Les nouveaux services, les résultats, les bilans, les prévisions … d’AMAZON, c’est un peu comme la vie des STARS dans les magazines people et leur photos volées par des paparazzis : il y a toujours du sensationnel, du spectaculaire, voir du parfum de scandale avec des titres accrocheurs !! Le problème avec AMAZON c’est qu’on est dans la réalité et que c’est un concurrent terriblement « agressif » de notre #frenchretail et qu’il fait la course en tête dans la capacité d’innovation et de disruption. La livraison en 1 jour que Michel Edouard LECLERC ne trouvait pas stratégique il y a quelques mois, est même passée à 1H le soir du réveillon (oui le 24 décembre vous pouviez commander jusqu’à 23H00 ! ) sur une partie des 30 000 références PRIME !! On retiendra comme anecdote à sortir dans les diners que les Américains redécouvrent ORWELL puisque 1984 (écrit en 1949) a été l’EBOOK le plus téléchargé sur PRIME … Effet TRUMP ??
Nombre d’objets vendus avec Prime, principaux succès sur Prime Video… Amazon fait son bilan de 2017.
En ce début 2018, presque toutes les grandes sociétés se sont prêtées au “jeu” du bilan et des statistiques de l’année passée. C’est aujourd’hui au tour d’Amazon, qui se concentre sur ce que ses clients Prime ont acheté, regardé ou écouté en 2017.
Une année record pour Amazon…
Tout d’abord, Amazon indique qu’en 2017 plus de 5 milliards d’objets ont été expédiés dans le monde à ses clients Prime (qui propose pour mémoire la livraison en un jour sur de nombreux articles). La firme précise d’ailleurs que cette année a été un record de nouveaux abonnés Prime par rapport aux précédentes. Les membres Twitch Prime (programme qui a “offert” plus de 1 100 dollars de contenu en 2017) ont également précommandé plus de 5 millions de jeux vidéo.
Dans l’abonnement Prime, il y a également l’accès aux services de streaming d’Amazon. Ainsi, sur Prime Video dans le monde les saisons 1 de The Grand Tour et de Sneaky Pete ont été les séries originales les plus regardées. Le jour le plus actif pour le service a été le 30 décembre, grâce la saison 2 de The Grand Tour et à The Marvelous Mrs. Maisel. Le film le plus regardé aux États Unis a été Manchester by the Sea, tandis qu’en se basant sur les vues des trailers, la série Jack Ryan et la saison 3 de The Man in the High Castle sont les shows les plus attendus de 2018.
…qui veut faire mieux en 2018
Concernant Prime Music, c’est “Believer” de Imagine Dragons et “Something Just Like This” de The Chainsmokers et Coldplay qui ont été les morceaux les plus écoutés outre Atlantique. Enfin, concernant les ebooks les Américains ont été spécialement fans de dystopie avec 1984 de George Orwell et The Handmaid’s Tale de Margaret Atwood (merci la série Hulu) en tête des emprunts. Pour 2018, Amazon signale vouloir encore améliorer la livraison aux membres Prime, tandis que des investissements auront lieu pour enrichir notamment Prime Video, avec par exemple les futures séries Le Seigneur des Anneaux.
La mort annoncée du prospectus !! Doucement mais inexorablement, le prospectus papier laisse la place aux promos digitales ou magasin. Même si il reste encore dans les supports préférés des français, il est désormais distancé par les supports digitaux qui lui mettront le coup de grâce lorsqu’elles seront réellement personnalisées et encore plus originales. Il est temps désormais pour les enseignes de GMS de songer dès aujourd’hui à préparer (comme cela a été fait pour la fin des sacs plastiques) un enterrement de 1ère classe aux prospectus qui encombrent nos boîtes aux lettres !!
Si le magasin reste l’endroit où les Français découvrent les offres promotionnelles, ils préfèrent les bons en ligne pour profiter de petits prix, c’est l’un des enseignements principaux délivrés par Sogec à l’occasion de la publication de son quatrième observatoire de la promotion.
Quelles sont les promotions les plus plébiscitées ? Comment adapter sa stratégie au regard de la croissance du multicanal ? Sogec donne quelques pistes à suivre à l’occasion de la parution de son quatrième observatoire de la promotion, réalisé au mois de juillet 2017 par Harris Interactive et Toluna auprès d’un échantillon de 1000 personnes responsables des achats courants dans leur foyer. « Dans ce nouvel observatoire, nous retrouvons l’engouement des Français pour les promotions en général, qu’il s’agisse de réaliser une bonne affaire et de découvrir de nouveaux produits. Et ceci, quel que soit le canal en magasin, via prospectus ou Internet, qui sont plus que jamais complémentaires. », souligne Michaël Flautre, directeur de la stratégie, de l’innovation et de la communication chez Sogec. Fait marquant de cette édition, le digital prend le pas sur le prospectus dans les préférences des promotions.
Si le magasin reste l’endroit de prédilection pour découvrir de nouvelles promo – 45 % des sondés les découvrent en effet sur le lieu de vente – , les produits (43%), les prospectus (37%) et le web (33%) sont loin d’être en reste.
Les emailings ont le vent en poupe
L’engouement des Français se tourne lui davantage vers le digital ; 44 % des répondants assurent en effet préférer les supports digitaux pour profiter d’un coupon de réduction (40% pour les imprimés publicitaires). Ce sont, par ordre de préférence, les publicités par e-mail qui donnent envie à 64% des shoppers de cliquer sur une promotion, 40% préfèrent les bannières sur Internet et 26% la publicité par SMS. Près de la moitié des individus interrogés (46%) estime que les promotions digitales sont plus accessibles que les promotions papiers. Pour autant, ils considèrent que les conditions d’accès pour bénéficier des offres en ligne s’avèrent souvent contraignantes. Pire, un quart ne se retrouve pas dans les promotions proposées (manque de personnalisation, de clarté, etc.)
