Même le panier moyen est plus important sur Mobile ! On savait déjà que les Applications mobiles étaient supérieures en taux de conversion.
L’étude CRITEO montre que c’est aussi le cas sur le panier moyen …
Source : Criteo (02/2016)
Même le panier moyen est plus important sur Mobile ! On savait déjà que les Applications mobiles étaient supérieures en taux de conversion.
L’étude CRITEO montre que c’est aussi le cas sur le panier moyen …
Source : Criteo (02/2016)
Le Clienteling ça vous dit ? C’est influencer un client déjà fidèle ! et les APPS ça sert aussi à ça !
Afin d’accroître le trafic en magasin, la conversion et le panier, les vendeurs peuvent s’appuyer sur les informations de CRM fournies par ces applications dédiées.
Beaucoup de distributeurs ont constaté que la loi de Pareto s’appliquait aussi à leurs magasins : 20% de leurs clients sont à l’origine de 80% des ventes, voire plus. Se concentrer sur ces meilleurs clients, par exemple pour accroître leurs dépenses de 5%, rapportera donc davantage qu’un gain de 10% chez tous les autres. Influencer un consommateur déjà fidèle, c’est l’objectif principal de ce qu’on appelle le clienteling.
Influencer un consommateur déjà fidèle est l’objectif principal du clienteling
Typiquement, le vendeur s’appuiera sur une application tablette ou mobile dont les fonctionnalités de clienteling, alimentées par les capacités de CRM personnalisé qu’apporte le numérique, le mettront en capacité d’établir des relations de long terme avec les meilleurs clients et de tirer le maximum de chaque interaction.
Le but : influencer le comportement du visiteur en magasin en termes de fréquence de visite, de conversion, de panier et de marge, mais aussi accroître la productivité du vendeur lui-même. Souvent, cette facette de clienteling s’ajoutera dans l’app à d’autres outils d’aide à la vente, comme le catalogue complet de l’enseigne, l’accès au stock des autres magasins, la possibilité de passer commande et éventuellement un check-out « volant » en rayon.
Pour que le vendeur puisse s’adresser de façon personnalisée aux clients, il lui faut bien sûr les connaître. Ce qui signifie d’une part de disposer des informations récupérées en ligne, déclaratives ou non (coordonnées, sexe, âge, centres d’intérêt, points de fidélité, historique d’achat, produits préférés, wishlist, paniers abandonnés…), et d’autre part de pouvoir compléter le profil du visiteur se tenant devant lui avec des informations judicieuses qu’il n’aurait sans doute pas renseignées sur le site (anniversaire, allergie, diverses préférences…). Pour créer le climat de confiance nécessaire à ce type d’échange, le savoir-faire relationnel du vendeur est donc clé.
Forte de ces précieuses données, l’application de clienteling va pouvoir fournir une série d’outils au vendeur. Immanquablement, celui-ci doit d’abord identifier le visiteur. Par sa carte de fidélité, par un beacon qui communique avec l’app de l’enseigne sur son smartphone, ou tout simplement en lui demandant son nom. Apparaissent alors toutes les informations utiles pour accompagner le client de façon personnalisée et tenter d’accroître la conversion et le panier.
Toutes les données omnicanales déjà mentionnées, d’abord. Si une visiteuse cherche la teinte d’ombre à paupière qui lui avait tant plu il y a trois ans, ou souhaite essayer un article mis de côté dans sa wishlist, quelques clics suffiront à les retrouver. De même, connaître son historique et ses préférences facilitera le cross-sell et l’up-sell.
Mais l’app de clienteling peut aussi fournir un niveau d’information supérieur : si le consommateur fait partie du top 10 de ses meilleurs clients, s’il n’achète que telle catégorie de produits, si ses paniers ne dépassent jamais 40 euros, si ses points de fidélité ont atteint un palier… Savoir cela permettra au vendeur de mieux le guider et de lui suggérer un achat pertinent. Et si l’enseigne a mis en place un moteur de recommandations sur son site marchand, il s’ajoutera avantageusement aux autres fonctionnalités de clienteling.
Parmi les outils de clienteling figure aussi la possibilité de communiquer directement avec le client, en lui envoyant des SMS ou des emails via la plateforme de l’enseigne. Est arrivé en stock un article susceptible de lui plaire, qui compléterait son look ou correspondrait à ses recherches sur le site ? Ou une taille qui était en rupture lorsqu’il a voulu l’essayer ? La boutique organise un événement ou vient de recevoir la nouvelle collection ? Le vendeur peut envoyer un message personnalisé, qu’il signe de son nom pour renforcer sa relation avec le client. Toutes ces sollicitations serviront à accroître le trafic en magasin.
