Danger sur le secteur du marketing numérique

La position de @Pierre-Emmanuel Cros. Il ne faut pas que cette urgence économique et sociétale “irraisonnée” que l’on cherche à imposer tout à coup (même si nous en comprenons tous les fondements et que nous sommes plutôt d’accord) ait pour conséquences des dommages collatéraux qui laisseront alors le champs libre à d’autres. L’action ne saurait exister sans réflexion et consensus. Notre French-tech n’a pas les moyens aujourd’hui de faire face à de nouveaux obstacles, la crise actuelle est bien suffisante vous en conviendrez.

«REDONNER À LA PUB NUMÉRIQUE LA CONSIDÉRATION QUI LUI EST DUE», PIERRE-EMMANUEL CROS (MOBILE MARKETING ASSOCIATION)

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Les membres de la convention citoyenne puis le régulateur français mettent en danger le secteur du marketing numérique. Il est temps de lui redonner la considération qui lui est due, sans dogmatisme.

Le pays serait-il confronté, depuis quelques mois, à une tendance étonnante de vouloir se séparer de ses champions économiques ? Face à l’urgence écologique et sociétale, une réponse stricte semble se dessiner, celle de privilégier le dogmatisme et l’urgence irraisonnée au lieu de faire face aux enjeux de manière pragmatique. Aéronautique, automobile, publicité, numérique : chacun de ces secteurs, pourtant porteurs de notre balance commerciale, semblent se poser comme les ennemis à abattre. Le secteur du digital français en tête de file.

Ne nous fourvoyons pas : notre processus démocratique demeure l’une des meilleures garanties de l’équilibre de notre système. Nous nous réjouissons de voir nos élus solliciter l’avis de 150 citoyens tirés au sort pour contribuer à dessiner ce que sera notre société d’ici la prochaine décennie. Nous sommes fiers de voir que la protection de la vie personnelle s’impose comme l’une des préoccupations majeures des internautes, un phénomène qui s’accélère depuis des années, notamment en France. Par ailleurs, notre démocratie s’est toujours appuyée sur les éclairages et les décryptages apportés par les experts et les érudits de chaque domaine. Pour preuve, les scientifiques et leur rôle dans la crise sanitaire que nous traversons. Il doit en être de même aujourd’hui dans d’autres secteurs.

Creuset d’innovation

En tant que représentant de la filière française du marketing mobile, il convient de rappeler ce à quoi le secteur est confronté. Ce dernier représente plusieurs milliers d’entreprises, 700 000 emplois directs et indirects, et s’appuie sur un héritage culturel publicitaire vieux de plus d’un siècle. Faut-il nécessairement mettre à terre le fruit de réussites françaises ? Que ce soit par l’audace des pères fondateurs de la discipline – Havas, Decaux, Bleustein – ou par nos champions d’aujourd’hui, à l’instar de Voodoo, Doctolib, ContentSquare ou de Mirakl, le marketing numérique est un creuset d’innovation qui permet de renforcer la crédibilité de l’Europe sur la scène numérique. Il a permis de développer des technologies de rupture, de faciliter l’expérience du citoyen dans son rapport à l’achat, de faire naitre des vocations ou encore de soutenir les commerces, comme ce fut le cas durant le confinement.

Ces apports, malheureusement, se sont vus gratifiés par une défiance. D’une part, celle des membres de la convention citoyenne, qui portent aujourd’hui le projet de réguler la publicité d’une façon si stricte qu’il en résulterait un cataclysme pour notre secteur. D’autre part, le régulateur français semble s’inscrire dans la même mouvance. Proposant une des interprétations les plus rigides du RGPD en Europe, la récente recommandation publiée début octobre par la Cnil incite nos plus belles réussites à l’exil, vers des terres plus clémentes aux développement des technologies et des innovations portées par ces entreprises. La filière, dans un souci d’échange sain et équilibré, s’est impliquée dans un processus de dialogue avec la Cnil qui a, au final, donné naissance à une interprétation restrictive et contraignante pour chaque acteur de la donnée en France.

Intention cachée

Au-delà de ce simple constat, il convient de s’interroger sur la profonde intention cachée derrière ces positions. Reflètent-elles une volonté de protéger le citoyen ou de le déresponsabiliser ? S’appuient-elles sur une réflexion étayée ou sur des dogmatismes ? Seul l’avenir sera en mesure de nous le dire.

La science de la donnée s’appuie sur la précision, l’exactitude et le pragmatisme. La réalité, ce sont des milliers d’emplois et des innovations stratégiques qui sont menacés sur l’autel de la précipitation. Nous, les acteurs du marketing mobile, appelons à une meilleure considération de la filière au sein du processus réglementaire. Quittons la voie de l’opposition systématique pour trouver le chemin d’un dialogue raisonné, transparent et confiant, permettant la protection de nos concitoyens et l’émergence d’innovations qui nous permettront d’assurer à notre économie un avenir numérique serein. C’est le souhait principal de notre filière.