Booster la créativité et la personnalisation
Parmi les principales attentes des sondés, 79 % aimeraient des offres plus originales et des promotions davantage personnalisées de la part de leurs marques préférées. Ils aspirent également à une relation plus étroite avec ces griffes pour 64 % d’entre eux. Enfin, un peu plus de la moitié d’entre eux (54 %) souhaiterait pouvoir jouer avec leurs marques favorites. La gamification a encore de beaux jours devant elle…
Les chiffres a retenir qui marquent l’empreinte des générations et la nécessaire adaptation du #frenchretail aux nouvelles habitudes et aux nouveaux usages des acheteurs : 1 acheteur sur 2 de moins de 35 ans utilisera son appli mobile pour faire ses achats de Noël, c’est 1 sur 3 pour les 35/54 ans et 1 sur 10 pour les + de 55 ans ….
Si l’ordinateur reste sans conteste le support de prédilection des français pour leurs achats de Noël, les sites mobiles et applications prennent de plus en plus d’importance, notamment dans la phase de préparation des achats…
Selon une précédente étude sur les intentions d’achat pour Noël 2017, 37% des cadeaux seront principalement achetés sur Internet cette année.
Le Black Friday (24 novembre) a donné le top départ de cette course pour les achats de Noël en France, qui représente une période cruciale pour le e-commerce.
Webloyalty, spécialiste de la monétisation d’audience des sites e-commerce, s’est de nouveau intéressé aux comportements d’achats des Français pour cette période de consommation clé de l’année et plus particulièrement à l’utilisation de leurs équipements (ordinateur, tablette, smartphone).
Principal constat: 38% des acheteurs en ligne se rendront sur le site mobile d’un e-commerçant depuis leur smartphonepour préparer et/ou acheter leurs achats de Noël.
Le mobile continue de progresser mais l’ordinateur reste la norme
Ordinateur, tablette, smartphone, applications… les Français sont de plus en plus connectés. Ils utilisent plusieurs appareils pour préparer et réaliser leurs achats de Noël, même si, sans surprise, l’ordinateur reste le grand gagnant, utilisé par 97% des acheteurs en ligne.
Parmi cette majorité d’utilisateurs, 21% d’entre eux l’utilisent uniquement pour préparer leurs achats contre 79% pour préparer et payer leurs achats de Noël.
La tablette est utilisée par 37% des acheteurs en ligne dont près de la moitié (53%) l’utilise uniquement pour préparer leurs achats de Noël contre 47% pour préparer et aussi régler ces achats.
Le site mobile d’un e-commerçant est utilisé via le smartphone chez 38% des acheteurs en ligne pour préparer et/ou régler leurs achats de Noël, contre 31% qui utlisent l’application mobile d’un e-commerçant. Cette dernière est le canal qui convertit le mieux les intentions d’achats, après l’ordinateur, avec 59% de conversion, quand le site mobile sur smartphone atteint 49%.
Webloyalty note que les Français restent moins nombreux à préparer et finaliser leurs achats sur les appareils mobiles vs sur l’ordinateur : ils sont 47% sur tablette, 49% sur smartphone via le site mobile et 59% via une application mobile smartphone, contre 79% sur l’ordinateur.
Une utilisation du mobile différente selon les âges
Webloyalty constate une uniformité des usages des appareils mobiles entre les femmes et les hommes. 30% des femmes utilisent le smartphone via une application mobile contre 31% des hommes et le smartphone via le site mobile est utilisé par les hommes et les femmes à 38%. Une différence s’établit entre les genres pour l’utilisation de la tablette, plus prisée chez les hommes (40%) que chez les femmes (34%).
Si les hommes et femmes seront aussi nombreux à utiliser le smartphone que ce soit sur le site mobile ou sur l’application, Webloyalty remarque une différence en fonction des âges. En effet, les 18-34 ans sont beaucoup plus nombreux à utiliser leur smartphone via le site mobile et via l’application pour leurs achats de Noël, respectivement à 64% et 51%contre 18% et 14% chez les 55 ans et plus.
Quant aux 35-54 ans, ils utilisent les appareils mobiles de manière équilibrée : 40% d’entre eux se servent de la tablette, 41% le smartphone via le site mobile contre 34% le smartphone via l’application.
Rodolphe Oulmi, Directeur Général de Webloyalty France commente :
« Les Français utilisent encore majoritairement leur ordinateur pour effectuer des achats en ligne et les devices mobiles restent davantage utilisés pour la préparation de ces achats.
Seule exception à la règle, les applications mobiles, puisque celles-ci ont une utilisation autant de recherche que de paiement lors des achats en ligne pour près de 60% de ces utilisateurs.
Une tendance qui s’explique par la capacité des e-commerçants à proposer des dispositifs de paiement sur mobile toujours plus fluides, rapides et securisés ».
Vous voulez tout savoir sur les tendances du webdesign et de l’UI pour 2018 ? En voila déjà une dizaine à mettre en place de toute urgence !
Nous vous présentons les tendances à venir en matière de webdesign !
En 2018, apprenez à mieux communiquer avec vos clients en adoptant une stratégie webdesign pertinente et dans l’air du temps.
1. Card design
Rendu populaire grâce aux social média, le card design est considéré comme l’avenir du web. Pinterest l’a adopté en 2017, mais la mode est directement inspirée de Metro Design sur Windows. Le card design, c’est une présentation originale, faites de plusieurs grilles sur une page, avec différentes icônes dans des blocs à l’horizontal.