Source : JDN (04/2016)
Source de l’image: Genious interactive
Le m-commerce est devenu l’épicentre du commerce connecté. Les français sont de plus en plus accrochés à leur smartphone. Avec un taux d’équipement en hausse, les Français passent plus de temps sur Internet au moyen de leur mobile. 94% des français possèdent un mobile et 82% des Français vont sur Internet tous les jours.
Les Français n’hésitent pas à dégainer leur mobile pour toutes les activités de leur vie quotidienne : travail, vie sociale, détente ou shopping. Le mobile est partout à tel point qu’il est devenu le prolongement de l’Homme. Jamais sans mon mobile, of course ! Nous vivons sur Internet à l’aide du mobile. Les connexions sur le web se font de plus en plus à partir d’un terminal mobile. Notre consommation est devenue omni-digitale ! Les enseignes et les pures-players devraient se réjouir et se ruer vers la place mobile pour toucher leurs consommateurs là où ils se trouvent c’est-à-dire à proximité de leur smartphone ! S’il y a bien un investissement à faire en 2016, c’est bien le mobile !
Le mobile serait-il devenu la clef de voûte du commerce omnicanal ? Le m-commerce est-il en train de devenir le nouveau terrain de prédilection des acheteurs en ligne ?
Pour la première fois de l’histoire du web et depuis octobre dernier, le trafic à partir des terminaux mobiles a dépassé le trafic provenant du desktop. En mars 2016, 51,4% des visites de sites web proviennent du mobile. Le téléphone mobile remporte 43,4% du trafic des visites et la tablette enregistre une part de trafic de 8%. Avec plus de 48% des visites, l’ordinateur reste tout de même largement utilisé par les Français.
51,4% des visites de sites web proviennent du mobile (source : Médiamétrie).
Ces chiffres publiés par Médiamétrie attestent de la part croissante du mobile dans le paysage d’Internet.
C’est un fait : les consommateurs sont de plus en plus connectés et le mobile gagne une place de plus en plus importante dans notre consommation digitale. Un comportement qui influe littéralement sur les ventes provenant du canal mobile.
Chaque année, les ventes sur mobile continuent d’augmenter marquant ainsi l’importance du mobile dans le parcours d’achat des consommateurs.
D’après la dernière étude de RetailMeNot publiée en mars 2016, les ventes sur mobile en France ont doublé en 2015. Ce canal de vente enregistre ainsi un chiffre d’affaires de 7 milliards d’euros. Les terminaux mobiles (mobile et tablette) représentent 19% des achats réalisés sur Internet.
1 achat online sur 4 se fait à partir d’un terminal mobile (source : RetailMeNot).
37% des e-acheteurs ont déjà réalisé un achat sur mobile. 522 euros c’est le montant annuel dépensé sur mobile par un acheteur français. En moyenne, les acheteurs sur mobile ont réalisé 10,5 transactions en 2015 avec un panier moyen de 49,74 euros.
Les ventes sur mobile devraient continuer de progresser en 2016. Les prévisions du m-commerce en France prévoient une croissance de 45% pour la tablette et une croissance de 42% pour le mobile. Les Français devraient dépenser 10,1 milliards d’euros en 2016 sur le canal mobile. Le marché du m-commerce représentera 1/3 du commerce en ligne.
Au vue de ces prévisions, le m-commerce apparait comme un véritable relais de croissance pour les retailers mais aussi pour les pure-players. Depuis l’explosion du marché du commerce en ligne, les consommateurs sont devenus de véritables catalyseurs dans l’écosystème digital. La démocratisation du smartphone dans notre société a conduit à un usage de plus en plus intensif du mobile. Pour être toujours dans la course, les enseignes devront être capables de répondre aux nouveaux usages des internautes en intégrant le mobile comme un point de contact essentiel dans l’expérience client d’un consommateur.
Si le digital est résolument au cœur du commerce d’aujourd’hui, le mobile est la pierre angulaire qui manquait à l’édifice pour suivre le consommateur tout au long de son parcours et le toucher à la fois lorsqu’il est online mais surtout dans les moments offline.
Pour autant, faut-il repenser le commerce à partir du mobile ? Et vous, commerçants êtes-vous prêts à passer le cap du m-commerce ?
