Optic 2000 poursuit la digitalisation de ses points de vente

source : lsa-conso.fr

Exemple de Digitalisation des points de vente en mode Mobile ou comment chercher des solutions pour générer du trafic en magasin . BEINSTORE la suite d’applis RETAIL de WITHAPPS utilise la combinaison des Notifications PUSH et des BEACONS et ça marche aussi !

En signant un partenariat avec Step-In, le groupe Optic 2000, réseau leader de l’optique en France, opte pour l’arrivée du digital dans son réseau physique. Step-In, éditeur de l’application mobile-to-store éponyme, propose une appli qui fonctionne grâce à une technologie basée sur des ultrasons et permettant de géolocaliser au mètre près les utilisateurs de son application mobile à l’intérieur des points de vente. La start-up française, qui compte parmi ses clients Celio, Eram ou encore La Chaise Longue, affiche un objectif clair, celui de faire entrer les clients en magasin en les récompensant par des points fidélité (ou STEPS), convertibles en cadeaux ainsi que par des offres promotionnelles ciblées. Point important de ce dispositif : le shopper est récompensé dès son entrée en magasin sans conditions d’achat.

Les particularités du secteur de l’optique

Objectif avoué de cette collaboration, qui sera active à partir du 21 septembre 2015 : doper la fréquentation des sites physiques. « Cet outil marketing de fidélisation est tout à fait complémentaire à notre dispositif de fidélisation puisqu’il récompense le client dès son entrée en boutique, avant même l’acte d’achat, explique Michel Dailly, Directeur Marketing chez Optic 2000. Par ailleurs, il permet d’interagir avec nos clients pendant leur visite et de mesurer leur satisfaction en sortant du magasin« . Des données précieuses qui permettent de réajuster la stratégie si besoin.

Pourtant, si Step-In dispose d’une solide expérience retail, le secteur de l’optique présente quelques spécificités. « Les taux de fréquentation reste très inférieurs à ceux de l’habillement ou de la beauté, précise Olivier Serfaty, fondateur de la solution. Le challenge va être de dynamiser et moderniser l’expérience shopping du secteur pour en augmenter le taux de fréquentation« . Autre caractéristique du réseau : l’offre multimarques. Car si Optic 2000 propose sa propre collection, elle propose aussi celles d’autres fabricants. « Cela va permettre de fournir un contenu très riche dans l’application Step-In« . Dernier point d’interaction client intéressant : lors d’une visite en magasin, les clients qui feront le test de vérification de la vue bénéficieront d’offres personnalisées.

La complémentarité Internet/magasin

Alors que les acteurs du secteur optique sont actuellement confrontés à l’émergence des e-commerçants, la signature de ce partenariat pose l’innovation comme principal pilier du développement d’Optic 2000. Une mise en concurrence qui est au cœur de la réflexion de la start-up Step-In : « Face à l’e-commerce, les enseignes ont besoin de donner une nouvelle dynamique à leurs points de vente physiques pour renforcer l’engagement de consommateurs de plus en plus volatiles« , confirme Olivier Serfaty. Un virage que ne craint pas son client, qui s’est positionné sur le marché e-commerce via le site optic2000.com. « Dans le secteur de l’optique, la complémentarité Internet/magasin est une évidence« , rappelle Michel Dailly.

Cette innovation, que d’aucuns considèrent comme une avancée majeure dans le domaine du retail, cible particulièrement certains consommateurs. « La digitalisation de ses magasins, associée à des offres commerciales attractives et personnalisées, va permettre à Optic 2000 de nourrir son image d’enseigne connectée pour constituer une étape majeure dans le parcours d’achat de puissantes typologies de consommateurs telle que la Génération Y« . Une expérience d’achat plus riche et plus engageante, conformément à ce que veulent désormais ces clients d’un nouveau genre.

Un partenariat digital via le catalogue Optic 2000

Le modèle économique de Step-In est lié à la performance et Optic 2000 ne paie qu’en fonction du trafic généré en point de vente. Quant aux clients, le dispositif est relativement simple. Il suffit de télécharger depuis l’Apple Store et Google Play l’appli. Step-In met par ailleurs en avant le catalogue de produits Optic 2000 via une application dédiée. Plus de 1,5 millions de pages produits ont ainsi été vues les 4 premiers mois qui ont suivi le lancement de l’application.

Il s’agit pour l’instant d’une phase pilote dans 70 points de vente en Ile-de-France, ainsi qu’à Lille. « Si elle donne satisfaction, elle sera proposée à l’ensemble du réseau national, » indique Michel Dailly. L’application est en tout cas très prometteuse : le réseau Step-In comprend à ce jour plus de 15 enseignes qui représentent plus de 2500 points de vente en France. Le nombre de téléchargements s’élève à date à 90 000 téléchargements, 8 mois seulement après son lancement.