L’avantage : une meilleure expérience utilisateur, notamment sur mobile. Un contenu interactif et facilement modulable.
2. Hamburger Menu ou Menu latéral
Il y a de fortes chances que vous ayez déjà vu le « menu hamburger » dans le coin supérieur de sites Web mobiles. Ce sont trois lignes empilées pour reproduire la forme d’un hamburger. Cette fonctionnalité a été développée afin d’intégrer de manière optimale le menu de votre site Internet sans prendre trop de place.
L’avantage principal du menu hamburger, c’est d’avoir une esthétique minimaliste, qui colle bien avec le flat design. Le hamburger permet de condenser l’information, et de ne pas emcombrer votre site. Cependant, il peut avoir des inconvénients importants. Le menu étant caché, il est peu visible par votre utilisateur. Cacher certaines fonctionnalités de votre site peut nuire à votre taux de rebond. Alors, attention ! Voici une analyse complète sur le menu latéral.
3. Inboud video
Utiliser la vidéo pour votre marketing, c’est so 2018 ! Proposez du contenu vidéo à vos lecteurs et autres clients potentiels, c’est engageant. Les influenceurs et les entreprises créent de l’interaction en créant des mises en situation et travaillent de vrais stratégies de contenus audiovisuels. Sur le web, vous devez intéresser votre client, en proposant une vidéo informatif, avec un contenu à forte valeur ajoutée.
Vous pouvez, par exemple, à la section « A propos » de votre site web, préférer une belle vidéo à un contenu textuel. Sur les réseaux sociaux, proposez des solutions adaptées à votre cible (par exemple, la recette de cuisine traditionnelle dorénavant filmée en vidéo). Voici un lien pour aller plus loin.
4. Material Design
Du flat design au Material Design. Alors qu’Instagram a lancé la tendance flat design il y a bientôt 3 ans, Microsoft (encore eux), ont promu le Material Design. Le Material Design, c’est un logo en flat design avec des ombres. Tout en conservant le minimalisme du flat design.
5. Cinemagraphs
Le cinémagraph est une image animée à laquelle on ajoute un mouvement de répétition. Bien connue des réseaux sociaux, avec notamment Instagram et l’application Boomerang, le cinemagraph est une technique qui va cartonner en 2018, selon plusieurs agences web.
Pour réaliser une vidéo en cinemagraph, vous pouvez créer un GIF sur Photoshop, et suivez le tuto ci-dessous.
Le cinemagraph est un contenu engageant. Par exemple, cela permet de créer une vue à 360 degrés d’un produit, de mettre en avant un lieu, un service, et permet de mettre l’accent en particulier sur un de vos produits phares. C’est une manière drôle et décalée de communiquer.
Pour rentrer de plein pied dans la nouvelle année, ajouter 360 cinemagraphs à vos pages produits ou à votre menu de navigation.
6. Applications Web progressives (PWA)
On appelle application web progressive ou progressive web app, (PWA) une nouvelle tendance créée par les développeurs, qui consiste à naviguer sur un site web hybride, entre page web et application mobile. Le principal avantage des applications web progressives, c’est le fait qu’elles puissent être identifiables sur les moteurs de recherche. Elles peuvent être directement téléchargées sur votre téléphone sans passer par les plateformes classiques.
Les PWA sont facilement partageables, et peuvent être consultées hors-ligne, et fonctionnent sur tous les supports (mobile, tablette, smartphone). Naviguer sur une application web progressive permet de consulter un site web avec des fonctionnalités améliorées, comme par exemple en incluant des notifications push, des écrans de démarrage, le mode hors ligne et des transitions de pages animées.
Dernier avantage, et pas des moindres, les applications web progressives fournissent des mécanismes de livraison qui évitent l’espionnage, et la falsification.
7. Chat bots avec intelligence artificielle
Le chat bot est un programme informatique permettant de lire des messages sur un site web et de proposer une réponse adaptée. Messenger a récemment intégré un boot de chat, qui permet de répondre de manière spontanée via un robot à vos clients. Et ainsi de totalement transformer votre SAV. De nombreux sites ont adapté la technologie des chats box sur leurs sites web. Si certains utilisateurs se plaignent, pour l’instant, de la piètre qualité de certaines réponses obtenues via le chatbot, il est fort à parier que cette technologie va devenir plus intelligente, et que 2018 sera l’année des chat bots.
8. Bottom Sticky Elements
Les développeurs s’adaptent aux lecteurs. Alors que nous lisons de droite à gauche, les utilisateurs s’habituent de plus en plus à cliquer en bas de leur écran sur leur smartphone pour commencer leur navigation. Il fallait donc répondre à ce besoin. Les développeurs collent donc désormais des éléments en bas des sites, comme des menus déroulants à faire défiler à partir du bas, et non du haut.
9. Pages Web sécurisées et applications sécurisées
En 2017, les problèmes liés au piratage malveillant sur Internet n’ont cessé d’augmenter. Il est donc primordial de protéger vos contenus et vos plateformes. En 2018, l’un des objectifs prioritaires est de redonner confiance aux utilisateurs qui se rendent sur votre interface. Conséquence, il faut sécuriser les téléchargements, les formulaires de contact, les donnés bancaires, utiliser une URL HTTPS, protéger vos transactions.
10. Adapter une typographie audacieuse et expressive
2018 est l’année du minimalisme. Il faudra donc adapter votre typographie en tant qu’élément de design, et la placer au centre de votre communication. Il faut oser ! Trouver des polices colorées et artistiques, à la place des images. Les images, trop lourdes, peuvent être remplacées par une typo. Soignez vos entêtes et placez des designs textuels dynamiques et créatifs, avec un beau call to action, et une landing page travaillée. Voici un calendrier de typo tendances en 2018.