Source : Strategies –  Pierre-Emmanuel Cros

Le service Amazon Dash Replenishment est disponible en France

Le secret d’AMAZON (et ce qui en fait un leader) sur le marché du RETAIL c’est très certainement son attention particulière à l’expérience client et aux usages. Les services imaginés par la firme BOSTON sont déjà nombreux, mais désormais ils entraînent dans leur sillage directement les équipes de R&D des fabricants de matériel “connecté” en anticipant de futurs usages… Le DASH Replenishment en fait partie, mais ce n’est pas une sonde lancée au hasard pour occuper le terrain. AMAZON capitalise sur l’analyse de son retour d’expérience avec les DASH BUTTONS pour caler une offre encore plus pertinente… Elle ne va pas révolutionner le marché mais entretien encore une fois l’écart qui se creuse entre le pure player (qui n’en est plus réellement un) et les acteurs du retail classique.

Gestion des commandes automatiques de consommables

Le service de fourniture à domicile intelligent d’Amazon arrive enfin en France. Jusqu’à présent disponible uniquement aux États-Unis, Dash Replenishment gagne du terrain et s’ouvre au marché européen.

Amazon ne cesse d’innover ses services déjà assez — trop ? — nombreux. Alors que les boutons Dash Buttons ont été commercialisés en France il y a environ trois ans, c’est désormais au service de fournitures du géant de l’e-commerce, Dash Replenishment, de se faire une place dans l’Hexagone.

Pour rappel, les Dash Buttons sont des boutons connectés conçus par la firme de Jeff Bezos qu’il suffit de presser pour effectuer des achats sur le site en ligne. Dédié aux membres Amazon Premium, ce service compte plusieurs marques dont Fa, le Petit Marseillais, Arial ou encore Gillette.

Si l’utilisation de ces boutons nous laissait déjà un peu perplexes quant à leur réelle utilité, le service Dash Replenishment, qui ouvre ses portes en France, mais aussi en Italie et en Espagne, risque également de ne pas faire l’unanimité.

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Dans les faits, ce service de fourniture a pour objectif de commander à la place de l’utilisateur avant la fin du stock. Pour cela, Dash Replenishment va mesurer la quantité de produits présents dans l’appareil connecté (cartouche d’encore, lessive) et passer commande sur le site Amazon.fr pour éviter à l’utilisateur de le faire. Le consommable sera alors livré dans les 72 h. De nombreux constructeurs intègrent d’ores et déjà ce service : Bosch, Philips, Haier ou encore Siemens…

S’il est important de préciser que ce service est gratuit et qu’excepté le prix du consommable, l’utilisateur ne devra rien débourser, force est de reconnaître qu’il pousse à la consommation et que le client ne passe plus à l’acte d’achat. Il est toutefois possible d’annuler la commande en consultant l’onglet Commandes sur le site Amazon.fr.

Source : Les numeriques 

Monoprix supprime les catalogues papiers

Ça y est ! Monoprix a osé ! On se demandait depuis des années qui aurait le courage de se passer des catalogues papier… et comme souvent ces derniers temps c’est la team de @Regis Schultz qui l’a fait ! Je me souviens de ces discussions recourantes et encore très récentes @Emmanuel Guegan avec de nombreux patrons de la GD autour des catalogues (et de leur sempiternelles distributions en boites aux lettres sur la zone de chalandise) qui se concluaient toujours par “on ne sait exactement ce que cela génère mais on se rend compte que les semaines sans catalogue on fait moins de chiffre…”. Le statu quo était donc la stratégie de rigueur, mais la conjonction de l’arrivée de nouvelles populations de shoppers ( Millenials…), de nouveaux usages (clik&collect, drive…) et de nouveaux outils digitaux et mobiles permet aujourd’hui de prendre ce “risque” bon pour la planète” sachant que le positionnement ultra urbain de @monoprix le lui permet plus facilement que certaines grosses unités positionnées loin des centres villes… serie en cours !

Monoprix repense ses outils de communication client en supprimant la distribution de ses catalogues papiers et en intégrant, dans sa réflexion, plusieurs paramètres : les besoins des urbains, la montée du digital et les enjeux et impacts environnementaux.

En supprimant environ 30 millions d’unités, correspondant à 2400 tonnes de papier, l’enseigne souhaite faire évoluer sa communication client en faisant appel à des outils plus respectueux de l’environnement. Selon Monoprix (citant Human & Green Consultants pour Bonial), l’impact écologique digital est 14 fois inférieur à celui du papier.

Source : Points de vente

ezCater rachète GoCater pour développer son service de traiteur en ligne à l’international

Le marché des services traiteurs sera particulièrement rentable dans les quelques années à venir . On le sent déjà venir avec les services de livraison à domicile pour les millenials qui n’hésitent plus à commander dans leur restaurant préféré. Le B2B dans cet écosystème sera la « niche » à valeur ajouté des services traiteurs. Certains s’y penchent avec attention, à l’heure où la GD en France a fait de l’offre FRAIS en magasin un axe de croissance premium, des modèles de marketplace (qui agrègent les offres) commencent à voir le jour. 

