E.Leclerc a présenté E.LECLERC CHEZ MOI comme une contre-offensive sur le terrain d’Amazon dans la ville « la plus chère de France ». Mais si les informations de LSA se vérifient sur la facturation du coût de la livraison et le montant du panier minimum, on se croirait revenu une quinzaine d’années en arrière avec Houra, ou Ooshop à leurs débuts … Car il semble que E.Leclerc, en se positionnant du côté de l’offre (mon modèle économique doit être rentable) et non de la demande client (ou de ses attentes) ait oublié un paramètre : AMAZON PRIME qui propose des livraisons gratuites dans la journée, en 2H ou en 1H sans panier minimum mais avec un abonnement il est vrai (rappelez-vous le soir du réveillon, commande avant 21H livraison avant MINUIT …). E.Leclerc qui depuis toujours était plutôt en avance sur les habitudes de consommation des Français (foire aux vins, tickets…) semble encore une fois sur le DIGITAL marquer le pas ! Millenials, génération Y mais qui êtes-vous? Par contre, bravo aux équipes marketing de l’enseigne, « PARIS LIBÉRÉ, PARIS LIVRÉ » est bien dans la veine de la com spectaculaire de E.Leclerc et c’est plutôt bien senti.
Auteur : Bertrand BREGEON
« Le rythme de mise en œuvre du numérique dans les entreprises est trop lent et cela m’inquiète », Bruno Mettling
Cela nous concerne tous, sur le terrain, on le constate chaque jour. La transformation digitale est considérée par la majeure partie de nos contacts comme une activité annexe peu stratégique et loin des préoccupations du quotidien. Souvent, ce sont nos rendez-vous qui sont repoussés au profit de l’opérationnel et de la dictature du quotidien. Mais attention, oui dans la grande distribution certains magasins ont encore de la croissance, mais encore combien de temps ? L’exemple de CARREFOUR devrait alerter … non ? On parle de leader mondial, alors était-il plus exposé car avec une présence plus forte à l’international ? Le fait est que les chiffres ont chuté et de manière spectaculaire… C’est ce qui nous guette tous, si les stratégies digitales et plus généralement la prise en compte des nouveaux usages et comportements ne sont pas pris en compte maintenant et tout de suite … et comme je le cite souvent pour ceux qui me suivent : rappelez-vous la bande annonce du film « la haine » de KASSOVITZ : jusqu’ici tout va bien !
Ex DRH d’Orange devenu PDG d’Orange Afrique, Bruno Mettling est aussi l’auteur d’un rapport « Transformation numérique et vie au travail ». Remis il y a deux ans, ce dernier comptait plusieurs dizaines de propositions – notamment la négociation sur le droit à la déconnexion. Il revient pour L’Usine Digitale sur l’application de ces mesures. Il regrette un certain retard dans la mise en oeuvre des préconisations de la part des entreprises.
L’Usine Digitale : Cela fait un peu plus de deux ans maintenant que vous avez remis au gouvernement d’alors un rapport sur le numérique et le travail. Où en est-on selon vous de l’application ?
Bruno Mettling : Pour tout vous dire, je trouve que le rythme de mise en œuvre dans les entreprises est globalement trop lent et cela m’inquiète. Réussir la transformation digitale suppose un certain nombre d’équilibres : en matière de conditions de travail entre les opportunités offertes par les nouvelles formes de travail et les risques induits par cette transformation, entre les parties prenantes de l’entreprise avec les clients qui bénéficient notamment de l’accès aux services de nouvelles fonctionnalités, et entre les entreprises qui réalisent des gains de productivité significatifs et les salariés qui doivent trouver des contreparties à leurs efforts d’adaptation.
L’inquiétude vient aussi d’une série d’indicateurs qu’il faut regarder en face. Plus d’un an après l’entrée en vigueur de la loi travail, les accords d’entreprise sur la mise en oeuvre du droit à la déconnexion se comptent sur les doigts d’une main. L’absentéisme et notamment celui des cadres repart à la hausse. Enfin, le Conseil national de l’Ordre des médecins invite dans un livre blanc récent à identifier sans délai les risques de la société numérique tout en soutenant les bénéfices qu’elle peut apporter au service de la personne. Il faut entendre ces messages.
Quel lien faites-vous entre absentéisme et transformation numérique ?
B. M. : J’analyse cette situation, à la lumière de plusieurs enquêtes, comme le résultat d’une difficulté croissante de nombreux cadres à équilibrer vie privée et vie professionnelle, parfois même aux effets de la montée des situations d’épuisement professionnel. Même si les causes en sont complexes, il est difficile de ne pas faire le lien.
Il faut peut-être du temps pour que les salariés s’emparent de ces questions. Ceci étant, les entreprises ont plutôt fait de nombreux efforts pour la transformation numérique depuis la remise de votre rapport ?