Les enjeux du #frenchretail face aux révolutions actuelles participent plus à des plans de survie que de la logique évolution des offres. Chez Darty, on montre qu’on en a vraiment pris conscience et leur plongée pour ré-enchanter l’expérience client en s’appuyant sur des services et des offres innovantes (expérience digitale, programme de Fid différent, omnicanal repensé, offre BtoB …) doit être une piste inspirante à l’heure du #amazoniscoming ...
Fnac Darty a annoncé son nouveau plan stratégique ‘Confiance+’. Ce premier plan Fnac Darty prend appui sur les forces des deux enseignes, et sur la bonne avancée de leur intégration. Au-delà du plan de synergies de 130 ME pour fin 2018, le nouveau groupe a pour ambition de créer « la plateforme omnicanale de services de référence en Europe ». Fnac Darty vise ainsi à moyen terme une croissance supérieure à ses marchés, et une marge opérationnelle de 4,5% à 5%.
Confiance+ vise à faire du groupe un leader de l’ère du ‘Retail as a Service’ nouvel enjeu des acteurs de la distribution, qui requiert d’offrir des services innovants tout au long de l’expérience d’achat.
Le déploiement de la plateforme Fnac Darty repose sur 2 piliers, un écosystème Fnac Darty enrichi et une plateforme omnicanale ouverte.
Disposant déjà d’une offre de produits jugée ‘pertinente et compétitive’, en phase avec les dernières innovations, le groupe compte approfondir son positionnement de spécialiste, tout en s’appuyant sur des relais de diversification ciblés (cuisine, nouvelles catégories majoritairement en marketplace).
Par ailleurs, cette offre de produits sera indissociable de « la meilleure gamme de services du marché » (conseil, financement, livraison, SAV).
Enfin, les clients du groupe bénéficieront de programmes d’abonnements et de fidélisation innovants. Ils seront adossés à l’offre de services du groupe, offriront des avantages croisés entre les enseignes, seront enrichis par des offres personnalisées et ouverts à des partenaires tiers.
En capitalisant sur ses deux marques emblématiques, Fnac Darty va ainsi déployer un écosystème enrichi permettant « d’offrir la meilleure proposition de valeur à ses clients ».
Afin de proposer aux clients et aux partenaires des produits et des services accessibles partout, sous tous les formats, à tout moment, Fnac Darty entend poursuivre l’extension de son réseau de magasins, en accélérant notamment son développement en franchise. Par ailleurs, le groupe compte capitaliser sur la modernité et l’efficacité de son outil logistique en l’ouvrant progressivement à des tiers. Enfin, Fnac Darty entend déployer une expérience digitale ‘best in class’ en magasin, afin de mieux répondre aux nouveaux usages des consommateurs. Le groupe a pour ambition de proposer « la meilleure expérience omnicanale de son secteur ».
Confiance+ repose sur plusieurs initiatives :
Des gains de part de marché sur les trois grandes catégories de produits, en particulier sur les produits blancs ;
Le développement de l’empreinte omnicanale, soutenu par un plan d’investissements dédié à la digitalisation des magasins, aux plateformes e-commerce et aux actifs logistiques ;
Une marketplace multi-enseignes et multi-pays dont le volume d’affaires devrait tripler par rapport à son niveau de 2016 ;
Plus de 200 nouvelles ouvertures de magasins en franchise ;
Plus de 100 nouveaux magasins ou corners dédiés à l’offre Cuisine ;
Une offre de services renforcée, reposant notamment sur des partenariats avec des leaders du secteur, à l’image du lancement du Bouton Darty dans l’écosystème Google Home ;
Le lancement d’un service ‘Smart Home’, d’assistance pour les appareils connectés opéré par Darty ;
La création d’une entité dédiée à une offre de services BtoB ;
L’enrichissement des programmes d’abonnements (Fnac+ et Darty+).
55% ! Oui 55%… C’est la part des transactions AMAZON dans l’ensemble des transactions aux US lors du Black Friday! Quand certains #frenchretail pensent qu’ils ont le temps, qu’ils continuent d’appliquer des process d’une époque complètement révolue (celle des SSII) où il faut 18 mois pour sortir une application mobile ou un module de prise de commandes sur tablettes instore … Un autre chiffre pour enfoncer le clou : c’est WALMART qui monte sur la seconde marche du podium, on se dit que c’est normal avec tous les efforts consentis par le Géant du retail US vers le Digital … Mais quand on voit le pourcentage 8,8% et qu’on le compare au 55% d’Amazon on se dit que le chemin va être long !!
That means Amazon accounted for 7.14 million of 13 million transactions that occurred on Black Friday, as well as 5.64 million of the 12.5 million orders placed on Thanksgiving Day.
Separately, marketing technology company Amobee, which monitors digital content engagements and their relation to various brands told Retail Dive via e-mail that 36% of all Black Friday digital content engagement was Amazon-related. In comparison, early yesterday through 7 a.m. Eastern Standard Time, about 55% of all Cyber Monday digital content engagement was Amazon-related.
Dive Insight:
It comes as little surprise that Amazon dominated the biggest holiday shopping reason of the year. However, hearing in real numbers just how much the e-commerce giant commanded this past weekend is still a bit startling.