Alors qu’elle vient de boucler une levée de fonds de 100 millions de dollars, la société américaine ezCater annonce ce mardi 24 juillet 2018 l’acquisition de la plateforme parisienne GoCater. La marketplace de commande de traiteur pour entreprises espère ainsi étendre sa présence en Europe et dans le monde.

L’entreprise originaire de Boston, ezCater, annonce ce mardi 24 juillet 2018 l’acquisition de la plateforme française GoCater, spécialisée dans la commande de traiteur pour les professionnels. Cette opération intervient juste quelques semaines seulement après une levée de fonds de l’entreprise américaine de 100 millions de dollars. « Nous sommes les premiers sur le marché aux Etats-Unis, et nous avons maintenant l’ambition d’offrir notre service aux clients et traiteurs dans le reste du monde« , déclare Stefania Mallet, co-fondateur et CEO d’ezCater.

UNE MARKETPLACE DE COMMANDE DE TRAITEUR                              

Les entreprises dépensent en moyenne 22 milliards de dollars par an en services de traiteurs aux Etats-Unis et 17 milliards d’euros en Europe. ezCater et GoCater ont été créées afin de pouvoir passer directement les commandes en ligne, sur un site unique, auprès de tous les traiteurs du marché. Au-delà du service de commande de traiteur en ligne, GoCater permet aussi aux entreprises de contrôler leurs dépenses. Elles peuvent chercher, comparer et commander auprès de plus de 200 traiteurs.

Tout comme chez ezCater, l’accent est mis sur le service client et la productivité des entreprises : les acheteurs professionnels bénéficient de gestionnaires de comptes dédiés, de la possibilité d’établir des budgets et d’une facturation consolidée. Les traiteurs quant à eux disposent d’outils de gestion pour contrôler et simplifier leurs commandes. Et ces plateformes sont amenées à évoluer. Stephen Leguillon, fondateur et CEO de GoCarter explique que leur objectif est de parvenir à digitaliser toutes les opérations et l’industrie des traiteurs, grâce à un software de gestion de business spécialisé et des algorithmes de suggestion pour les clients.

EZCATER DÉBUTE SON EXPANSION INTERNATIONALE

Avec cette acquisition, ezCater espère accélérer son expansion à l’international. Pour l’heure, la plateforme GoCater est disponible en France et en Allemagne, ce qui permet à la société américaine de poser un premier pied sur ce marché européen. Les bureaux de GoCater et son équipe vont en effet devenir le point central de cette activité européenne.

Mais cette opération va également être bénéfique pour l’entreprise parisienne, puisque cela va lui permettre d’étendre son réseau de partenaires, en ajoutant des groupes de restauration américains présents en Europe, ainsi que d’autres chaînes de restauration européennes. « Nous avons immédiatement senti qu’ezCater partageait notre vision. Nous associer au numéro 1 sur le marché mondial va nous permettre d’étendre notre activité en Europe et au-delà« , affirme Stephen Leguillon. Cette association va également lui apporter de l’expertise, ezCater ayant plus d’ancienneté dans le milieu. Les deux entreprises partagent une même vision mondiale de leurs services et envisagent un travail collaboratif pour y parvenir : « Ensemble on est plus forts« , conclut Stephen Leguillon.

 

Source : Usine-digitale

Facebook vient de lancer discrètement son magazine papier à destination des chefs d’entreprise

Décidément ce nouveau monde toujours plus digital qui est le nôtre est étonnant et doit dérouter plus d’un analyste. La dernière initiative de FACEBOOK : lancer un magazine papier (non, ce n’est pas une nouvelle du GORAFI..) en fait partie. Piloté par une personnalité people de Londres, ce trimestriel à destination des entreprises (annonceurs) a été lancé le 18 juin et s’appelle GROW. Il propose « du contenu sur le leadership intellectuel » (si, si c’est sérieux je cite le marketing de facebook !) et n’a pas d’encarts publicitaires (pour le moment…). Après l’arrivée d’AMAZON dans le commerce physique, la culture de l’OMNICANAL touche aussi les RS … À suivre !

Instagram/katethemax

  • Facebook a discrètement lancé un magazine papier.
  • C’est un trimestriel baptisé Grow et distribué auprès de clients annonceurs et dans les gares et aéroports, à destination des dirigeants d’entreprises.
  • Il s’agit principalement d’un outil de communication pour le réseau social — au lendemain du scandale Cambridge Analytica qui a entaché ses relations avec les annonceurs.

Facebook, par la voix de son président Mark Zuckerberg, répète souvent qu’il n’est pas un média.

