Les ventes de l’app de Cdiscount boostées par la réalité augmentée

On sait tous désormais que le DESIGN fait vendre. C’est aujourd’hui la technologie qui va faire vendre. Mais, quand on parle de techno, c’est un choix de technologie pertinent, un choix qui repose sur les usages et qui transforme l’expérience client. L’exemple de l’usage de la réalité augmentée dans l’application CDISCOUNT illustre bien ce paradigme.

Quand les mobinautes activent cette option, disponible sur 5000 produits, le taux de conversion de l’application mobile du marchand progresse de 20 à 80% en fonction des articles.

Le taux de conversion de l’application mobile de Cdiscount progresse de 20 à 80% en fonction des produits lorsque les clients utilisent la fonction visualisation en réalité augmentée, disponible aujourd’hui sur 5000 articles, selon les résultats d’une série d’A/B testing présentés à LSA par la start-up parisienne Augment, qui fournit cette technologie à l’e-commerçant. Elle permet par exemple aux consommateurs de voir à travers leur smartphone à quoi ressemblerait le plan de travail de leur cuisine s’ils y installaient un mixeur.

« Le haut de la fourchette concerne en particulier le gros électroménager et le bas le petit électroménager ou les produits électroniques, type enceintes ou tablettes« , détaille Mickaël Jordan, directeur des opérations et co-fondateur d’Augment, qui a effectué sa première expérimentation avec Cdiscount en 2012 et a nettement accéléré le déploiement de sa technologie chez l’e-marchand en 2017.

Des retours produits en baisse de 20%

Les retours produits, d’autant plus coûteux pour le distributeur que les articles sont de grande taille, baissent en moyenne de 20% pour les mobinautes qui visualisent un article en réalité augmentée avant de l’acheter. Ils passent en moyenne deux fois plus de temps sur l’application que le consommateur lambda. « Le taux d’engagement progresse car l’expérience du client est transformée, il se déplace dans son logement et regarde où le produit trouve le mieux sa place. Le showroom est virtuellement déplacé dans son habitation« , développe l’entrepreneur.

Techniquement, Cdiscount a intégré quelques lignes de code aux fiches produits de son application mobile pour y intégrer cette fonction réalité augmentée. « Pour que cela fonctionne, il faut que la marque qui fabrique l’article ait une reproduction 3D de sa marchandise à fournir au retailer« , précise Mickaël Jordan.

Cdiscount n’a pas payé pour bénéficier de cette technologie, tout comme les six autres distributeurs avec lequel Augment collabore aujourd’hui, Best Buy, Brico Marché, Décathlon, la Fnac, Leroy Merlin et Manutan.

12 marques clientes

Le business modèle d’Augment repose sur un abonnement payé par les marques, qui espèrent maximiser leurs ventes grâce à la réalité augmentée, pour que la start-up construise des visualisations 3D de leurs produits à partir des photos en 2D. « Elles nous versent en moyenne un abonnement de 15 euros par mois, par produit et par distributeur chez qui l’article est présenté en réalité augmentée. Les distributeurs ne paient que s’ils souhaitent créer des visualisations 3D des produits de leurs MDD, comme le fait Cdiscount avec sa marque de meubles Finlandek« , poursuit-il.

Electrolux, Microsoft, Moulinex, Nespresso, Panasonic, Tefal… Augment compte aujourd’hui douze marques clientes. Pour faire la preuve de l’efficacité de sa solution, l’entreprise a numérisé à titre gracieux une partie des produits de plus de 80 fabricants, portant à 100 marques et à plus de 10 000 articles son catalogue de contenus 3D disponibles.

Source : LSA

Quand M-commerce ne rime pas vraiment avec mobilité…

M-commerce : Quand les usages dépassent la réalité ! Le mobile est bien un phénomène à part. Seul media unipersonnel (que l’on éteint jamais…), il est le compagnon digital, il est l’assistant du quotidien avant d’être un outil mobile, il est synonyme de fluidité, de simplicité et d’efficacité. L’étude de Webloyalty le prouve de manière éclatante pour les usages M-commerce avec près de 80% des millenials qui vont faire leur shopping depuis leur domicile (alors que c’est un outil mobile par excellence et qu’à domicile il subit la concurrence d’autres écrans plus confortables). Les chiffres montrent aussi qu’il faut désormais ne plus considérer le mobile comme un outil uniquement techno, en se focalisant sur le device mais comme une véritable “extension de soi” . Il fait partie intégrante du parcours d’achat et les réflexions autour des offres des retailers doivent systématiquement prendre en compte au préalable ces nouvelles habitudes et ces nouveaux usages mobiles dans la construction des stratégies.

L’achat via mobile séduit chaque année de plus en plus de français. Mais alors que l’on pourrait penser que le m-commerce est largement utilisé en situation de mobilité, c’est bien l’exact contraire qui se produit…

 

Webloyalty a cherché à en savoir plus sur l’utilisation du mobile par les e-acheteurs français et les résultats sont quelque peu surprenants.