According to the stats that Hitwise provided to Dealerscope, the company that came in second to Amazon for share of online transactions on Black Friday was Walmart, which was responsible for almost 1.14 million transactions. That 8.8% share of the total sound impressive until you put it next to Amazon’s 55%. Walmart got a somewhat bigger piece of the pumpkin pie on Thanksgiving, taking an almost 14% slice out of online transactions.
Walmart has done a lot with its online endeavors and acquisitions to make us believe it should be identified as being in the same league as Amazon, but that numbers comparison makes the whole thing sound laughable.
Meanwhile, the rest of the top 10 in online transactions from Black Friday included, in order: Best Buy, Kohl’s, Target, Apple, Macy’s, Old Navy, Home Depot, GameStop, and Toys R Us. Curiously, neither Apple nor Old Navy made the top 10 on Thanksgiving — both Costco and GameStop did.
With more shopping moving online and on mobile, more Amazon dominance is expected to come. Amobee likened Amazon’s online dominance over Black Friday weekend to a successful sports team with a home court advantage, and the fact is that everyone else in the retail sector increasingly will be played on Amazon’s home court.
With this in mind, Cyber Monday wasn’t starting out much differently yesterday, with Amazon dominating again, according to Amobee’s digital content insights. However, Target and Walmart are also becoming a bigger part of the Cyber Monday conversation, with Target generating 32% as much Cyber Monday digital content engagement as Amazon. The digital deals week isn’t over. Many retailers, including Amazon and Target will keep the cyber sales going throughout the week.
Dans l’exploration de nouveau concepts retail Coolblue XXL (magasin de l’e-commerçant Coolblue) est à suivre aux Pays Bas. Ces nouveaux magasins font la part belle à une expérience client centrée sur l’essai et le test de plus de 1000 produits (un volume important ! et ça c’est nouveau) accompagnés par des spécialistes de chaque univers mais aussi par des bornes d’informations digitales ou du click and collect instantanées (dans la minute)… Pas forcement une révolution ces idées, mais on sent bien que le concept est pertinent car en phase avec nos propres attentes …
Coolblue a inauguré, à Amsterdam, un nouveau concept de magasin, Coolblue XXL. Dans ce point de vente de 1700m2, on trouve un assortiment de plus de 1000 produits pouvant être testés sur place, ainsi que des spécialistes présents dans chaque catégorie de produit pour guider le consommateur. Ce tout nouveau concept, « pièce maîtresse de Coolblue », sera lancé en Belgique dès l’année prochaine.
Coolblue XXL, tel est le nom du nouveau concept de magasin de l’e-commerçant Coolblue. Le premier point de vente répondant à ce concept remplace l’ancien magasin de la Gustav Mahlerlaan d’Amsterdam, et s’étale désormais sur une surface de 1.700m2, soit 5 fois la taille du précédent. Les consommateurs y trouveront plus de 1.000 produits pouvant être testés sur place, mais aussi, pour l’anecdote, une oeuvre monumentale faîte en boîte de carton. « Nous avons écouté attentivement nos clients et employés et avons mis en place de nombreuses améliorations, petites et grandes. La plus grande amélioration se situe dans l’expansion de la gamme de produits sur place », explique Pieter Zwart, Directeur Général de Coolblue.
Tout peut y être testé
«Nos clients ont souvent déjà une idée du produit qu’ils veulent, mais ils apprécient pouvoir le tenir en main et le tester. Lorsque vous souhaitez acheter un nouveau casque audio, vous voulez entendre comment il ‘sonne’ en réalité, et cela même si vous disposez de toutes les spécificités techniques via nos reviews et vidéos pédagogiques… De même, si vous cherchez à acquérir une nouvelle machine à café, vous voulez tester le goût du café qu’elle produit. A partir d’aujourd’hui, nous offrons cette possibilité avec une gamme encore plus large dans le Coolblue XXL à Amsterdam » explique Pieter Zwart.
Service, conseils avisés et disponibilité directe des produits
Outre l’expérimentation de la large gamme proposée dans ce nouveau magasin, les consommateurs pourront également s’adresser à des spécialistes pour obtenir des conseils, aller retirer leurs achats online dans la minute qui suit leurs commandes et bénéficier d’un service direct après l’achat.
Le point de vente est organisé en univers de produits : Téléviseurs, son, ordinateurs portables / ordinateurs / réseaux, téléphonie / tablettes / Wearables, et enfin machines à café. Pour guider le client dans la multitude de produits disponibles, des spécialistes sont donc présents dans chaque univers. L’e-commerçant entend de cette façon offrir des conseils avisés à ses clients. Et si certains préfèrent l’informatique, ils pourront se tourner vers les différentes bornes de conseils qui leur indiqueront ce qu’il est important de prendre en considération lors, par exemple, de l’achat d’une nouvelle télévision : quelle est la taille idéale d’une TV pour votre intérieur? Pourquoi opter pour une smart TV? Ou encore ce qu’apporte réellement un écran HDR…
Bientôt en Belgique !
Avec Coolblue XXL, Coolblue dispose désormais de deux concepts de magasins. Ceux-ci coexisteront. Le nouveau n’est donc pas amené à remplacer l’ancien.
Le déploiement du nouveau concept devrait toutefois se faire rapidement, puisque le second Coolblue XXL ouvrira bientôt à La Haye et que le premier Coolblue XXL belge est prévu pour l’an prochain. « En attendant, nous écouterons attentivement les commentaires de nos clients et ajusterons si nécessaire le concept. De cette façon, nous pourrons améliorer celui-ci un peu plus chaque jour » explique Pieter Zwart.
En Belgique, Coolblue dispose déjà de trois points de vente : à Wilrijk, Lochristi et Zaventem. A ceux-ci s’ajoutera dès 2018 un Coolblue XXL.