Pourtant, le réseau social vient de prendre une décision qui peut paraitre contradictoire par rapport à ces déclarations: lancer un magazine papier.

Il s’appelle Grow (« croître », « grandir » en anglais), et se définit comme un « magazine trimestriel pour les dirigeants d’entreprises ». Coïncidence, Grow est également le nom d’un bimestriel américain sur la culture du cannabis.

C’est le site de la FIPP — Fédération Internationale de la Presse Périodique — qui a mentionné en premier l’existence du magazine le 18 juin.

Grow est édité par les équipes marketing de Facebook au Royaume-Uni. Dans le premier numéro, on trouve un portrait de Oscar Olsson, le directeur créatif de /Nyden (la nouvelle marque du groupe H&M), une enquête sur l’écosystème tech parisien, ou encore des interviews et conseils de dirigeants d’entreprises. Les articles sont également accessibles en ligne.

Selon Press Gazette, le magazine a été envoyé à des clients annonceurs de Facebook et est distribué dans certains salons classe affaires des gares et aéroports. La rédactrice en chef de Grow est Kate Maxwell, ancienne directrice éditoriale de Soho House, un réseau de clubs privés à destination des personnalités du monde des arts et des médias.

Un « outil de marketing et de communication » auprès des annonceurs

Capture d’écran du site Grow by Facebook. Facebook

« Grow by Facebook est un programme de marketing à destination des entreprises qui propose du contenu sur le leadership intellectuel directement à nos clients à travers un évènement annuel ainsi que des canaux de marketing papier et en ligne », explique Leila Woodington, directrice du marketing pour les entreprises de Facebook en Europe du Nord, interrogée par le Times.

« Nous ne vendons pas d’encarts publicitaires et ne faisons pas payer pour les évènements et les contenus proposés car il s’agit uniquement d’un outil de communication et de marketing », précise-t-elle.

En clair, il ne s’agit pas de diffuser de l’information mais d’un moyen pour Facebook de vendre son image auprès de ses annonceurs.

Suite au scandale Cambridge Analytica, les relations ne sont pas au beau fixe entre le géant — qui représente 20% du marché mondial de la publicité en ligne en 2017 — et ses clients. Comme le rapportait CNN en mars, plusieurs entreprises comme Sonos, Commerzbank et Mozilla ont retiré leurs publicités du réseau social suite à l’affaire. D’autres ont commencé à poser des questions sur le respect de la vie privée des utilisateurs, comme l’ISBA, une association britannique qui représente plusieurs annonceurs comme Unilever, McDonald’s er Adidas.

« La perte de confiance envers [Facebook et Google] pourrait diminuer la main-mise des deux entreprises sur le marché de la publicité en ligne », analysait Douglas McIntyre du site 24/7 Wall Street en mars dernier. « Si un ou plusieurs gros annonceurs annoncent publiquement le retrait de leurs publicités de Google, Facbook, ou des deux en même temps, cela pourrait créer un effet domino » qui profiterait aux portails internet tels que MSN, AOL ou Yahoo, ainsi qu’aux grands groupes de médias, selon McIntyre.

Avec Grow, Facebook cherche à donc redorer son blason auprès de ceux qui assurent la viabilité de son modèle économique. 98% des revenus du géant proviennent de la publicité, rappelait CNN en mars 2018.

 

Source : Business Insider

Le service de voiturier Ector prend le virage du B2B

On en parle assez peu et on a l’impression que le B2B est en marge de la révolution numérique. L’expérience client, les nouveaux usages, les millenials sont des concepts exclusifs B2C dans les medias et RS. Bien sûr la révolution digitale est dans la place, mais l’analyse des solutions déployées fait la part belle aux CRM (de plus en plus mobile), aux équipements tablettes des vendeurs ou aux Apps de Maintenance et de gestion d’intervention… Assez peu de start up en mode « on va changer le monde » ! WITHAPPS s’y est positionné avec ses apps de GEOPROSPECTION (junglebox) ou ses Apps de gestion de la maintenance en MAGASIN (Justdoit.plus) Et pourtant, c’est un marché avec une croissance à 2 chiffres, friand d’innovations #frenchy. On prend donc @ECTOR et on lui souhaite de commencer à changer le monde…

Ector, qui propose un service de voiturier dans 25 gares et aéroports en France, commence à séduire un marché B2B friand des services annexes qu’elle propose comme la révision du véhicule ou le plein d’essence.

Suivant les traces de Valet Parkings en Angleterre, Manoël Roy et Thomas de Longvilliers ont lancé en 2014 leur propre service de voiturier pour les gares et aéroports en France. Ector est née afin de« faciliter la vie des voyageurs qui semblaient vivre un véritable parcours du combattant pour stationner leur véhicule aux alentours des aéroports », explique Manoël Roy.