La révolution Digitale de la grande distribution

source : journaldunet.com

Les beacons permettent un meilleur ciblage des réductions

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Plus besoin pour le client de se balader avec le catalogue de réductions dans les mains, des dispositifs connectés se chargent de lui proposer les réductions disponibles selon ce qu’il est en train de regarder. Le beacon, c’est le nom de cette technologie qui permet de communiquer via un réseau wi-fi ou bluetooth avec des smartphones situés à proximité immédiate de chaque balise. Concrètement, l’utilisateur reçoit des notifications sur des rabais possible applicables aux produits qu’il regarde.

Cette méthode de Marketing est appelée le géofencing, c’est à dire recevoir des publicités selon l’endroit où l’on se trouve grâce à la géolocalisation du smartphone. Apple, avec les iBeacons et Google, avec le projet Eddystone qui utilise un Bluetooth 4.0 moins gourmand en énergie, se sont déjà lancés sur ce marché.

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Youtube, a 3 priorités “mobile, mobile, mobile.”

Source : servicesmobiles

Susan Wojcicki, CEO de YouTube lors de la conférence Brainstorm Tech Fortune a parler de l’avenir de la vidéo chez Google, en donnant un premier chiffre, 50 % des vues de YouTube sont maintenant à partir d’appareils mobiles et que par conséquent, les trois meilleures priorités de l’entreprise sont «mobile, mobile, mobile. » Dans tous les domaines comme l’UI, l’encodage, les formats… Être un guichet unique comme Youtube signifie que vous devez faire correspondre en quelque sorte les utilisateurs avec le bon contenu au bon moment, le mobile dans ce cas est le support par excellence !

Il faut dire que son principale concurrent Facebook a un plan ambitieux pour devenir un YouTube-alternative majeure. Régulièrement au cours des deux dernières années, le réseau social a dribblé sur de nouvelles fonctionnalités pour en faire un lieu plus attrayant pour que les gens puissent regarder des vidéos. Sur le chemin, Facebook a modifié ses algorithmes afin de récompenser les utilisateurs qui postent des vidéos directement sur son site, y compris les annonceurs, des médias et des célébrités. Ces efforts, semblent porter leurs fruits. Le nombre de vidéos a augmenté de 94% aux États-Unis et 75% au niveau mondial, entre 2013 et 2015. Facebook est maintenant le site de vidéo n ° 2 aux Etats-Unis, selon comScore

Acquisition et diversification 

Elle n’exclue pas de faire des acquisitions pour aller plus vite dans leur stratégie de diversification. Notamment avec Music Key un service de musique que YouTube a lancé en version bêta en fin d’année dernière et dont les fonctionnalités clé permettant aux utilisateurs écoutez de la musique sans publicité, en arrière-plan et hors connexion (offre à durée limitée) tout en parcourant leurs autres applications.

YouTube Gaming qui sera disponible aux États-Unis et au Royaume-Uni dans été va permettre a des pages dédiées à des jeux spécifiques – plus de 25.000 d’entre eux, plus de visibilité. Chaque page présente des collections de canaux, des vidéos et des flux en direct mettant en vedette le contenu de ou liés à ce titre. En construisant un produit autour d’une verticale spécifique, Youtube peut construire une nouvelle expérience pour lutter plus efficacement contre  Twitch qui capte désormais une énorme partie du temps passé à regarder des vidéos en se concentrant sur des verticales spécifiques de contenu, comme les jeux.

YouTube Newswire en partenariat avec l’agence sociale Storyful, qui va introduire des vidéos événements les plus dignes d’intérêt de la journée publiée sur YouTube. Son flux comprendra les vidéos portant sur les nouvelles, la météo et la politique. Depuis 2011, 48 heures de vidéos ont été téléchargées sur la plate-forme à chaque minute. Maintenant, ce nombre atteint 300 heures.

« le smartphone, c’est une baguette magique »

Source : lexpress.fr

Depuis cinq ans, le site de commerce en ligne Vente-privee.com a aussi son application sur smartphone, un relais de croissance indispensable pour Xavier Court, associé cofondateur de l’entreprise qui mise tout, désormais, sur les nouveaux consommateurs mobiles.Grâce au mobile et à l’usage compulsif qu’en font des millions de mobinautes, faire les vitrines est devenu un jeu d’enfant, même depuis chez soi. Le site Vente-privee.com, spécialisé dans les bonnes affaires à durée limitée, illustre la révolution que connaît le secteur du e-commerce grâce au smartphone. L’entreprise a pris le virage du mobile avec le même enthousiasme que ses utilisateurs-membres. Xavier Court, son co-fondateur, nous détaille les ressorts de ce dynamisme.