Ainsi, alors même que le m-commerce induit un phénomène de mobilité, la réalité est tout autre.

Sans doute y a-t-il un aspect plus rassurant à se retrouver chez soi pour effectuer un achat en ligne, plutôt que dans les transports en commun (23%), un lieu public (31%) ou à son bureau (32%).

Cela permet aussi de prendre le temps de choisir, afin de ne pas trop se précipiter, ce que l’on pourrait regretter ensuite. Enfin, le risque de déconnexion en cours d’achat peut potentiellement constituer un frein à l’achat hors domicile.

 

Mobile à domicile

Près de 6 Français sur 10 (59%) réaliseraient leurs achats sur mobile depuis leur domicile.

C’est encore plus vrai pour les 18-34 ans, qui sont 78% à procéder ainsi. Et c’est confortablement assis ou allongés dans leur canapé, qu’ils font leur shopping en ligne.

Mais, attention, pas dans leur lit (9%), qui reste un lieu dédié au repos, et encore moins en se déplaçant (5%) dans la maison.

Plus surprenant : 40% des Français et même 61% des 55 ans et plus achètent via mobile assis à leur bureau, où se trouve pourtant souvent un ordinateur.

L’expérience d’achat serait-elle considérée comme plus agréable sur mobile ? La question se pose…

 

 

 

Moments d’achats

Question timing, rien de surprenant donc, à ce que ces achats se déroulent majoritairement en soirée pour 1/4 des Français, lorsqu’enfin ils peuvent se poser.

Certains privilégieront l’après-midi (18%) ou la fin de journée (17%), voire la matinée (16%), mais plus rarement le moment de leur café du matin, l’heure du déjeuner (9%) ou la nuit (5%).

 

Le réflexe mobile

Pour Rodolphe Oulmi, Directeur Général de Webloyalty France :

« Depuis plusieurs années les Français sont définitivement convertis au m-commerce. Rien de vraiment étonnant à cela, quand on voit que le smartphone est devenu bien plus qu’un simple téléphone !

Toutefois, l’étude montre bien que la mobilité est loin d’être le premier avantage recherché. On constate dorénavant une préférence presque naturelle pour le device « mobile » par rapport à l’ordinateur, que cela soit pour sa facilité d’utilisation, par réflexe d’usage ou pour une expérience d’achat de plus en plus simplifiée.

Les e-commerçants ne s’y trompent pas et deviennent « mobile first » afin de proposer des parcours d’achat optimisés, facteurs majeurs de fidélisation ».

 

Source : Comarketing-News

Le Mcommerce progresse dans le retail en France, enfin !!

En 2021 : le m-commerce représentera près de 40% des ventes online. Mais aujourd’hui, la France accuse un retard colossal sur ses voisins allemands et britanniques puisque les dépenses sur mobiles sont plus de 2 fois moins importantes en France. Pourtant la révolution est en marche en 5 ans, le chiffre d’affaires mobile de Vente Privée par exemple en passé de 25% à 50%…. #gotomobile !

eMarketer s’attend à ce que les ventes du Retail mobile en France grimpent de 27,0% cette année pour atteindre 17,62 milliards de dollars, soit près d’un tiers des ventes totales du commerce électronique. En 2021, mcommerce représentera plus de 38% de toutes les ventes retail du commerce électronique dans le pays.

[l’e-commerce devrait poursuivre sa croissance dans les prochains mois et dépasser les 90 milliards d’euros en 2018. A ce rythme la barre des 100 milliards devrait être franchie fin 2019.]

Historiquement, le shopping mobile en France est resté à la traîne des marchés comparables en Europe, comme le Royaume-Uni. Cependant, les marques ont intégré une stratégie vers les sites mobiles pour faciliter les expériences de navigation, ce qui a permis une navigation, des ventes plus mobile avec une expérience mobile plus présente que par le passé.. En outre, les magasins de luxe ouvrent lentement leurs offres en ligne, amenant une catégorie très commerçante et très lucrative en ligne et sur les appareils mobiles. Cela a également profité à l’ensemble du commerce électronique.

Même les grands Retailers tels qu’Amazon, Cdiscount et La Redoute travaillent dur pour réduire les temps de chargement sur les mobiles, par exemple, afin que les acheteurs et les acheteurs puissent passer plus facilement et plus rapidement entre les pages, entre navigation, achat et confirmation d’achat. La rapidité est reconnue comme un facteur clé de la satisfaction et de la fidélité des clients mobiles.

Selon la Fevad, l’indice iPM, destiné à mesurer le volume des ventes réalisées sur les places de marché (ventes réalisées par les marchands hébergés sur les places de marché de l’iCE), a progressé de 15% en 2017. Une progression moins importante que l’an dernier, mais des ventes qui pèsent une part de plus en plus importante sur l’activité des sites. Elles représentent 29% du volume d’affaires total des sites participant à l’iPM (vs 27% en 2016).