Il suffit d’indiquer sur le site Internet ou l’application la date et l’heure d’arrivée ainsi que le numéro de vol, la date et l’heure de retour. Un voiturier récupère la voiture au dépose-minute et la ramène le jour J. Entre-temps, elle est stationnée dans un parking sécurisé. La start-up se targue de proposer des prix 20 à 30% moins cher qu’un parking classique. Le prix de base dépend de la durée du stationnement et un prix variable évolue en fonction du taux de remplissage du parking.« L’objectif est de s’adapter en fonction de la demande pour afficher complet le moins possible », précise Manoël Roy.

LE VIRAGE B2B D’ECTOR

Ces derniers temps, Ector se tourne vers le marché B2B. Après AccorHotels en mai, c’est avec Egencia que la start-up a annoncé avoir conclu un partenariat le 12 juin 2018. AccorHotels et Egencia distribuent Ector auprès de leurs membres. La start-up se rémunère en encaissant les commandes moins une commission sur le chiffre d’affaires de ces réservations qui est prélevée par ses partenaires. « Notre service est beaucoup demandé par des clients professionnels en raison de l’offre packagée qui est proposée », explique Manoël Roy. Nettoyage du véhicule, révision et plein d’essence peuvent être réalisés durant l’absence du propriétaire.

Si Ector n’a actuellement pas assez de recul pour savoir si cela va marcher, la start-up a « tout intérêt à foncer dans la brèche », précise son cofondateur. Surtout qu’Ector ne semble pas avoir de mal à démarcher ces sociétés « friandes de ces partenariats », à en croire Manoël Roy. Facturation en fin de mois, protection contre la majoration des prix en fonction de la demande, réductions en cas de volumes importants,… Ector travaille sur plusieurs axes de développement afin de séduire, plus facilement encore, ce marché B2B qui pourrait lui permettre de devenir rentable. Et la start-up n’est pas loin de réaliser son objectif, selon son fondateur.

CONCURRENCE DES VTC, TAXIS ET TRANSPORTS EN COMMUN

Pour l’instant, la vie d’Ector repose sur des fonds privés. La jeune pousse a effectué deux levées de fonds. « La première de 500 000 euros en novembre 2015 a permis à la start-up de s’étendre », explique Manoël Roy. Ector offre désormais ses services dans 25 gares et aéroports de France contre les deux aéroports parisiens du début. Le deuxième tour de table, de deux millions d’euros en mai 2017 doit, quant à lui, permettre de « gagner en visibilité et d’augmenter les dépenses marketing », ajoute Manoël Roy.

 

Surtout que pour le cofondateur, ses premiers concurrents ne sont pas les start-up qui offrent le même service qu’eux, comme Blue Vallet, mais « les alternatives ancrées dans la tête des gens » : taxi, VTC, transports en commun ou parking classique… Pour percer, Ector doit réussir à changer les habitudes des gens.

 

Source : Usine Digitale

Le HomePod est disponible en France, à quoi sert l’enceinte connectée d’Apple ?

En ce 18 juin, nous ne célébrons pas seulement “l’appel du général” c’est aussi le jour qu’APPLE a choisit pour lancer en France son HOMEPOD, so US! Il était temps GOOGLE, déjà l’année dernière et AMAZON ce mercredi ont investi le terrain de l’IA conversationnelle. Les annonces vont donc se succéder désormais. Les différents skills proposés sur les services vocaux d’AMAZON, de GOOGLE ou D’APPLE ne sont cependant pas de même nature. On avait noté en début de mois les annonces effectuées par les médias d’abord avec des skills presse (des journaux de 2 ou 3 mn) ou radio (radios en live) voir ciné (Allociné) ou People. Mais les objectifs de ces GAFA’S company (d’ailleurs quid de Facebook?) ne sont pas les mêmes : APPLE dispose d’un produit cher (on a un peu l’habitude) mais qui dispose d’une qualité de son sans égal (ce sera donc la musique), l’AMAZON ECHO est clairement au service des objectifs de business e-commerce de la firme de SEATTLE . Il est d’ailleurs annoté que les nombreux partenariats conclus par les acteurs du #frenchretail avec Google et sa techno montrent que pour une fois les acteurs de la distribution en France ont enfin décidé de faire la course (1 an après le lancement quand même) dans le commerce conversationnel en offrant une alternative crédible à l’offre d’AMAZON.

Lancé lundi à 349 euros, le HomePod est la réponse d’Apple à Amazon et Google dans la course aux enceintes connectées.

 

Un nouveau produit Apple débarque dans l’Hexagone. La firme de Cupertino lance ce lundi 18 juin son enceinte connectée HomePod en France. Vendue 349 euros, elle s’affiche dans tous les Apple Store du territoire. Les clients peuvent venir découvrir ses fonctionnalités mais ne pourront pas forcément tous repartir avec. Selon les informations du site spécialisé iGen, certaines boutiques ne serviront les clients qu’à partir du 22 juin.