B. M. : Il y a effectivement une prise de conscience très nette des enjeux. Des investissements importants ont été réalisés ainsi que des évolutions impressionnantes comme la percée de l’IA dans la relation client. Mais nous avions pointé la nécessité d’appréhender avec la même énergie l’impact interne de ces transformations dans l’entreprise, pour limiter les risques de ruptures, notamment en matière de compétences, avec d’un côté ces nouvelles compétences indispensables, vitales pour leur pérennité, telles que la cybersécurité ou le data mining et de l’autre côté l’obsolescence de beaucoup d’entre elles avec des conséquences potentiellement très lourdes en termes d’emplois. Nous avions proposé que les branches professionnelles engagent dans les six mois suivant le rapport une étude des principaux impacts du numérique sur leur secteur d’activité, de manière à pouvoir orienter les structures de formation mais aussi aider le tissu des PME /TPE à anticiper. Rien n’a véritablement été engagé à ce stade.
Pourquoi les entreprises ont elles pris autant de retard sur cette dimension selon vous ?
B. M. : Elles sont comme souvent prises par le court terme, l’urgence. Et l’urgence, l’indispensable, c’est la relation client. Cela signifie qu’elles sont allées très vite, du moins pour beaucoup d’entre elles, dans la numérisation de la relation client, parce que la pression était forte et que les enjeux étaient là. Ajoutez à cela une fonction RH qui n’est pas toujours à l’aise avec les concepts technologiques « big data, Cloud, virtualisation des réseaux » et les adaptations des systèmes d’information qu’appellent cette transformation. Les dirigeants s’appuient donc plus naturellement sur leur DSI que sur leur DRH pour conduire les changements. Or, leur collaboration est la clé d’une transformation interne réussie, tant l’organisation et l’environnement du travail sont impactés. N’oublions pas que pour une part importante des nouveaux emplois, le numérique vient percuter trois des quatre dimensions du contrat de travail : le temps de travail, le lieu de travail et le lien hiérarchique.
Trouvez-vous le nouveau gouvernement trop timide dans ce domaine ?
B. M. : C’est dans les entreprises que se joue cette transformation et il faut cesser de tout attendre du gouvernement. Ceci étant, ce gouvernement et la ministre du travail en particulier ont engagé de nombreuses réformes structurantes pour l’avenir de notre pays, je pense en particulier à celles de la formation et de l’assurance chômage. Le numérique fait une apparition importante dans la gestion du futur compte personnel de formation, de même que les nouvelles formes d’emplois ont été présentes dans les négociations récentes. C’est une évolution significative. Il faut sans doute aller beaucoup plus loin. Et puis, il y a cette énorme question de la place du numérique dans l’amélioration du fonctionnement quotidien de l’Etat.
Selon vous, ce retard pris dans la transformation numérique du travail, pourrait-il aussi retarder la transformation numérique des entreprises, et devenir finalement un handicap pour la compétitivité des entreprises ?
B. M. : Oui, je connais bien la scène sociale de notre pays et je vois comment une insuffisante qualification d’une partie des salariés, que l’on n’aura pas formés à temps d’un côté et les pénuries de compétences exigées en urgence de l’autre peuvent conduire à des impasses, qui affecteront la compétitivité de nos entreprises et fragiliseront un marché du travail encore convalescent. Le dernier Mobile World Congress de Barcelone a confirmé que les technologies disruptives, autour de la 5G, de la réalité augmentée, des objets connectés sont maintenant disponibles, que des progrès incroyables ont été réalisés en un an autour du véhicule autonome par exemple.
Faisons un peu de prospective opérationnelle sur ce dernier cas : on constate aujourd’hui une offre de recrutements insatisfaite et très importante de chauffeurs de bus. Mais comment attirer des jeunes dans ce métier exigeant, comment les former sans anticiper, sans avoir de visibilité sur leur métier demain ?
Pardon de me répéter mais sur une transformation aussi importante, aux enjeux aussi lourds. Mais il faut de l’anticipation, une mobilisation des acteurs des filières professionnelles, de l’ensemble des réseaux au service des entreprises et notamment des PME mais aussi de la négociation sociale. Il s’agit d’une formidable opportunité pour repenser le fonctionnement de nos entreprises souvent cloisonnées, hiérarchisées, basées sur un pilotage fondé sur le contrôle et le reporting. Cela ne peut se faire sans un dialogue approfondi.
Qu’allez-vous faire pour porter votre message ?
B. M. : J’ai la chance de travailler dans la plus grande entreprise du secteur du numérique de notre pays, présente dans plus d’une centaine de pays. C’est un remarquable poste d’observation. J’ai pu ces dernières années observer et participer comme PDG d’Orange Afrique Moyen Orient à la formidable transformation de ce continent, notamment grâce au numérique après avoir initié la transformation interne du groupe Orange comme DRH.