Quelle est la part des commandes réalisées grâce à l’application mobile?

73% de nos visites viennent du mobile et cela représente plus de 50% du chiffre d’affaires. Depuis que nous avons lancé l’application mobile en 2010, nous enregistrons 1% de croissance tous les mois, en chiffre d’affaires comme en visites. C’est assez incroyable! L’application a été téléchargée plus de 6 millions de fois, ce qui en fait l’une des plus grosses applis en France. 2 millions de personnes viennent tous les jours sur Vente-privee via le mobile. C’est une vraie lame de fond.

A quoi ressemble le consommateur sur mobile? Comment se comporte-t-il?

Nos membres, aujourd’hui, sont multi-supports et multi-connexions en fonction du moment de la journée et de l’endroit où ils se trouvent. Les usages smartphone, tablette et desktop sont très complémentaires: nous avons des clients qui sont complètement sur le mobile depuis 7 heures du matin jusqu’à 9 heures. Dans la journée, l’usage PC remonte en flèche, car les gens sont devant leur ordinateur et passent commande au bureau. Et le soir, on passe à un usage tablette. C’est une forme de mobilité, mais depuis chez soi : dans la baignoire, sur le canapé, dans la cuisine… Avant, il fallait réserver l’ordinateur familial!

« Avec un smartphone, on peut acheter à toute heure et en tout lieu »

Du point de vue des usages, on note que, sur mobile, il y a beaucoup de visites. Notre site est conçu pour se faire plaisir, et pour que les gens prennent aussi plaisir à revenir. Les gens achètent un tout petit peu moins, ou se reportent sur d’autres types d’achats, comme les accessoires. Sur mobile on est plus facilement dérangé ou distrait. Sur l’ordinateur, au contraire, l’acte d’achat est plus naturel. Notre appli a été développée pour garantir une expérience d’achat efficace. Par ailleurs, le concept des ventes à la durée et aux stocks limités, qui est dans notre ADN, s’adapte parfaitement au canal mobile. Avec un smartphone, on peut acheter à toute heure et en tout lieu.

Quel est le profil de l’usager de Vente-privée sur mobile?

Comme toujours avec les nouvelles technologies, le public, au début, est plutôt masculin, CSP+ et citadin. Mais cette tendance évolue et l’usager ressemble désormais au propriétaire de smartphone, dont le profil est de plus en plus varié.

Quelles évolutions du marché mobile sont à prévoir pour le secteur de la vente à distance?

Tous nos développements et innovations se font en direction des mobiles, comme chez beaucoup d’acteurs. Nous portons ensuite ces nouveautés mobiles sur le PC – c’est-à-dire exactement l’inverse de ce que l’on faisait il y a trois ans!

« Un commerçant qui n’a pas d’appli mobile ne peut pas durer »

L’avenir, pour nous, c’est l’appli mobile et, plus largement, le commerce connecté. La vraie révolution, c’est le smartphone. A mes yeux, c’est une baguette magique de la consommation. Il permet au consommateur de tout faire. Ce n’est pas être un gourou du marketing que de dire ça. C’est une évolution naturelle du marché. Notre modèle repose sur la rareté et la peur de rater la bonne affaire. Il pousse à la mobilité.

Le mobile a-t-il été une contrainte pour conserver vos positions ou une opportunité pour développer votre business?

Au départ, nous ne nous sommes pas dit que nous allions réaliser plus de chiffre d’affaires, nous souhaitions simplement fournir la solution d’achat la plus pertinente à nos membres, n’importe où et n’importe quand.

J’ai eu le déclic du mobile en 2009, lors d’un salon où la patronne du digital chez Staples nous a dit : « Rentrez chez vous ce soir, regardez ce que font vos enfants ». Et j’ai vu mes enfants de 6 et 10 ans sur les mobiles et les précurseurs des tablettes. Nous avons de l’avance, mais elle est courte. Un an ou deux à peine. Le marché du m-commerce est en plein essor. Aujourd’hui, c’est simple: un e-commerçant qui n’a pas d’appli mobile ne peut pas durer.

SHOPPING DU FUTUR : À QUOI RÊVENT LES FRANÇAIS ?