Lancé il y a six mois aux États-Unis, au Royaume-Uni et en Australie, le HomePod est la réponse d’Apple à Amazon et Google dans la bataille que se livrent les géants du numérique dans les enceintes à commandes vocales. Ses deux concurrents ont commercialisé leurs produits en 2016 outre-Atlantique et s’accaparent pour l’instant l’essentiel du marché. Google a lancé son enceinte Home en France en août 2017. La firme de Mountain View a été rejointe par Amazon et sa gamme d’enceintes Echo début juin.

Grâce à ces objets nourris à l’intelligence artificielle, Amazon, Apple et Google espèrent imposer leurs écosystèmes dans le foyer des utilisateurs. Mais leurs desseins sont différents. Google y voit le moyen de récolter des données plus précises sur les habitudes de ses clients, Amazon une porte d’entrée pour son site de e-commerce. Leurs enceintes sont plus accessibles, à partir de 49 euros. De son côté, Apple y voit l’occasion de prolonger son écosystème musical, autour d’Apple Music, avec une expérience premium.

Une enceinte pilotée par Siri

Comme ses concurrents, le HomePod repose sur un assistant virtuel, Siri. Équipé de plusieurs microphones, il peut répondre aux questions de ses propriétaires en allant chercher les réponses sur le Web. Il prend en compte le contexte et les informations de l’utilisateur, comme les rendez-vous de son agenda et ses rappels, dans ses réponses.

Il peut envoyer des messages, commander les services de l’univers Apple et est aussi relié à l’application Apple Home pour contrôler les objets connectés de la maison. Il suffit pour cela de dire « Dis Siri » puis de formuler sa requête.

Une expérience musicale supérieure

Apple mise surtout sur l’acoustique du HomePod pour tirer son épingle du jeu face à ses concurrents Google et Amazon. Le HomePod est relié au compte Apple Music de l’utilisateur. Il intègre sept haut-parleurs, un caisson de basse pilotés par un microprocesseur conçu par Apple et un accéléromètre pour s’adapter à la pièce dans laquelle il est installé et délivrer un son spatialisé.

Les journalistes qui ont essayé l’appareil louent sa simplicité d’usage et sont unanimes sur le fait qu’il tient ses promesses sur le plan de l’expérience musicale malgré un usage de Siri plus limité que les intelligences artificielles d’Amazon et Google.

Plus fermée que les enceintes d’Amazon et Google

Le principal défaut du HomePod est son environnement verrouillé sur l’univers Apple. Moins polyvalent que les enceintes d’Amazon et Google, l’appareil ne donne sa pleine mesure qu’avec les applications Apple. Il n’est pas possible de lancer un morceau sur Deezer ou Spotify à partir des fonctions natives de l’enceinte. Seuls les logiciels Apple Music, iTunes et MusicMatch peuvent être pilotés directement à la voix.

 Source : RTP futur

E-commerce : le japonais Rakuten s’offre la start-up californienne Curbside

Dans la révolution Digitale du #retail, voici le Géant japonais Rakuten, mieux connu chez nous pour avoir racheté Price Minister (devenu depuis Rakuten). D’ailleurs ! Pour la petite histoire, en ces temps bénis pour le foot, coupe du monde oblige, il est le sponsor maillot du Barça… mais on s’égare ! Donc Rakuten rachète Curbside, ce qui est intéressant c’est l’activité de celle-ci, qui en dit long sur la vision de l’avenir du #retail pour le pure player Japonnais. Alors qu’Amazon rachète des chaînes (comme whole foods) ou développe de nouveaux concepts ( Amazon Go), Rakuten fait le pari du “Click and Collect” et plus finement de la prédiction des visites clients en magasin… l’actu de RAKUTEN devra donc être suivie de très près dans ces prochains mois.

 

En rachetant la start-up Curbside, Rakuten, le géant japonais du e-commerce, veut améliorer l’expérience de ses clients en leur permettant de passer des commandes depuis leur smartphone et de les récupérer en magasin.

Rakuten, le rival japonais d’Amazon, vient de mettre la main sur la start-up Curbside, spécialisée dans le m-commerce et la collecte en magasin, rapporte un article de Techcrunch. Le montant et les termes de l’opération n’ont pas été dévoilés.

Basée à Palo Alto et créée en 2013 par des anciens ingénieurs d’Appleexperts dans les technologies de localisation, Curbside a fait très tôt le pari de mixer e-commerce et retail physique (alors peu développé aux Etats-Unis, contrairement à la France où le développement des drives a créé rapidement un pont entre les deux mondes) en proposant aux internautes de récupérer leurs commandes en magasin plutôt que de se faire livrer à domicile.

CVS, SEPHORA, PIZZA HUT COMME CLIENTS

La start-up a d’abord lancé sa propre application mobile en nouant des partenariats avec quelques commerçants, dont un centre commercial situé à San José et quelques magasins Target de la région de San Francisco. Curbside a également développé une solution de m-commerce et de collecte pour CVS Caremark, une grande chaîne américaine de pharmacies qui figure également parmi ses actionnaires depuis 2016.