C’est vrai que je souhaite libérer du temps pour poursuivre la réflexion engagée il y a deux ans autour du rapport remis au ministre du travail. La force de ce rapport était d’avoir convergé entre syndicalistes, représentant du MEDEF et experts du numérique sur plus d’une trentaine de propositions pour préparer notre pays. C’est un actif sur lequel il faut poursuivre.
Dans quelle mesure les questions évoquées sur travail et numérique concernent l’Afrique ?
B. M. : Il est établi que le continent africain constituera le principal pôle de la croissance mondiale des prochaines années. Ce qui est moins connu c’est que le tiers de cette croissance tient au développement du secteur des nouvelles technologies. Du formidable développement des usages et des services utilisant la technologie mobile, en passant par le domaine de l’énergie ou de l’agriculture, l’Afrique est en train de bénéficier de cette transformation et de compenser grâce à cela son retard en infrastructures.
Face à cette transformation, on retrouve les mêmes enjeux : comment former rapidement les compétences numériques dont le continent a besoin en grand nombre, comment réorienter l’investissement privé comme public, en particulier celui des bailleurs de fonds vers les nouveaux secteurs alors que les responsables continuent trop souvent d’appréhender les enjeux avec le regard traditionnel.
En synthèse, savoir apprécier et mobiliser les opportunités du numérique, en anticiper les conséquences et prévenir les risques associés sont des nécessités qui s’imposent sous toutes les latitudes.
Source : Usine Digitale
[MWC 2018] Total veut fluidifier le passage à la pompe avec une application de paiement mobile
Une annonce de TOTAL qui est passée pratiquement inaperçue au MWC de Barcelone alors que c’est de REVOLUTION dont on parle. On le voit le monde de l’automobile et son ecosystème vit une transformation comme il n’en a jamais connu depuis l’invention du moteur à explosion … Les mutations sont à la fois sur le terrain des technologies (électrique…), des usages (voitures autonomes…) et des habitudes de consommation des clients. TOTAL est un acteur qui subit ces transformations puisque les stations sont en bout de la chaine de valeur, mais ne pas anticiper les futurs usages des consommateurs ou ne pas se projeter sur l’image de la Station de demain ( c’est presque comme la bande annonce du film la haine « jusqu’ici tout va bien avec l’image de cette « bombe » qui tombe vers le sol) serait une erreur fatale qui hypothéquerait l’avenir de la compagnie dans la distribution de carburants. Mais TOTAL (1ère entreprise Française) est en mode digitalisation de l’expérience client et cette APPLICATION MOBILE Total « ewallet » se cale parfaitement sur les attentes des clients qui réclament plus d’autonomie, plus de simplicité et de fluidité et cela jusqu’au paiement …
Le magasin sans caisse, cela vaut aussi dans la vente de carburants : Total a annoncé au MWC 2018 le lancement d’une application mobile de paiement réalisée par Wordline.
Fin annoncée des moteurs thermiques, véhicules autonomes, apparition de start-up de conciergerie automobile (comme Pomp) : les stations-service vont devoir se transformer pour survivre. Total en est bien conscient et développe des services numériques pour enrichir l’expérience client.
Du paiement mobile en station
Au Mobile World Congress, la marque a présenté l’application Total e-Wallet réalisée avec Worldline (et sa solution Merchant Wallet). Elle donne accès à une expérience totalement numérisée dans une station-service connectée, de la sélection de carburant au paiement en passant par le déblocage de la pompe. De quoi fluidifier le passage à la pompe et dispenser le client de passer physiquement en caisse (comme avec une pompe automatique, certes). L’offre, gratuite, s’adresse aussi bien aux clients particuliers que professionnels, mais peut être reliée aux comptes pros de l’utilisateur. A terme, Total prévoit de rendre sa solution compatible avec des systèmes de paiement mobiles sans contact tiers comme Apple Pay.
D’abord en Allemagne et en Belgique
L’application a été testée avec succès à Berlin et Total prévoit de la déployer progressivement dans son réseau européen de stations-service, d’abord en Belgique et en Allemagne. Le eWallett pourra dans un second temps être utilisé pour payer des achats en boutique, des jetons en station de lavage et la recharge de son véhicule électrique. Avec cette initiative, Total veut illustrer son ambition de « devenir un prestataire incontournable de services de mobilité« , selon les mots d’Antoine Tournand, Directeur Réseaux et Cartes de Total Marketing & Services.
