104, en Grande-Bretagne et au Canada, Apple Pay, le système de paiement mobile d’Apple fonctionnant avec l’iPhone pourrait arriver prochainement en France.

Autre innovation dans le secteur du commerce connecté : les écrans connectés ! Ces derniers ont fait leur apparition au CES 2016 de Las Vegas. La start-up Think&Go installée dans les Bouches-du-Rhône, innove en commercialisant une nouvelle génération d’écran connecté qui va révolutionner sans aucun doute le secteur du retail digitalisé. Ces écrans interactifs intègrent des readers NFC qui permettent de communiquer avec un mobile, une carte bancaire, une montre connectée ou tout autre objet doté de la technologie NFC. Une innovation qui permet de créer de nouvelles interactions en magasin avec le client. En posant simplement l’objet connecté sur l’écran, le consommateur pourra recevoir des coupons de réductions, régler un achat, recevoir des informations… 25% des shoppers ont indiqué que la réception d’offres personnalisées en temps réel et la possibilité de voir sur écran et commander des produits non disponibles en magasin permettrait d’améliorer l’expérience en magasin (étude Total Retail 2015 « Sur quoi miser aujourd’hui pour réenchanter la relation client »).

Le plus de ces écrans connectés c’est qu’ils peuvent s’adapter à tous les secteurs d’activité : aéroports, musées, centres commerciaux… Les marketeurs peuvent donc imaginer n’importe quel scénario avec tout type de contenu à envoyer sur l’objet connecté.

La start-up Lineberty quant à elle réinvente le temps passé à faire la queue grâce à son appli qui rend la file d’attente virtuelle ! Oublié le temps passé à attendre son tour dans les magasins, parcs d’attraction et autres sites touristiques ! En téléchargeant l’appli, le consommateur pourra prendre un ticket virtuel et être averti via une alerte ou un SMS lorsque son tour arrive bientôt. Lineberty transforme ainsi le temps passé à attendre en un temps libre. Au lieu d’attendre son tour, le client pourra utiliser son temps pour faire autre chose. La file d’attente est transformée en une expérience positive pour le client. La start-up a inauguré son appli Lineberty à l’Hôtel de Ville de Paris lors des Journées du Patrimoine 2015 où plus de 4000 visiteurs ont pu tester cette nouvelle application qui révolutionne la file d’attente. Lineberty prévoit de s’attaquer à tous les secteurs où la file d’attente devient une source de stress : supermarchés, parcs d’attractions, administrations, restaurants, monuments touristiques et bien évidemment les magasins !

Le digital est un moteur puissant qui bouscule les habitudes de consommation des individus et qui crée de nouveaux comportements insoupçonnés. Le consommateur d’aujourd’hui est un shopper connecté, surinformé, exigent, imprévisible ce qui rend la tâche complexe aux marketeurs qui doivent innover sans cesse pour proposer des services en phase avec les nouveaux usages de l’acheteur 3.0. Pour répondre aux besoins de ce nouveau consommateur, les commerces physiques sont en pleine mutation. Ils se digitalisent pour offrir une expérience « phygital » au consommateur : un monde où les barrières entre le online et le offline n’existent plus !

Face à cette nouvelle typologie de client, les enseignes imaginent de nouveaux services pour rendre l’expérience d’achat en magasin génératrice d’expériences et d’émotions. Pour être acceptés, ces services devront être générateurs de valeur pour le client mais aussi pour le vendeur. Les services proposés devront donc être utiles au client mais ils devront surtout intégrer le vendeur dans la phase de digitalisation du point de vente. L’expérience shopping 3.0 c’est la combinaison d’un consommateur connecté, d’un vendeur-expert et de services technologiques innovants intégrant des contenus pertinents. Aux enseignes de séduire leurs vendeurs avec un programme de formation centré sur la technologie au service de l’humain.

Source : web&solutions (04/2016)

C’est une première historique, les ventes d’iPhone baissent

Steve Jobs revient !!!! #ilsontbesoindetoi

Pour la première fois depuis le lancement de l’iPhone en 2007, Apple enregistre un recul des ventes de son produit phare.