La start-up a aussi mis au point un kit de développement (SDK), baptisé ARRIVE, pour permettre aux commerçants et restaurateurs de prédire et d’anticiper l’arrivée des clients en magasin venant récupérer leurs commandes passées en amont depuis leur mobile. CVS, Sephora, Westfield, Nordstrom, ou encore Pizza Hut ont déjà adopté la solution qui génère aujourd’hui la majorité des revenus de la jeune pousse.

Depuis sa création, Curbside a levé plus de 40 millions de dollars auprès d’Index Ventures, de Sutter Hull Ventures, d’AME Cloud Ventures, de Qualcomm Ventures, de Chicago Ventures et de la chaîne CVS.

Source : Usine Digitale

iPhone X, Nouveau Design Pour Le Smartphone D’Apple

Il fut un temps où je suivais avec fièvre, les keynotes d’Apple… Avec attention, car mon anglais approximatif ne me permettait pas la moindre inadvertance… mais avec une certaine fierté ensuite à prêcher la bonne parole de la JOB’S FAMILY auprès des miens. Ce temps est désormais révolu, incroyable car c’est encore et surtout grâce aux applications natives (voir hybrides) IOS que notre business est florissant (WITHAPPS est une agence de marketing mobile #retail). Mais contrairement à ce que pensaient les équipes d’APPLE (ou les BOSS d’Apple), il existait vraiment un palier de prix à ne pas franchir … tout le monde a évoqué le « cut des 1000€ » pour ma part, je pense que le plafond est encore un peu en dessous 790/850€ … Et à une période ou le #retail doit faire face à une profonde révolution de la demande avec une reprise en main de l’essence même de la relation commerciale par les clients… L’erreur aurait tué n’importe quel autre fabricant de device in the world, but Apple is too powerful. L’iPhone X « budget » que @forbes présente dans son article, montre que le message a été entendu puisqu’on parle d’un prix inférieur d’environ 300 € pour ce prochain device, made in 2018 ! on reste encore un peu sceptique non ?

 

Au mois de mai, nous avons confirmé une nouvelle gamme iPhone X d’Apple, ainsi qu’une annulation. Aujourd’hui, nous sommes en mesure de vous révéler les designs des nouveaux modèles, les plus excitants depuis la création de ces smartphones, et le changement le plus radical également.

En collaboration avec le célèbre fabricant d’accessoires Ghostek, celui-là même qui avait permis d’en dire plus sur le dernier Galaxy S9 de Samsung en décembre, nous avons obtenu des schémas des iPhone X « budget » et iPhone X Plus. Nous nous attendions tous à ce que le premier soit le bestseller de la nouvelle gamme d’Apple, mais le second pourrait finalement bien bouleverser le monde des smartphones.

Décryptons-les.

Crédit : Ghostek, Gordon Kelly (Forbes USA)

iPhone X Plus – Une triple menace

La plus grande nouveauté visible sur ces schémas est l’introduction d’une caméra arrière sur l’iPhone X Plus. Huawei a déjà avancé Apple en intégrant cette technologie sur le P20 Pro, mais l’iPhone X Plus sera le smartphone qui l’apportera au grand public.

La configuration à triple lentilles d’Apple reste pour l’heure inconnue, mais il serait logique de copier l’approche de Huawei d’une caméra monochrome soutenant les modules primaires et les téléobjectifs. Cela produit une photographie en basse lumière. Et le faible éclairage est également un domaine où Apple a lutté contre ses rivaux (un en particulier, le Pixel 2 de Google) ces dernières années.

Nous comprenons donc ici que la deuxième génération de l’iPhone X se tiendra à deux caméras – encore une fois – et qu’Apple va proposer son meilleur système de caméra pour le plus grand (et le plus cher) de ces modèles.

Par ailleurs, les schémas montrent qu’Apple a réussi à combiner un écran de 6,5 pouces dans l’iPhone X Plus, tout en maintenant une empreinte plus petite que sur l’iPhone 8 Plus de 5,5 pouces : 157,2 x 77,1 mm (6,18 x 3,03 pouces), par rapport à 158,4 x 78,1 mm (6,24 x 3,07 pouces). Cela dit, son châssis en acier signifie qu’il devrait peser plus lourd que les 202 grammes en aluminium de l’iPhone 8 Plus.

iPhone X « Budget » – Adieu Mini iPhone X

En mai, nous vous révélions qu’il n’y aurait pas de « mini iPhone X » et ces schémas prouvent qu’en effet, une fois encore, Apple a vu les choses en grand.

Crédit : Ghostek, Gordon Kelly (Forbes USA)

L’iPhone X « budget » (dont le véritable nom n’est pas encore connu), mesurera 147,12 x 71,52 mm (5,79 x 2,81 pouces), ce qui est plus long et plus large que l’actuel iPhone de 5,8 pouces : 143,6 x 70,9 mm (5,65 x 2,79 pouces).