Mobile first ? Mobile only ? Mobile omni ? Les neologismes marketing foisonnent pour vous faire prendre conscience que votre stratégie doit être mobile ou ne sera pas (pertinente, efficiente, performante, timetomarket…Etc) !! Voici 5 conseils clés (merci @stephane Baranzelli) pour vous assurer que vous pensez bien mobile …
En 2016, 1 achat de Noël sur 4 s’est fait depuis un mobile en Europe. Alors que nous approchons de cette période commerciale phare de l’année, avez-vous donné au mobile toute la place qu’il mérite dans votre stratégie marketing? Si la réponse est non: pas de panique! Il est encore temps d’agir.
Le pouvoir du canal mobile pour les marketeurs n’est plus à démontrer. Allez-vous pouvoir susciter l’engagement espéré auprès des consommateurs ? Avez-vous optimisé l’expérience utilisateur via mobile ? Stéphane Baranzelli, managing director Europe de Cheetah Digital, dresse une checklist de 5 conseils-clés pour vous en assurer.
1. Jouez l’instantanéité grâce aux SMS et aux push notification
Le SMS et les push notifications sont des outils marketing qui ont démontré toute leur efficacité lorsqu’ils sont associés à des programmes marketing cross-canal sophistiqués. Leur immédiateté se prête particulièrement aux campagnes liées aux journées spécifiques. Or la période des fêtes regorge de journées « événement » qui peuvent susciter l’intérêt: Black Friday, Cyber Monday, J-7… L’instantanéité du SMS et du push peuvent en faire des outils efficaces pour faire des rappels en temps réel : lus très rapidement après l’envoi, ils touchent directement les consommateurs et véhiculent très bien des alertes et le sentiment d’urgence corollaire (stock produit presque écoulé, offre exclusive liée à un événement…).
SMS et push notifications doivent respecter les destinataires pour ne pas paraître intrusifs.
Les applications mobiles sont très utilisées par les consommateurs pour faire du shopping et peuvent offrir de nombreuses opportunités aux marketeurs d’interagir avec leurs clients. Ainsi, la géolocalisation via le GPS du téléphone peut par exemple leur permettre de cibler géographiquement des contacts se situant à proximité d’une boutique. En leur proposant une offre personnalisée limitée dans le temps, ils peuvent ainsi capter leur attention et intercepter une clientèle réceptive.
Attention toutefois à respecter les destinataires: veillez à ne pas surenchérir en termes de pression marketing. Des SMS ou des push notifications envoyés à des moments inopportuns peuvent se révéler très intrusifs. De plus, ce n’est pas parce que vous utilisez plus de canaux qu’il faut adresser plus de messages. Toute l’agilité consiste à envoyer le message adapté via le bon canal pour maximiser son impact, sans incommoder son destinataire. Votre taux de désabonnement pourrait malheureusement grimper et vous risqueriez de voir vos performances marketing considérablement affaiblies.
2. Alliez réseaux sociaux et e-mail
Pour garantir une optimisation de la conversion de leurs campagnes, les marketeurs doivent également veiller à soutenir, grâce au mobile, leurs initiatives sur les réseaux sociaux. Dans le cadre de promotions présentant un caractère d’urgence moindre, on peut ainsi envisager d’utiliser Facebook pour anticiper sur un plan d’offres commerciales. C’est un bon moyen pour votre marque de mettre en valeur des offres, qui pourront être partagées largement par vos abonnés.
Vous avez sûrement déjà prévu, pour la plupart d’entre vous, des campagnes e-mails pour la période des fêtes. L’e-mail est un canal « réflexe » qui fait partie au quotidien de la relation avec vos abonnés. Vous leur adressez habituellement par cette voie vos offres, mais aussi tous les messages de services liés à la relation client (confirmation de commande, mots de passe, campagnes de bienvenue…). Pensez mobile aussi en matière d’e-mail. En optimisant vos messages pour la lecture sur les différents terminaux, vous mettrez toutes les chances de votre côté.
3. Avez-vous pensé aux « mobile wallets » cadeaux?
Faciliter l’expérience d’achat des consommateurs est primordial pour la réussite de votre marque. Un client s’attend désormais à pouvoir interrompre et reprendre ses achats, quitte à changer de terminal pour sa navigation en fonction de son contexte de recherche. Les marketeurs peuvent compter sur les e-cartes cadeaux pour faciliter l’expérience d’achat de leurs utilisateurs: la carte pourra être stockée en mémoire dans un téléphone, voire partagée simplement avec un autre destinataire.
Les cartes cadeaux mobile ne représentent pas seulement une source transactionnelle supplémentaire. Elles sont une incroyable opportunité d’engager les clients – avant, pendant et après – le paiement. Toutes ces fonctionnalités à haute valeur ajoutée permettent de renforcer la relation marque/client et de rester à l’esprit des consommateurs. Elles peuvent prendre la forme d’un service client extraordinaire, d’offres saisonnières, de programmes dédiés aux acheteurs réguliers, de suppression des frais de port ou de comparaisons par rapport aux offres concurrentielles.
Vous pouvez également envoyer des offres promotionnelles géolocalisées. Augmentez ainsi le trafic en magasin tout en améliorant l’engagement de vos clients et la conversion de vos campagnes. Votre notoriété de marque s’en trouvera elle aussi renforcée.
Les cartes cadeaux mobile sont un levier pertinent et persuasif pour les marques; elles représentent un potentiel accroissement des téléchargements d’applications et une augmentation significative de nombreux KPIs.