Source : Usine Digitale
Cdiscount déploie ses showrooms dans 7 nouveaux hypers Géant (dont un franchisé)
Ça y est, Casino entre dans la danse de l’omnicanal phygital !! Assez discret ces derniers mois, c’est vrai que Monoprix occupe le devant de la scène « digital » du groupe avec ses nombreuses initiatives et annonces. L’initiative n’est pas si « banal » que l’on pourrait le penser car le retour d’expérience du « pure player » instore va donner une longueur d’avance sur les autres acteurs du retail pour le moment plutôt dans les annonces que dans les actes. Extension de gamme grâce à l’accès à l’ensemble du catalogue Cdiscount, Vendeur/tablettes ou promo mise en scène… Au delà de la simple reprise des codes du web en magasin, c’est évidemment une initiative qui va dans le sens des attentes du shopper ? Je suis plus sceptique sur l’intégration à GRAND FRAIS …. même si l’offre est réellement complémentaire : elle semble marquée par un opportunisme un peu trop apparent … je ne sais pas si le client y sera sensible .. Série en cours !
L’implantation en magasin de corners proposant une sélection des meilleures ventes de Cdiscount (meuble, décoration et high tech) se poursuit au sein des hypermarchés Géant, avec un quasi doublement du nombre de ces corners attendu d’ici quelques jours.
L’alliance du physique et du digital se poursuit chez Géant, avec de nouvelles installations de showrooms Cdiscount prévues au sein même des hypermarchés du groupe Casino. En septembre 2017, un premier corner Cdiscount de 300 m² avait pris place dans les allées de l’hyper Géant Fenouillet, en banlieue de Toulouse. Un exemple rapidement suivi par les Géant d’Amiens, de Quimper et de Nîmes. Depuis quelques jours, le magasin de Servon (Seine et Marne) est lui aussi concerné. Et selon nos informations, les hypermarchés du Puy-en-Velay, de Villefranche sur Saône, Montpellier, Grenoble, Valence et Saint-Etienne Monthieu disposeront eux aussi d’une zone Cdiscount dans les semaines à venir.
Déployé sur 300 m², cet espace dédié à la vente de produits non alimentaires propose plus de 600 références (meuble, multimédia, petit et gros électroménager, accessoires) disponibles immédiatement, avec d’une part un showroom mobilier et décoration qui met les produits en situation, et d’autre part une zone dédiée à la promotion avec la mise en avant des meilleurs affaires du moment. Via des postes fixes et des tablettes qui équipent les vendeurs, le client a accès à l’ensemble des 300 000 références proposées par Cdiscount.
On l’aura compris, Géant et Cdiscount cherchent à capitaliser sur cette interaction. Rappelons que les deux entreprises partagent le même actionnaire, le groupe Casino, et que Géant délègue désormais à Cdiscount la gestion des assortiments et du stock sur les univers de produits techniques, maison ou jardin.
Et le déploiement de ces corners ne concerne pas que les magasins intégrés. Car le Marché Frais Géant de Servon, en région parisienne, dispose lui aussi de son espace Cdiscount. Il s’agit d’un franchisé, qui est le premier à intégrer un tel dispositif. Le magasin ouvert en octobre appartient à la famille Quattrucci, des primeurs qui ont progressivement constitué un groupe de près de 20 magasins en Ile de France, dont une majorité de Marché Frais, dans les zones denses et populaires. Le magasin de Servon consacre la moitié de sa surface de vente aux produits frais et propose des produits de crèmerie et d’épicerie en déstockage à des prix attractifs. Dans un tel environnement, un espace Cdiscount a tout pour se distinguer. Et a surement valeur de test.
Quelques photos du Marché Frais Géant de Servon :
Caddie connecté. Tracxpoint (Israël) a levé 8 millions de dollars.
On se demande comment il est possible qu’en 2018 alors que l’on arrive à tracker l’activité de tout un chacun, le jour, la nuit … De gérer les datas sur nos habitudes de consommation… Notre géolocalisation… qu’il n’existe pas de projet ou de prototype qui aient vu le jour dans le domaine du caddie connecté… Je me rappelle de quelques tentatives du coté d’Auchan il y a quelques années dans le magasin « test » de l’enseigne … mais jamais personne n’a été au bout. Alors fausse bonne idée devant le développement des drives, du e-commerce ou de la livraison à domicile ? Tacxpoint doit avoir quand même quelques arguments pour convaincre ses investisseurs (8 millions $). Le secret à priori est une bonne dose d’IA au service de la personnalisation de l’expérience client … et puis il fait tout : il scanne, il pèse, il encaisse …. à suivre !!
Le futur du retail est dans Tracxpoint ! Cette belle startup a inventé le premier caddie connecté drivé par l’intelligence artificielle et la computer vision. Le bénéfice ? Maximiser le gain de temps et la personnalisation à la fois au moment de l’entrée et de la sortie du magasin. Grâce à Tracxpoint, les distributeurs peuvent rentrer directement en contact avec les consommateurs au moment de leur arrivée dans le magasin lors du retrait du caddie connecté : rangé sur des rails, celui-ci se libère via une borne par identification de l’utilisateur ; le client est reconnu et se voit proposer toute une palette d’offres personnalisées à son arrivée.