Source : web&solutions (04/2016)
Les applis génèrent des paniers plus élevés, les utilisateurs consultent trois fois plus de produits et en ajoutent DEUX FOIS plus au panier que sur un site mobile … EXTRAIT du rapport 4T2015 de CRITEO.
Criteo, la société technologique spécialiste du marketing à la performance, publie son rapport d’activité sur le commerce mobile pour le 4e trimestre 2015. Les conclusions du rapport se basent sur l’analyse de 1,4 milliards de transactions électroniques individuelles représentant plus de 160 milliards de dollars de ventes effectuées pendant un an à l’échelle mondiale.
Les quatre grandes tendances identifiées tout au long de l’année se confirment :
– Une croissance forte du commerce mobile
– Le smartphone gagne du terrain sur les tablettes et ordinateurs
– Les applications génèrent plus de chiffre que l’Internet mobile
– Le multi-device se démocratise
Il est de moins en moins pertinent d’adapter le contenu de ses campagnes en fonction du terminal, puisque les comportements multi-device sont en constante augmentation.
– En France, chez les plus grands e-marchands retail, près de la moitié (47%) des transactions en ligne ont été générées après un parcours multi-device au T4 2015.
– Parmi elles, 27% ont été conclues sur mobile.
– Ceux qui concluent leurs transactions sur un terminal mobile ont plus souvent un parcours multi-device : 50% des transactions smartphones sont issues d’un parcours multi-terminal, 51% des transactions sur tablettes, et 46% sur ordinateur.
Les applications génèrent des transactions plus nombreuses et plus élevées que les sites mobile.
– Dans le monde en 2015, 54% des achats mobile dans le retail ont été réalisés via une application.
– Les utilisateurs d’applications consultent près de trois fois plus de produits (+286%) qu’en navigation web mobile, et en ajoutent presque deux fois plus au panier (+85%).
– Les applications génèrent des paniers plus élevés : 102$ en moyenne dépensés sur application mobile, 100$ sur ordinateur, et 92$ sur navigateur mobile.
– Les achats sur terminal mobile dans le monde comptent pour 35% des ventes de commerce de détail. En France le chiffre est de 25% (vs 21% au T4 2014).
– La Corée du Sud, pays le plus mature à ce sujet est à 61% de ventes online effectuées via un terminal mobile.
-Le smartphone a pris le dessus en France sur les achats mobiles en France avec 54% des transactions finalisées par ce biais,contre 46% sur tablette.
Source : « CRITEO » (02/2016)
Zanox vient de publier la nouvelle édition de son baromètre Performance Mobile qui fournit des indicateurs clés sur les grandes tendances du m-commerce et sur le comportement d’achat des mobinautes dans le monde.
L’année 2015 a été marquée par une importante croissance du m-commerce. D’après le baromètre Performance Mobile de Zanox, les ventes via mobile ont progressé de près de 80% dans le monde.
Source : comarkting « Zanox » (04/16)
Quelles sont les recettes de développement, et de lancement qui vont faire le succès d’une application mobile? Comment acquérir de nouveaux utilisateurs ? Comment développer l’engagement des utilisateurs existants ?
70% des utilisateurs mobiles que vous gagnez grâce à des programmes CPI dégageront une valeur totale de moins de 10$.
Nous avons déjà constaté que beaucoup de choses ont changé depuis l’apparition des appareils mobiles, désormais omniprésents. Mais le rôle des marketeurs demeure similaire.
La mission première du marketeur consiste toujours à participer aussi efficacement que possible à la réalisation des objectifs de l’entreprise. Un autre élément n’a pas changé : acquérir un nouveau client coûte toujours plus cher que de fidéliser un client existant.
Et ceci est particulièrement vrai pour l’acquisition d’utilisateurs d’applications mobiles.
Selon VentureBeat, plus de 2 500 applications mobiles sont proposées chaque jour aux app stores. Cet afflux permanent crée un environnement saturé au sein duquel il est très difficile de se différentier et de sortir du lot.
La même source affirme que 70 % des applications génèrent moins de 5 000 téléchargements. Par ailleurs, 60 % d’entre elles ne seront jamais mises à jour après leur lancement.
Les coûts associés à la rétention de clients fidèles – une personne qui ouvre une application 3 fois ou plus – ont atteint un niveau record de 2,25 $, selon Fiksu. Au fil des années, ce chiffre a augmenté de 34%.