 

source : comarketing-news

L’Observatoire du Shopping 2015 d’Unibail-Rodamco s’est intéressé à ce que les Français attendent du shopping dans le futur et liste les 3 grandes tendances des années à venir…

Ipsos a établi une liste d’innovations possibles pour le shopping de demain et a interrogé plus de 2000 personnes, afin de mesurer l’intérêt suscité par chacune d’entre elles.

Cet Observatoire du Shopping a mesuré les grandes attentes des consommateurs réparties en 3 points :

Vers un nouvel âge du service et de l’accompagnement

Les Français s’attendent à ce que la recherche d’informations soit facilitée, en étant plus immédiate et plus précise. Le concept qu’ils jugent le plus attractif est le fait de recevoir les caractéristiques d’un produit, automatiquement, dès qu’on le manipule.

Les Français souhaitent également recevoir une information personnalisée, qui leur correspond, à partir de leurs informations et données personnelles (goûts, préférences, historique d’achats…). Cette place centrale du conseil passe par les nouvelles technologies mais aussi par l’échange avec les vendeurs.

Cette recherche d’efficacité se matérialise à toutes les étapes du shopping, depuis la préparation jusqu’à l’acte d’achat. L’essayage ne fait pas exception ! La majorité des Français souhaitent pouvoir essayer les produits sans effort et où ils le souhaitent, en magasin comme chez eux.

Dans cette même logique de rapidité et de facilité, plus de la moitié des Français parie sur le développement du porte-monnaie virtuel pour payer leurs achats en magasin.

Enfin, la révolution pratique passe par la livraison, en permettant aux Français de se faire livrer là où ils se trouvent, sans contrainte. Le « click and collect » (récupérer en magasin des achats effectués sur internet) est déjà pratiqué par 40 % des Français en 2015 (versus 35 % en 2014) et ne cesse de se développer.

Le shopping, une expérience de partage

Si les technologies investissent largement les lieux de shopping, elles sont surtout un moyen de faciliter le parcours des shoppers. Dans les années à venir, la place grandissante des nouvelles technologies permettra de libérer du temps et servira l’expérience du « vivre ensemble ».

Dans l’imaginaire des Français, le shopping reste fortement lié à un lieu physique. Pour une grande majorité, il s’effectue à plusieurs et est un moment de rassemblement et de partage. Le centre commercial reste le lieu de shopping privilégié des Français (30 %).

Dans ce contexte, les nouvelles technologies répondent à un besoin de connexion permanent. Au-delà de la praticité, elles permettent au shopper d’échanger plus facilement avec ses proches (amis, famille, collègues…), qui ne seraient pas présents lors de la session shopping, pour leur demander leur avis ou un conseil.

Lors d’un déplacement en groupe, les technologies permettent également de laisser la liberté à chacun de découvrir les enseignes de son choix et de se retrouver facilement grâce à un service de géolocalisation.

« La société française est traversée par des dynamiques fortes de transformation de nos rapports aux lieux. Un phénomène de porosité est désormais à l’œuvre, qui importe des activités personnelles sur les lieux professionnels et inversement.

Les aspirations des Français sont en pleine mutation : on note ainsi des dynamiques croisées d’amateurisation de la vie professionnelle et de professionnalisation des pratiques personnelles. Ceci modifie donc totalement la vocation des lieux – lieux de travail, de détente, de culture, d’apprentissage, de consommation… Cette hybridation des fonctions des espaces est un fait de plus en plus partagé ; Il se différencie très fortement de ce qui a été longtemps le principe à la fois de nos manières d’habiter, de travailler, qui séparait les personnes, les lieux et les fonctions. Désormais, le shopping se charge d’autres attentes et vient largement empiéter sur des activités nouvelles. »

Stéphane Hugon, Docteur en sociologie, chercheur au Centre d’Etudes sur l’Actuel et le Quotidien, chargé de cours à l’université Paris V.

La transformation des lieux de shopping

Les Français attendent une réelle métamorphose des lieux de shopping, dans leur architecture comme dans leurs fonctions. Au-delà d’y faire leur shopping, ils souhaitent y vivre de nouvelles expériences, découvertes, de l’apprentissage, du divertissement…

Dans un futur proche, les Français attendent des centres de shopping qu’ils créent la surprise en permanence, au rythme des saisons, à l’instar des collections de mode. Cette demande de diversité incarnée par la culture « pop-shop » se traduit pas une attente d’offres éphémères.

Au-delà du shopping, les Français attendent des centres qu’ils développent de nouvelles fonctionnalités dans un espace qui leur correspond davantage. Cela dépasse le centre de shopping lui-même, qui doit paradoxalement être un lieu dynamique et un lieu proposant des espaces de repos.