Équipé d’un écran tactile, d’un sensor de reconnaissance produit, d’une balance, et de caméras, ce caddie connecté suggère durant les achats des produits, propose des promotions, mais surtout permet de payer sans passer en caisse grâce à l’identification (en 1 seconde !) par caméras latérales des produits déposés dans le caddie. La teechnologie de machine learning a enregistré en amont « visuellement » l’intégralité du catalogue produit en 3D et sa précision est de 98% !
Côté distributeur, la data récoltée par le caddie offre toute une série d’analytics. Son modèle économique est un paiement par utilisation ou en leasing des caddies. Créée en 2015, Tracxpoint a levé 8 millions de dollars récemment et travaille aujourd’hui avec les grands distributeurs israéliens et commence à se développer en Europe. 30 personnes dont une grande majorité d’ingénieurs, optimisent quotidiennement cette technologie de pointe. (hubinstitute.com)
Source : Israel Valley
[MWC 2018] Ikea et Accenture imaginent le magasin augmenté pour les centres-villes
Comment réenchanter l’expérience client à la mode IKEA avec son cabinet de conseil… La démarche est très interessante et l’initiative est louable. Mais de là à utiliser le « fameux » crayon de bois IKEA comme scanette : on a du mal à penser qu’IKEA va changer le monde… Les rétroprojecteurs s’ils sont une bonne idée sur la papier pose quand même le problème de la luminosité … Seul avantage : leur coût minime de ces technos de projections et de RFID (on aura quand même du mal à parler de REALITE AUGMENTE et de REVOLUTION) mais ne passons pas à coté des choses simples … à suivre !
A l’occasion de l’édition 2018 du Mobile World Congress, Accenture et Ikea dévoilent une preuve de concept sur le magasin du futur, notamment de centre-ville. Ayant pris tardivement le virage du numérique, Ikea cherche à dépoussiérer les expériences de ses clients. Si la démonstration est agréable à l’usage, les détails manquent sur son déploiement.
Montrer tout le catalogue Ikea dans un espace restreint
Grands entrepôts enracinés en périphérie urbaine, catalogues en papier glacé… Ces formules ont construit le succès d’Ikea et à la longue, l’ont fait paraître un peu vieux jeu. Parfois pointé du doigt pour une conversion tardive au numérique, Ikea renouvelle ses magasins à coup de réalité augmentée et, cette foic-ci, d’usages interactifs.
Ce POC « est un nouveau concept de magasin pour le centre-ville. Il s’agit de boutiques plus petites où nous devons créer de nouvelles expériences et aussi aider Ikea à montrer tout son catalogue dans un espace plus restreint », introduit Gonzalo Marcos, membre de l’équipe “Hybrid Spaces” à Accenture.
Le crayon à papier Ikea devient « Scannette »
Dans ce magasin, le fameux crayon à papier Ikea est équipé d’une puce RFID et fait office de « scannette ». Il suffit de coller le crayon à l’étiquette d’un produit pour l’ajouter au panier virtuel. En parallèle, un projecteur affiche des informations dynamiques sur les produits. Pour certains objets, il suffit de passer le crayon sur une autre étiquette pour visualiser des motifs différents grâce au projecteur. Cachés dans les étagères du magasin, des capteurs enregistrent les actions du crayon. En fin de parcours, il suffit de scanner le crayon pour finaliser la commande sur un écran tactile. « On développe des expériences digitales dans le monde physique », résume Gonzalo Marcos.
#MWC18 @Accenture et @IKEA ont élaboré une preuve de concept pour le magasin du futur. pic.twitter.com/3iZdczHvcE
— Simon Chodorge (@simonchodorge) February 26, 2018
Les deux entreprises devraient prochainement mener une démonstration similaire à Séville (Espagne) avec une cuisine où les caractéristiques des produits seront également affichées grâce à un projecteur. « On n’a pas un produit fermé à livrer à n’importe quel client. On travaille avec eux un par un et on co-crée une solution pour leurs besoins spécifiques », explique Gonzalo Marcos. Le déploiement de cette preuve de concept n’étant pas connu, reste à savoir si elle survivra aux stands du MWC et si les magasins Ikea trouveront la route des centres-villes.
Source : Usine Digitale
Le mobile s’inscrit de plus en plus dans le processus d’achat
Tendances retail pour 2018 : tout pour rester dans la course
Omnicanal et mobile !! Tous les analystes et tous les acteurs du retail sont d’accord … La seule différence avec les constantes (r)évolutions qu’a déjà subi le secteur du #retail, c’est qu’aujourd’hui c’est la techno qui fait la différence, la techno ? Non, plutôt l’usage de la techno ! Et encore plus en ce début d’année 2018 où l’on voit arriver : le conversationnel (ça y est APPLE a sorti son enceinte), la reconnaissance faciale ou les objets connectés. Alors comme le dit l’auteur, attention à ce que la profusion de ces technos ne se fasse pas au détriment de ceux qui doivent les utiliser. Ce que nous appelons dans le déploiement de nos applis sur le terrain : « le second moment de vérité » c’est à dire le moment où les équipes métier utilisent, administrent la solution. (le 1er moment de vérité étant bien entendu celui où il a fallu convaincre les décideurs de la pertinence de notre recommandation).