Oui, comme la rumeur le prétend, il s’agirait bel et bien d’un téléphone de 6,1 pouces.

Ses « coupes budgétaires » peuvent être vues au niveau de la caméra arrière, unique (il perdra également le 3D Touch), tandis que vous remarquerez que l’encoche est plus prononcée.

L’iPhone X « budget » disposerait en outre de la première génération de la technologie Face ID, tandis que les nouveaux iPhone X et iPhone X Plus seront équipés de la seconde génération. Mais prenez cela avec des pincettes car cette information vient d’une source non-prouvée.

Bien sûr, la caractéristique la plus intéressante de l’iPhone X « budget » reste son prix, avec Apple qui devrait réduire les prix de l’ordre de près de 300 euros, par rapport à l’année dernière.

Inutile de dire que, aussi loin de la sortie, il est possible que les designs changent, mais avec une production de masse prenant plusieurs mois pour monter en puissance, il n’y a pas vraiment de temps, même pour la plus petite des modifications.

Alors, mesdames et messieurs, vous pouvez d’ores et déjà contempler deux des iPhones les plus excitants jamais produits par Apple…

 

Source : Forbes

 

Fnac Darty renforce ses liens avec l’écosystème Google grâce à des espaces dédiés

Nouveau signe que les #frenchretailers parient sur le commerce vocal…. et face à AMAZON, Google pourrait être le grand gagnant de ce nouvel ecosysteme. En effet, après les différents partenariats mis en place par WALMART aux US ou CARREFOUR, Monoprix … c’est au tour de FNAC DARTY de nouer un partenariat en créant des corners instore de 15M2 pour tester la solution “direct live”. Rappelons en plus que FNAC DARTY fait partie des premiers services avec OUI.SNCF par exemple disponible sur la Google Home …

Les magasins Fnac et Darty proposeront tous des corners dédiés aux produits de Google d’ici la fin du mois de juin. L’occasion pour les visiteurs de tester les nouveaux usages permis par Google Assistant, intégré à l’enceinte intelligente Google Home et disponible sur différents smartphones. Un moyen pour le distributeur d’initier ses clients au commerce vocal, dans lequel il veut prendre de l’avance.

Fnac Darty entend bien prendre une longueur d’avance dans l’univers du commerce vocal. Le groupe officialise, ce lundi 16 avril, un partenariat stratégique avec Google. Alors que ses magasins commercialisent déjà l’enceinte connectée Google Home, ils proposeront, d’ici la fin du mois de juin, des corners dédiés aux produits de la firme de Mountain View.

 

Présentées comme des espaces « expérientiels », ces zones oscilleront entre 10 et 50 mètres carrés. Les visiteurs pourront y tester les différents produits de Google, mais aussi (et surtout) les nouveaux usages permis par Google Assistant, l’application maison du géant de la Silicon Valley qui permet d’échanger avec un assistant virtuel par le texte et par la voix.

 

L’achat par la voix

Cette mise en avant n’est pas anodine. Elle vient accompagner la stratégie qu’entend initier Fnac Darty sur le commerce vocal. L’enseigne fait en effet partie des trois premiers commerçants, avec Oui SNCF et Sephora, à proposer une fonctionnalité de transaction sur Google Assistant. Les clients de La Fnac et de Darty, s’ils disposent d’un smartphone compatible, pourront ainsi tester l’achat à la voix sur quatre catégories d’articles : la musique, les livres, la vidéo et les jouets« En quelques échanges vocaux, l’internaute pourra choisir son article, et après confirmation sur son téléphone via l’application de l’Assistant Google, payer avec son compte FNAC puis identifier le point de vente le plus proche de chez lui où il pourra récupérer sa commande dès le lendemain », décrit le communiqué de presse.

 

En parallèle, le « Bouton Darty », qui permet de connecter les clients de l’enseigne au SAV, est désormais disponible depuis l’application Google Assistant. Concrètement, cette intégration permet aux clients abonnés au programme Darty+ d’obtenir gratuitement et  immédiatement une aide à l’utilisation ou au dépannage pour tous les produits, qu’ils soient achetés chez Darty ou non.

 

La bataille des assistants vocaux

Ces synergies se multiplient alors que l’enceinte connectée de Google sera bientôt rejointe par de plusieurs produits concurrents. Selon les informations du Figaro, la commercialisation en France de l’enceinte Amazon Echo, attendue depuis longue date, devrait débuter dès le 23 mai prochain. Apple devrait également proposer aux consommateurs français son enceinte HomePod dans les semaines à venir quand Orange annonce une commercialisation de son équivalent, baptisé Djingo, pour l’automne prochain à un prix inférieur à 300 euros. De son côté, l’enceinte Google Home est commercialisée dans l’Hexagone depuis août dernier, de quoi prendre une longueur d’avance dans la construction d’un véritable écosystème.

 

Source : Usine Digitale