4.Misez sur la personnalisation
La personnalisation peut ouvrir de nombreuses portes aux marketeurs car elle donne au consommateur la sensation d’être compris et capte alors plus facilement son attention. Le lien entre la marque et le client devient intensément plus personnelle.
Alors qu’attendez-vous pour humaniser la relation client et traiter vos interlocuteurs de façon unique? Évidemment, la subtilité doit être de rigueur pour choisir les éléments sur lesquels portera la personnalisation. Privilégiez les informations glanées ça et là au fil de vos interactions précédentes, ou bien par exemple lors de la navigation passée du client sur votre site Internet. Les trigger e-mails envoyés en fonction du comportement des consommateurs (par exemple, une relance suite à un panier abandonné) rencontrent généralement de vifs succès. Utilisez les leviers du mobile marketing pour adresser des rappels ou des alertes personnalisés via le SMS ou le push.
La personnalisation passe aussi par la prise en compte fine et pertinente du contexte dans lequel se trouve le consommateur. Tenez compte toutefois qu’un message, même en adéquation avec le profil de son destinataire, peut malgré tout tomber au mauvais moment, et porter atteinte à votre image de marque.
5. Menez l’enquête pour découvrir les habitudes de vos clients
Menez des enquêtes sur le mobile pour découvrir vos potentiels d’audience. Quelles recherches effectuent vos clients? À quel moment de la journée vos contacts utilisent-ils leurs mobiles ? Que pensent-ils de vos campagnes marketing? Quel est le meilleur moment pour partager des offres de réduction?
L’analyse des données mobiles peut vous aider à optimiser vos campagnes. Ces ajustements sont d’autant plus importants lors de périodes commerciales importantes et ils contribuent à forger des relations de long terme avec vos clients.
Alors, avez-vous optimisé vos campagnes marketing pour les fêtes?
La clé d’un marketing mobile réussi est de personnaliser ce que vous envoyez et d’équilibrer la pertinence et le timing.
Vous l’aurez compris, le mobile représente un point de contact inévitable dans la relation marque/clients. D’un côté, les consommateurs ne peuvent plus se séparer de leurs mobiles. De l’autre, les marketeurs sont comblés car ils trouvent avec le mobile des leviers variés pour toucher les consommateurs personnellement: SMS, e-mails adaptés, push… Tous les outils se combinent entre eux, et avec l’ensemble de la palette marketing cross-canal. À vous de jouer pour trouver l’alchimie parfaite en cette période commerciale intense des fêtes de fin d’année: vous avez les clés pour dynamiser l’engagement de vos clients et décupler vos résultats marketing.
Que vous choisissiez d’ajouter une stratégie mobile dans vos campagnes de fêtes existantes ou de faire du mobile le centre de vos campagnes, n’oubliez pas: la clé d’un marketing mobile réussi est de personnaliser ce que vous envoyez et d’équilibrer soigneusement la pertinence et le timing.
Dans the « RETAILWAR » toute initiative doit être saluée et considérée, quand en plus l’initiative vient du premier commerçant du monde, elle doit en plus être disséquée et analysée. Alors, fausse bonne idée ou mauvaise idée ? La démarche de WALLMART est tout à fait adaptée à l’objectif de motiver le déplacement en magasin, mais elle émane d’un Staff marketing rationnel qui n’intègre que le prix dans son analyse et qui raisonne comme si ils étaient seuls sur le marché et que les canaux se siphonnaient entre eux… A l’analyse, le shopper Frenchy va plutôt penser que les prix sur Internet sont plus chers … ! et aller voir ailleurs. De plus, je ne suis pas sûr que la réponse du commerce physique même dans sa composante omnicanale soit de jouer sur les atouts des pure players. Réenchanter l’expérience client, donner une raison au client de venir en magasin, le motiver en l’étonnant en lui faisant vivre un moment particulier (ex: la chasse au trésor de COSTCO qui cherche à surprendre le client en faisant mystère des promos du jour) sont certainement des pistes à privilégier. Car comme dit une maxime de ce Sport de Gentleman qu’est le Football « les grandes équipes ne changent pas leur jeu » pour expliquer que quelque soit l’adversaire, elles jouent toujours sur leurs points forts. Initiative à suivre en tout cas …
Le premier distributeur mondial teste depuis peu le relèvement des prix sur une sélection de produits vendus en ligne, qui deviennent plus chers qu’en magasin. une stratégie (risquée ?) qui doit inciter à créer du trafic en point de vente pour profiter des prix bas, tout en améliorant la rentabilité du e- commerce.
Comment un distributeur présent sur les deux tableaux peut il gagner de l’argent avec la vente d’alimentation en ligne, sans dépeupler ses magasins ? Walmart tente de répondre à cette délicate question en modifiant ses pratiques de pricing, ce qu’a repéré le Wall Street Journal. Jusqu’ici, sur Walmart.com un produit alimentaire était vendu au même prix en ligne et en magasin. Un choix couteux compte tenu des frais logistiques et de livraison qui ne sont pas entièrement répercutés dans les prix, notamment pour les petits conditionnements. Mais cela change. Désormais, Walmart.com propose deux prix distincts sur certains produits, avec un prix « in the store » (référence à aller chercher en point de vente) et un prix « online » légèrement supérieur. Le WSJ note que souvent, « le prix online est le même que celui d’Amazon ». Interrogé par le quotidien économique, un porte-parole de Walmart a indiqué que le distributeur cherche « à offrir les meilleurs prix en ligne, en comparaison avec les autres sites » ajoutant que « cela coutait tout simplement moins cher de vendre en magasin. Les consommateurs peuvent bénéficier des prix les plus bas lorsqu’ils choisissent de venir récupérer leurs achats en point de vente ».