Le secteur de la distribution n’a jamais évolué aussi rapidement qu’aujourd’hui, le mobile confirmant son rôle de plateforme du futur et l’appétence des clients pour une expérience omnicanal qui doit cependant être rapide et homogène…
La technologie reste l’élément essentiel permettant de conserver un avantage concurrentiel. Elle est en effet le moteur qui pousse les consommateurs à se rendre dans les magasins, le cerveau qui se cache derrière chaque interaction et l’élément qui détermine chaque aspect de l’expérience client. Alors que l’omnicanal brouille les frontières entre le commerce en ligne et hors-ligne, les enseignes doivent améliorer l’expérience d’achat du client dans ces deux domaines. Voici les cinq tendances principales de 2018 qui contribueront à améliorer l’expérience client et à renforcer la fidélité.
Intelligence artificielle (IA) conversationnelle
D’ici 2021, 1,8 milliard de personnes utiliseront régulièrement l’IA conversationnelle, qui sera un outil crucial pour trouver, rechercher et acheter des produits. « Mon assistant virtuel s’en charge » viendra bientôt remplacer l’expression « Il existe une application pour cela ». Que les entreprises commercialisent des repas haut de gamme, des vêtements de luxe, des billets d’avion ou des chambres d’hôtel, deux considérations essentielles présideront à la réussite de la commande vocale dans le secteur du retail. Tout d’abord, les distributeurs devront permettre aux clients de trouver facilement ce qu’ils cherchent en utilisant uniquement leur voix. Ensuite, ils devront garantir un processus d’achat transparent lorsque les consommateurs se connecteront à la marque. Si certaines marques ont déjà avancé sur cette question, d’autres devront revoir leur stratégie afin de se préparer à cette réalité de la commande vocale.
Livraison ultra-rapide
Depuis des années, la rapidité et la commodité constituent deux des moteurs essentiels du secteur de la distribution. Des recherches montrent que la livraison conditionne le choix de leur e-commerçant privilégié pour 54 % des consommateurs, par exemple, la livraison en une heure en zone métropolitaine. La distribution est d’ailleurs en passe d’être soumise à une forte pression, Amazon proposant déjà une livraison en 30 minutes par drone. Du fait des progrès réalisés dans le domaine du pilotage autonome, de l’allongement de la durée de vie des batteries, la livraison par drone s’annonce comme la prochaine technologie de rupture au sein de la chaîne d’approvisionnement de la distribution. En effet, le marché devrait atteindre 1,3 milliard de dollars d’ici à 2020. Les entreprises seraient bien avisées d’étudier les différentes stratégies afin de déterminer s’ils peuvent les intégrer. Accélération des livraisons, fourniture de pièces ou d’équipements essentiels à de grands projets industriels… Les drones sont en mesure d’améliorer l’efficacité des processus et de réduire les coûts.
Une expérience client enrichie
Alors que la technologie encourage l’innovation et donne accès à de nouveaux produits, la différenciation se résume à l’expérience du client avec la marque par l’achat omnicanal. L’objectif sera de garantir la satisfaction totale du client à chaque point d’interaction, quel que soit le canal utilisé. Face à l’augmentation du nombre d’acheteurs s’engageant dans un processus omnicanal avant de procéder à un achat, il deviendra essentiel d’assurer une intégration de l’expérience physique et digitale. Les nouvelles technologies, telles que les assistants virtuels, le paiement par portefeuille mobile, les beacons, la reconnaissance faciale et d’objets, les miroirs interactifs et les étagères intelligentes, contribueront à enrichir l’expérience client et à augmenter le taux de conversion des ventes.
Personnalisation robotique
La personnalisation fait face à des dilemmes dans plusieurs secteurs, y compris celui de la distribution. Dans de nombreux cas, la surabondance de choix détériore l’expérience du client, au lieu de l’améliorer. Une profusion de marques, de couleurs, de formes et de matériaux peut devenir rebutante et dissuader les consommateurs d’acheter. Demain, les distributeurs devront produire des vêtements sur mesure et personnalisés en l’espace de quelques heures. Les clients n’entreront plus dans un magasin pour acheter un pull en taille S ou M. En boutique, l’imagerie corporelle 3D permettra aux enseignes de conserver les mesures des clients et leurs préférences, et ainsi de créer rapidement et massivement des vêtements adaptés.