Depuis près de dix ans, Apple affole tous les compteurs, battant chaque trimestre des records jusqu’à devenir la première capitalisation boursière du monde, avant d’être dépassé par Alphabet (ex-Google). Rien d’inquiétant cependant pour une entreprise qui possède un trésor de guerre considérable (plus de 200 milliards de dollars) et qui récupère même de l’or dans les iPhone et les Mac qu’elle a recyclé en 2015 (A 1 232 dollars l’once, la tonne récoltée lui a rapporté plus de 38 millions de dollars).

Néanmoins, lors de l’annonce des résultats de son premier trimestre fiscal 2016, la firme de Cupertino était bien obligée de reconnaître qu’un ralentissement était à prévoir. Son PDG, Tim Cook, avait d’ailleurs pris les devants en expliquant que les ventes d’iPhone devraient reculer lors du prochain trimestre… et elles ont reculé.

Pour la première fois depuis le lancement de son smartphone en 2007, les ventes d’iPhone ont reculé de 16 % sur un an et quand le produit phare de la marque s’enrhume, c’est l’ensemble des revenus du groupe qui tousse. Le chiffre d’affaires affiche en effet une baisse de 13 % sur un an mais atteint quand même 50,6 milliards de dollars tandis que le bénéfice net passe à 10,5 milliards de dollars (-22%).

1/4 des transactions sont des transactions mobiles

caapple

Concernant l’iPhone, 51,2 millions d’appareils ont été écoulés soit 10 millions de moins qu’il y a un an mais le smartphone à la pomme rapporte toujours énormément, près de 33 milliards soit 65% du chiffre d’affaires total de la firme. Il y a un an, les ventes d’iPhone rapportaient 40,3 milliards à Apple.

Malheureusement pour le géant américain, il ne peut pas compter sur ses autres produits pour atténuer la baisse. Les ventes d’iPad s’élèvent à 10,2 millions (4,4 milliards de dollars de revenus) contre 12,6 millions d’unités il y a un an (5,4 milliards de dollars) et les Macs sont victimes de la crise du marché du PC (-9% sur un an avec 4 millions d’unités écoulées).

ventesiphone

Partout dans le monde, les revenus sont en net recul, en particulier en Asie avec une baisse de 26% en Chine et de 25% dans l’Asie Pacifique. Seul le Japon résiste et affiche une belle progression de 24% sur un an. Outre-atlantique, la baisse est de 10% tandis qu’Apple limite la casse en Europe avec des revenus qui diminuent de 5%.

Des prévisions pessimistes pour le 3ème trimestre

Enfin, comme nous l’avions noté lors de l’annonce des précédents résultats, les services et les « autres produits » continuent de progresser. Portés par le succès d’Apple Music, les services ont rapporté près de 6 milliards ce trimestre soit 20% de plus qu’il y un an alors que les « autres produits » font encore mieux avec une hausse de 30% sur un an (2,2 milliards de dollars contre 1,7 milliards l’an passé).

Rappelons que cette catégorie comprend les Apple Watch. Tim Cook a d’ailleurs annoncé que les ventes de la montre connectée d’Apple ont dépassé celles du premier iPhone dans l’année suivant son lancement. Une comparaison qui vaut ce qu’elle vaut mais qui nous permet d’avoir enfin un chiffre concernant les Apple Watch, dont Apple a écoulé plus de 6,1 millions d’exemplaires.

Sanctionné du côté de Wall Street (-8%), Apple s’attend à un troisième trimestre difficile avec des prévisions pessimistes :

  • chiffre d’affaires entre 41 milliards de dollars et 43 milliards de dollars
  • marge brute entre 37,5 % et 38 %
  • charges d’exploitation entre 6 milliards de dollars et 6,1 milliards de dollars
  • autres produits/(charges) de 300 millions de dollars
  • taux d’imposition de 25,5 %

Source : Presse-citron (04/2016)