Mais surtout, les Français attendent des lieux de shopping qu’ils proposent de nouvelles fonctions, autres que le shopping. Le centre devient un véritable opérateur de lien social, un lieu de vie multifonctions dont le but premier n’est plus l’acte d’achat mais le plaisir, la rencontre, la découverte et le partage.

« La vague 2015 de l’Observatoire du Shopping, en projetant les Français dans le shopping de 2025, nous en dit finalement beaucoup sur la manière dont les Français vivent le shopping d’aujourd’hui. La digitalisation est un premier phénomène prégnant, même s’il n’est bien sûr pas spécifique à ce secteur : elle doit pour eux simplifier la vie en irriguant toutes les étapes de l’acte de shopping, de l’amont dans la prise d’information jusqu’en aval dans la livraison.

Surtout, l’étude souligne combien le shopping est considéré comme bien plus qu’un simple acte de consommation : il représente également pour les Français un moment de partage et de lien social. C’est d’ailleurs dans cette logique qu’ils souhaitent voir les lieux de shopping évoluer davantage en des lieux de vie et d’échanges, à travers notamment le développement d’offres d’apprentissage ou encore de loisirs actifs. »

conlcut Guillaume Petit, Directeur du Département Opinions chez Ipsos.

Trafic mobile plus important que celui du Pc

Source : webblog.tophebergeur.com

L’Association de la recherche locale a publié récemment un nouveau rapport sur la recherche locale en utilisant les téléphones mobiles. Ce rapport confirme les tendances et pronostiques:  le trafic PC est stagne tandis que celui du mobile devient plus important et que mobile est largement utilisé pour la recherche locale. Les données T4 2012 dans le rapport proviennent de comScore. Et parce que les données proviennent de T4, les tendances et les statistiques de trafic dans le rapport sont probablement un peu plus élevé maintenant.

Croissance d’internet

Les données soutiennent qu’il y a eu une croissance 0% du trafic Internet provenant de PC depuis 2011. Le PC Internet a atteint un plateau

Importance du trafic Mobile vers les sites locaux

Dans le même temps le trafic du mobile se développe avec une cadence importante. Au 4ème trimestre, en moyenne, le trafic mobile s’élevait à 15 pour cent. Cependant, dans certaines catégories, il est beaucoup plus élevé: recherche locale par exemple. Dans ses résultats du 1er trimestre, publié la semaine dernière,  Yelp a déclaré que 55 pour cent de l’ensemble de ses recherches proviennent maintenant des téléphone mobiles (45 pour cent à partir d’applications).

Le trafic vers les sites locaux croît plus vite que le trafic mobile en général à travers l’Internet. Le pourcentage moyen de trafic mobile (trafic de dispositifs «non-PC») aux sites locaux a augmenté de 27 % au 4e trimestre par rapport à la moyenne de l’internet qui est de 15 %.

Comme indiqué ci-dessus, les sites locaux reçois plus de trafic à partir d’appareils mobiles. Un autre exemple: le site immobilier Zillow a annoncé en Janvier que plus de la moitié de ses visites viennent maintenant de téléphones mobiles.

Conformément à d’autres données, les applications mobiles sont plus souvent utilisés pour accéder au contenu local que le navigateur mobile. Cependant, dans la pratique, cela dépend vraiment beaucoup de la catégorie. Dans certaines catégories, le navigateur mobile peut être utilisé plus souvent et dans d’autres les applications dominent.

Par exemple, dans la diapositive suivante, basée sur les données de Nielsen-XAD-Telmetrics, les applications étaient le principal moyen d’accéder au contenu dans la catégorie de voyage, mais pour l’automobile

Analyse des enjeux de la transformation digitale

Source : e-marketing

SAP lance sa première édition du Networked Economy Forum, du 16 au 18 juin, avec pour ambition de mettre à jour les incidences de la transformation numérique sur les organisations et les métiers.

Faire « simple », dans un monde en constante transformation technologique : l’adjectif revient fréquemment dans la bouche des porte-parole de SAP, en introduction de la première édition de son Networked Economy Forum*, lancée le 16 juin au siège du groupe. L’objectif affiché par le leader des applications d’entreprise se veut d’impliquer davantage les « métiers » dans ce cap digital, alors même que ses solutions sont trop souvent perçues comme destinées aux directions générales, regrette Henri van der Vaeren, managing director de SAP France, Belgique et Luxembourg. « Entre 60 et 75 % des budgets digitaux sont gérés directement par les métiers. D’où l’importance de travailler directement avec eux », explique-t-il.

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