Des magasins intelligents
Il faut avouer que beaucoup de marques ont investi lourdement pour intégrer les technologies dans leurs magasins physiques et acquérir des clients. Ces innovations transforment totalement l’expérience client: écrans tactiles interactifs pour choisir ses produits et adapter couleurs, tailles et looks en cabines d’essayage, elles-mêmes pourvues de miroirs interactifs qui permettent d’ajuster l’éclairage et de contacter des vendeurs. Mais ces technologies n’ont peut-être pas atteint les résultats escomptés. Certaines se sont lancées dans ces investissements avant même de s’assurer qu’elles disposaient de l’infrastructure back-end adaptée et que leurs commerciaux étaient formés pour tirer parti au maximum des atouts qu’offre la technologie en magasin. Il ne sert à rien que les enseignes investissent massivement dans une technologie en magasin si celle-ci fonctionne mal et que personne ne sait l’utiliser.
Il est crucial que les entreprises se préparent à ces transformations dès maintenant, car la disruption technologique est imprévisible. Alors que l’achat mobile est essentiel aujourd’hui dans le secteur de la distribution, la réalité virtuelle et augmentée pourrait bien façonner les tendances de consommation demain. Dans le domaine de la distribution, il n’existe pas de taille ou d’approche unique. Les distributeurs doivent donc utiliser les données dont ils disposent pour adapter leurs services aux préférences de chaque consommateur.
Source : webmarketing-com
Saint-Brieuc. Boutik’n’Co se bat pour vitaliser le centre
Quand la technologie mobile ou plutôt son usage peut « sauver » le commerce de centre ville. Avec une application mobile de l’association répertoriant « bons plans » et « actus », l’association des commerçants de St Brieuc est sur la bonne voie et offre à sa future clientèle de millenials un outil qui leur correspond. Belle initiative qui prouve bien que c’est d’abord là l’envie et la prise de conscience de la nécessité d’agir qui va faire la différence… Notre Appli CITY BOOST basée sur les « bons plans » et « notifications push » avec un accompagnement dans la com pour plus de performance s’inscrit dans l’esprit du plan « action coeur de ville » lancé par l’état en fin d’année.
L’assemblée générale de l’association des commerçants est l’occasion de faire le point sur la vitalité du centre-ville et les actions menées par Boutik’n’Co.
Boutik’n’Co, l’association des commerçants du centre-ville, a rassemblé ses adhérents jeudi soir pour son assemblée générale. L’occasion de revenir sur les événements de l’année 2017 et les projets pour 2018.
L’application mobile monte en puissance
L’action phare de l’association l’an passé a été la création d’une application mobile qui répertorie les commerces du centre-ville. Boutik’n’Co a été la première union de commerçants en Bretagne à proposer un tel service aux clients. Au 31 décembre, après un mois et demi d’existence, elle avait été téléchargée 653 fois. Prometteur ! Le service le plus apprécié des consommateurs ? La page « Bons plans » qui propose des promotions dans les commerces qui l’utilisent.
Les doléances des commerçants
Le jeu de questions-réponses est toujours le moment le plus redouté par les élus de la Ville, avec des interrogations qui reviennent tous les ans. Pourquoi la Ville ne propose-t-elle pas le stationnement gratuit le samedi ? Pourquoi les agents de surveillance de la voie publique (ASVP) manquent-ils de dialogue et de bienveillance ? Quand le parking de Gouédic va-t-il rouvrir ? Les adjoints ont tenté de répondre comme ils pouvaient. Sur cette dernière question, Alain Ecobichon a assuré que le parking rouvrirait avant la fin de l’année.
Les dossiers Cœur de ville et zone touristique
Adjoint à « l’attractivité du centre-ville », il est aussi revenu sur les dossiers qui intéressent particulièrement les commerçants. Le dernier en date, c’est le plan « Action cœur de ville », avec une enveloppe de 5 milliards annoncée par le gouvernement mi-décembre. Saint-Brieuc compte bien prendre sa part. La Ville, qui estime son projet pour réaménager le centre « abouti » et « opérationnel », veut bénéficier de ce plan dès 2018. L’élu est également revenu sur le projet de création d’une zone touristique à Saint-Brieuc, qui permettrait aux commerçants d’ouvrir le dimanche quand ils veulent. La réflexion est toujours en cours.
Source : Ouest-France
Mots-clés App Store : Quels sont-ils et pourquoi sont-ils si importants ?
Sujet souvent mis de coté dans l’écosystème des apps l’ASO (le référencement sur les Store) ne doit pas être négligé. Mais avant les Mots-Clés, le secret d’un bon référencement, c’est le choix du Nom de l’application et là, rien de plus efficace que de benchmarker les Stores pour voir ce qu’il existe déjà et de choisir en fonction. C’est ensuite que les bons choix de mots clefs vont prendre alors toute leur importance …
Vous avez donc créé votre application et l’avez lancée! Le dur labeur est terminé maintenant, n’est-ce pas? … FAUX! Ce n’est pas parce que vous avez lancé votre application sur l’App Store que vos utilisateurs vont la trouver et la télécharger ! Vous devez vous assurer que votre Optimisation App Store (ASO) est au point et que l’élément le plus crucial sur lequel vous concentrer sont les mots-clés de votre App Store.