Par ailleurs, plus de deux-tiers des utilisateurs que vous gagnez par CPI (Cost Per Install) auront une valeur inférieure à 10 dollars au cours de leur relation avec votre entreprise, et près d’un sur six ne rapportera rien (VentureBeat).
Le but de cet article n’est pas de vous dissuader de développer et de lancer une application mobile. Au contraire, l’objectif de cette analyse de chiffres est de vous faire comprendre qu’il est essentiel d’investir du temps et des ressources dans la rétention et l’engagement des utilisateurs. L’automatisation du marketing mobile prend toute son importance dans ce contexte.
Forrester en donne une excellente définition : l’automatisation du marketing mobile utilise les informations contextuelles pour créer et générer de l’engagement proactivement au « moment mobile » idéal, en temps réel, avec les clients existants. Cela requiert des outils analytiques et nécessite l’intégration avec les outils CRM existants.
En se construisant une vision globale du client à travers les données CRM et la suite d’Automatisation du Marketing Mobile de FollowAnalytics, les marketeurs sont à même de puiser dans les informations de parcours individuels et déclencher des actions concrètes, optimisant ainsi leurs chances de succès.
Un sondage d’Infosys montre que 86% des consommateurs considèrent que la personnalisation joue un rôle essentiel dans leur décision d’achat. Et 4 sur 10 effectuent plus d’achats auprès des enseignes qui personnalisent leur expérience sur les différents canaux (source : Monetate).
Grâce à l’automatisation du marketing mobile, les marketeurs peuvent :
Les données CRM associées aux outils analytiques marketing et à l’automatisation du marketing mobile de FollowAnalytics ont permis aux marketeurs de Renault d’obtenir une vision complète des utilisateurs de leur application. Des messages pertinents et contextualisés ont entrainé une augmentation du nombre d’essais sur route et raccourci le cycle de décision d’achat des clients.
Raja Hussian, CEO de la plateforme de publicité mobile AirLoyal, affirme que « créer de l’engagement pour une application auprès de million d’utilisateurs, c’est presque magique. »
Certes, mais nous pensons que tout commence par la création d’une application qui sera utile à tous les clients et prospects. Et pour cela, il faut plus que de la magie – c’est plutôt l’association de l’humain et de la machine qui les fait revenir et les rend plus « rentables ». Ce qui évite également, pour les marketeurs, d’avoir à chercher de nouveaux prospects pour remplacer ceux qui se sont désintéressés.
Source : JDN (03/2016)
Dans la poche ou à la main, les shoppers ne le quittent jamais. Ils utilisent leur mobile pour sélectionner leurs produits, vérifier leur disponibilité, regarder les avis, comparer les prix, s’informer sur les offres promotionnelles et pour acheter.
40% utilisent leur smartphone en magasin pour effectuer des recherches comparatives et demander conseil sur un produit à un ami ou à un proche. 36% prennent en photo les produits qu’ils sont susceptibles d’acheter.
Le mobile peut-il enterrer la CB ? Est-ce le moment de dire adieu aux autres moyens de paiement ? APPLE PAY ou SAMSUMG PAY : DEUX grands exemples qui illustrent parfaitement la révolution des transactions effectuées via un mobile et qui doivent inquiéter nos amis banquiers.
ÉTUDE : Alors qu’ils s’élèvent à 35 milliards de dollars en 2015, les paiements sans contact devraient tripler d’ici 2018, d’après une étude du 11 avril 2016 signée Juniper Research. Les wearables ne devraient représenter que 2% des paiements mobiles sans contact en 2018.
35 milliards de dollars. C’est le montant total de paiement sans contact enregistrés en 2015, en additionnant les paiements mobiles et les wearables, d’après une étude Juniper Research, publiée le 11 avril 2016. Plus impressionnant encore, les paiements sans contact devraient représenter 95 milliards de dollars en 2018. Sur ce marché du paiement mobile, c’est Apple qui a changé la donne, en déployant Apple Pay aux Etats-Unis, en octobre 2014. La marque a enregistré 1 million d’utilisateur en 3 jours. Bank of America expliquait en décembre 2014 avoir 800 000 utilisateurs actifs, et Chase Bank dévoilait encore récemment compter 1 million de cartes enregistrées. Au-delà du déploiement au Canada et en Australie, c’est en Chine qu’Apple Pay fait le plus fort, avec 38 millions de cartes bancaires enregistrées en 24 heures. Le partenariat conclu avec Union Pay et ses potentielles 5 milliards de cartes y est pour beaucoup. Apple est suivi de près par son concurrent Samsung Pay sur le marché du paiement mobile. D’autres marques comme Xiaomi et ZTE travaillent sur des systèmes sécurisés de paiement via puce NFC pour leurs smartphones. Les opérateurs mobiles pâtissent de cette situation et les projets qu’ils ont montés perdent toutes leurs chances.