En différenciant les prix de vente en fonction des canaux (sans que l’on sache précisément le différentiel de prix, et le nombre de références concernées), Walmart envoie plusieurs messages. Tout d’abord, il signifie à ses consommateurs qu’il est plus intéressant pour eux de venir en magasin. Et secundo, qu’il n’entend pas rentrer totalement dans une guerre des prix avec Amazon dans laquelle il aurait beaucoup à perdre à proposer des références encore moins onéreuses que le leader incontesté du e-commerce.
Selon des sources proches du distributeur, celui-ci demanderait à ses fournisseurs de favoriser les gros conditionnements pour la vente sur le web, ce qui permet d’accroître le montant des commandes et la rentabilité, en réduisant le poids mort représenté par les petits produits peu chers. Lors d’un échange avec les investisseurs, Marc Lore, patron du e-commerce pour Walmart US, déclarait le mois dernier que pour les produits à très faible prix, « il n’y a pas de moyen plus économique que de venir en magasin pour se les procurer », et qu’il espérait qu’en parallèle des visites en magasin, les consommateurs effectueraient de plus grosses commandes en ligne pour minimiser le coût de livraison.
De la puce RFID qui permet de s’affranchir des contraintes de caisse chez NESPRESSO, au questionnaire client pour caler un rendez-vous encore plus personnalisé avec une séance sur mesure chez MORGAN en passant par les videos Stop motion de LEGO, les marques essayent de ré-enchanter l’expérience client Instore en saupoudrant de digital juste ce qu’il faut !!!
Café high-tech, sur-mesure, Lego House… Comme chaque mois, focus sur les innovations qui changent l’expérience shopping.
Ce mois-ci, petit tour dans « l’antre de Georges » et ses délicieux cafés high tech. Offrez-vous une expérience shopping sur-mesure avec l’appartement Morgan. Adoptez le robot scanner de Walmart pour optimiser le temps de vos employés. Emmenez vos enfants à Lego House Billund pour leur faire vivre une expérience grandeur nature !
Nespresso se refait une beauté couleur cacao
Pour la première fois dans la capitale, Nespresso dévoile son nouveau concept de boutique centré autour de l’expérience client et de la dégustation du café. Le 19 octobre dernier, dans le 3ème arrondissement de Paris, les inconditionnels de Georges Clooney ont pu découvrir leur nouvelle boutique à la pointe de la tech et de l’expérience client. Ce que l’on retient de cette balade, c’est l’ambiance chaleureuse qui en émane et l’attention particulière que les employés apportent aux clients. Accueillis par un café dans un espace cosy dédié, où des experts de la culture et de la variété des cafés initieront ceux qui le souhaitent. Equipés de puces RFID, les étuis des capsules peuvent facilement passer aux caisses en libres services mises à disposition. Pour les amateurs de la commande sur internet, le click-and-collect est de rigueur dans la nouvelle boutique ! Un moyen comme un autre d’entrer dans un univers 200% caféiné. Sans oublier que la livraison à domicile est aussi une possibilité. Nespresso mise sur une stratégie omnicanale dans laquelle les boutiques jouent un véritable rôle stratégique puisqu’elles permettent d’intégrer plus de services au cœur de l’expérience client. « Un ristretto s’il-vous-plait Georges ! » Pour en savoir plus, cliquez ici
Je suis Morgan de toi !
La marque de prêt-à-porter féminin Morgan, propose une toute nouvelle expérience shopping dans un appartement du premier arrondissement parisien. Ce nouveau concept de proximité répond à la volonté d’entretenir une relation plus intime avec ses clientes mais surtout de réinventer l’expérience d’achat en dédiant un lieu aux plus belles collections de la marque. Le but premier de cette innovation ? Séduire et toucher au plus près, une cible très « connectée ». Les rendez-vous se prennent uniquement sur le site : lappartementmorgan.fr où la cliente doit répondre à un petit questionnaire afin que l’experte lui propose une séance sur-mesure en fonction de ses goûts et le tout gratuitement (of course) ! L’appartement se transforme aussi en un lieu de découverte où de nombreux évènements (afterworks, déjeuners goumarnds etc) s’organisent. Morgan à la nette intention de créer une nouvelle relation marque-client pour réinventer son image de marque ! Question personnalisation du l’expérience, on est au top. Pour en savoir plus, cliquez ici
Un espace de jeu high-tech géant créé par Lego
Le Lego House de Billund, ce n’est pas moins de vingt et un parallélépipèdes en briques blanches empilés, les uns sur les autres pour créer 12.000 mètres carrés d’activités récréatives ! Cet espace a été conçu exclusivement pour faire comprendre ce qu’est l’univers de Lego et toutes les choses qui en découle. A l’âge du digital, ce Lego House veut créer un lien supplémentaire pour développer la créativité des enfants et toujours plus les encourager à l’imagination. Concrètement, on y trouve des mini-studios de cinéma où les enfants pourront imaginer des histoires, jouer avec des figurines de toutes tailles et même commencer leur début de carrière dans le cinéma en tournant des films en « stop motion ». Ces mêmes films qu’ils pourront visionner à tout moment sur l’application créée uniquement pour cet espace. Mais les innovations ne s’arrêtent pas là : et oui, Lego House intègre des solutions technologiques de dernier cri pour rendre réel l’imaginaire des plus petits. Les éléments de décor se transforment en personnages virtuels (grâce à une plate-forme) et les poissons créés en vraie brique seront scannés pour devenir des créatures digitales. Grâce à ce terrain de jeu grandeur nature, les enfants peuvent enfin toucher du bout du doigt leur monde imaginaire… Pour en savoir plus, cliquez ici