Quels sont les mots-clés App Store?
Les mots-clés de l’App Store sont importants car ils constituent le pivot entre ce que les internautes recherchent et les applications pertinentes classées en bonne place sur l’App Store. Il existe deux différents types de mots-clés qui dépendent de la manière dont vous ciblez. Ces types de mots-clés sont des mots-clés larges et des mots-clés à longue queue.
Les mots clés généraux sont des mots courts ou des expressions qui peuvent s’appliquer à votre entreprise, aux autres entreprises de votre secteur et même à d’autres sociétés. Les mots-clés à longue queue ont tendance à être des mots plus longs ou des expressions plus spécifiques à votre entreprise ou à votre secteur d’activité.
Comment trouver vos mots clés pertinents App Store
Connaissez-vous les meilleurs mots-clés pour votre application ? Avez-vous une stratégie ASO pour votre application ? Surveillez-vous votre fiche App Store ? Ce sont toutes des questions qui doivent vous être à l’esprit en permanence si vous voulez que votre application soit couronnée de succès et qu’elle se classe bien sur l’App Store.
Recherche par mots clés
La recherche par mot-clé est l’une des étapes les plus importantes de l’ASO ! Une fois rempli correctement, il peut vous montrer quels mots vos utilisateurs recherchent par rapport à votre application.
Comme la plupart des tâches de marketing, vous commencez toujours par la recherche. Cette étape est cruciale et ne devrait jamais être ignorée. Nous avons besoin de savoir ce que vos utilisateurs recherchent ! Commencez par regarder les recherches de tendances actuelles et voyez si l’une d’elles se rapporte à votre application. Ensuite, faites une recherche dans l’App Store et vous aurez des suggestions. Ces suggestions de recherche fonctionnent très bien comme la recherche Google – il y a des suggestions de saisie semi-automatique pendant que vous tapez. C’est un excellent outil à utiliser !
Astuce : Essayez de réaliser une liste avec des mots clés pertinents de haut rang. En les ayant, vous pouvez alors décider quels mots-clés / mots-clés sont pertinents pour chaque élément du processus ASO.
Optimisation des mots clés
Vous avez maintenant des mots-clés pertinents, mais combien d’utilisateurs les recherchent réellement ? Entrez l’outil de mot-clé ! Cet outil de mots-clés peut vous aider à trouver les mots-clés que les utilisateurs tapent dans la zone de recherche de l’App Store, vous indiquant ainsi si cela en vaut la peine ou non. L’outil Keyword Tool suggère également des mots-clés, de sorte que vous pouvez augmenter le nombre total qui positionne votre application plus haut!
La concurrence saine n’a jamais blessé personne!
Gardez un oeil sur vos concurrents! Vous pouvez surveiller le classement de votre app store par rapport à vos concurrents. Ce qui n’est pas mesuré ne peut pas être amélioré. Donc, la surveillance est un must!
Continuez à vérifier
Une fois que vous avez correctement défini les mots clés qui fonctionnent et que vous les avez inclus dans la page de votre App Store, il est important de continuer à vérifier où se situe votre application. Ce n’est pas une tâche ponctuelle, les tendances changent et vos utilisateurs aussi ! Un mot clé peut être tendance un jour et pas le suivant, vous ne devez pas l’oublier.
Pourquoi sont-ils importants?
Comme mentionné précédemment, les mots clés sont cruciaux pour l’optimisation des appstores et les chiffres parlent d’eux-mêmes …
- 63% des applications sont détectées grâce aux recherches dans les boutiques d’applications
- 82,8% de toutes les applications de l’App Store iOS sont désormais qualifiées d ‘ »applications Zombie ». En d’autres termes, elles sont invisibles lors de la recherche.
Pourquoi avez-vous besoin de mots-clés?
- Les mots-clés aident les utilisateurs à comprendre le but de votre application. Lors de la lecture de votre page App Store, un utilisateur recherche souvent les mots clés qu’il a recherchés précédemment.
- Les mots clés aident la page d’App Store à comprendre le but de votre application. Lorsque le store est en train de classer votre application sur le graphique App Store, vos mots-clés seront affichés de sorte que votre application soit diffusée auprès des internautes qui recherchent des mots-clés en rapport avec votre application.
Avec l’augmentation constante des stores, l’optimisation de votre application n’a jamais été aussi importante. Les mots clés aident l’app store à comprendre le but de votre application. Les mots-clés dans votre description et votre titre doivent avoir un sens et être lisibles pour vos utilisateurs, ils ne sont pas seulement là pour envoyer des conseils à nos amis robots à l’App Store. Comme avec la plupart des stratégies marketing, il est important de continuer à vérifier, où votre application est classée ainsi que quels mots clés qui sont très recherchés.
Source : Hurree