Mais alors qu’Apple a expédié environ 9 millions de ses montres connectés en 2015, les wearables ne semblent pas peser lourd sur le marché du paiement sans contact. Juniper Research estime que seulement 2% des paiements sans contact seront à attribuer aux paiements via wearables en 2018.
Source : LSA (04/2016)
Le mobile est le point de passage obligé pour les marchands ! Si 50% des Français se connectent tous les jours sur leur smartphone, la tendance sur les 18/34 EST TELLEMENT marquée que la révolution MOBILE FIRST risque de faire des ravages auprès de ceux qui ne l’auront pas anticipée.
Avec 2 milliards d’utilisateurs dans le monde en 2015, le smartphone est en passe de devenir le principal outil de consultation du Web. Le bilan annuel de la publicité mobile édité par Marin Software fait un tour d’horizon de l’évolution des usages et des investissements publicitaires associés.
Selon le cabinet d’études IDC, 1,43 milliard de smartphones ont été vendus autour de la planète sur l’année 2015. Un tiers de la population mondiale est aujourd’hui équipé d’un téléphone mobile relié à Internet, ce qui en fait un média publicitaire à part entière. Marin Software, plateforme SaaS d’optimisation de campagnes publicitaires digitales, livre son bilan annuel sur la publicité mobile. » Tour d’horizon de la publicité mobile: Bilan annuel 2016 » étudie l’évolution des usages de smartphones, tablettes et ordinateurs afin de donner aux annonceurs les clés pour toucher au mieux leurs cibles dans leurs campagnes search, display et social.
En 2015 et pour la première fois, le nombre d’individus surfant exclusivement sur mobile a dépassé le nombre d’individus surfant exclusivement sur ordinateur. Une progression notamment portée par la consultation des réseaux sociaux qui se fait à plus de 70% depuis un mobile, un chiffre en augmentation depuis la fin de l’année.
La répartition de l’activité de search sur les différents supports évolue, la place du mobile ayant bondi de 55% en l’espace d’un an. La part de l’ordinateur reste relativement stable (35%), cette hausse se répercutant surtout sur l’usage de la tablette (10%). Les clics sur un display depuis un smartphone sont par conséquent en plein accroissement, et ont même dépassé les clics effectués depuis un ordinateur courant 2015 pour atteindre les 70% début 2016.
Bien que constant, l’usage de la tablette reste minoritaire, ne dépassant jamais les 10%.
Reflets des préférences d’usages des consommateurs, les investissements publicitaires des annonceurs se consacrent de plus en plus au mobile. Marin Software estime par ailleurs que ce budget représentera 100 milliards de dollars d’ici à la fin de l’année. Dans le détail, le format search, particulièrement affinitaire avec la cible mobile en raison de son intégration dans la navigation, a vu son budget doubler sur 2015 et devrait même dépasser celui consacré à l’ordinateur fin 2016.
Ce qui a amorcé une inversion de la tendance dans le display : alors qu’auparavant les annonces mobiles étaient principalement des déclinaisons de formats destinés à l’ordinateur, le display est aujourd’hui pensé avant tout pour le smartphone puisque la publicité mobile est passée de 37% à 55% sur la période étudiée, devançant l’ordinateur. Selon le bilan, la part des campagnes display sur smartphone devrait culminer à 66% dans quelques mois.
Quant aux campagnes social media sur mobile, elles collent aux usages des consommateurs, les moyens alloués représentant 70% des investissements dans le digital.
Si les annonceurs semblent avoir adopté des stratégies répondant aux usages de leurs cibles, les campagnes mobiles n’exploitent pas encore pleinement le potentiel de ce support. Notamment en ce qui concerne les applications mobiles, ces dernières totalisant à elles seules 90% du temps passé sur un smartphone. De même, l’étude de Marin Software révèle que la conversion mobile reste peu surveillée, alors que les dispositifs type « Appel direct » ou « Localisation de magasin » en sont un bon suivi. Enfin, le bilan 2016 rappelle qu’une bonne stratégie publicitaire est une campagne multicanale : sa réussite réside dans la capacité à recibler le consommateur de terminal en terminal, de canal en canal, et avec le message adapté.
Source : e-marketing (04/16)