L’indice iCM, qui mesure les ventes sur l’internet mobile (smartphones et tablettes, sites mobiles et applications hors téléchargements d’application et hors ventes sur les places de marchés) progresse de 38% en un an. L’année 2017 marquant une ré-accélération des ventes sur smartphones et tablettes. Près d’un tiers du volume d’affaires des sites du Panel iCM est désormais réalisé sur terminaux mobiles soit 6 points de plus sur un an.

Vente Privée

L’un des fleurons du mcommerce en France. En 2011 vente privée faisait environ 26% de son CA sur mobile, les ventes sur mobiles ont dépassé les 50 % du chiffre d’affaires et les 75 % du trafic en 2016 ! Depuis Mars, l’entreprise à créé un accélérateur « Impulse » dédié à la mode au sein de Station F pour grandir, garder son avance et répondre aux nouveaux usages ! La croissance est passée par le fait d’avoir des talents IT comme chez Amazon plus de 250 profils ont rejoint l’entreprise en 2017, pour accompagner la croissance de 2016, en passant de 2 à 3 milliard d’euros !

Par exemple, Fitle est une start-up qui développe une solution de sizing à destination de sites e-commerce avec un outil de recommandation de taille qui grâce à la 3D permet à l’utilisateur d’essayer des vêtements sur lui, en ligne et en temps réel à l’aide d’un smartphone !

Autre pépite, EasySize qui aide le consommateur à trouver sa taille en fonction de plusieurs critères et algorithmes comme sa morphologie, sa taille chez une marque donnée et ses préférences vestimentaires

 

Source : Services mobiles

Cyberacheteurs et mobile, tendances en matière de m-commerce

1 chiffre résume à lui seul ce monde qui est désormais définitivement mobile First : 3/4 des internautes ont acheté depuis leur mobile au cours de 6 derniers mois !

D’après l’Observatoire des Usages Internet de Médiamétrie au 4ème trimestre 2017, 37,4 millions d’internautes ont déjà effectué un achat en ligne, soit plus de 8 internautes sur 10 (83,7%). Cela représente 700 000 cyberacheteurs de plus qu’il y a un an. Ainsi aujourd’hui, 67% des Français sont des cyberacheteurs, contre 38% en 2007, soit une augmentation de 29 points en dix ans.

Plus de Cyberacheteurs et, en toute logique, un profil qui se rapproche de plus en plus de l’ensemble de la population. Le cyberacheteur est aussi bien une femme qu’un homme, un jeune ou un senior. Au-delà du profil du cyberacheteur, toutes les populations sont désormais adeptes de l’achat en ligne : 71% des hommes, 64% des femmes sont cyberacheteurs, idem pour 48% des individus de 65 ans et plus et 80% des 35-49 ans.

Médiametrie et la Fevad publient les résultats d’une étude exclusive « Cyberacheteurs et mobile » menée du 11 au 16 janvier 2018 auprès de 1 000 internautes dernier mois 15 ans et +. Cette étude vise à identifier et à mesurer les tendances en matière de m-commerce.

La 4G est indéniablement un facteur favorable au développement de l’achat en ligne sur mobile. 64% des internautes « dernier mois » sont équipés d’un téléphone mobile compatible 4G et plus d’un internaute sur deux (57%) a un abonnement 4G. Au 4ème trimestre 2017, 21% des utilisateurs de téléphone mobile ont réalisé un achat en ligne via leur mobile. C’est 5 points de plus qu’au 4ème trimestre 2015.

Les achats en ligne sur mobile se pratiquent le plus souvent en situation sédentaire. 72% des internautes équipés d’un mobile ont réalisé un achat via leur téléphone depuis leur domicile au cours des 6 derniers mois. Ils sont aussi 38% à avoir succombé à un achat en ligne depuis leur mobile… sur leur lieu de travail.

Les produits préférés des acheteurs sur mobile ? L’habillement au 1er rang, avec 14% des produits achetés, suivi de la beauté-santé pour 10% des achats.

Si le mobile ne se place pas encore en tête des écrans utilisés pour réaliser un achat en ligne, il a su se rendre indispensable pour préparer un achat. Trois quarts des internautes qui ont acheté depuis leur mobile au cours des 6 derniers mois utilisent celui-ci pour rechercher les caractéristiques du produit convoité, comparer son prix sur différents sites, consulter les commentaires et avis laissés par les (cyber)acheteurs qui les ont précédés.

60% des internautes dernier mois équipés d’un téléphone mobile ont même déjà utilisé leur mobile en magasin pour comparer les prix, lire les commentaires déposés ou encore prendre une photo du produit pour la partager. Le consommateur achète désormais en connaissance de causes. L’étude a également identifié les principaux freins à l’achat en ligne, avancés par les réticents : parmi eux, le manque d’habitude et le doute quant à la sécurisation des moyens de paiement l’emportent.

Des freins vraisemblablement contournables puisqu’ils permettent d’identifier des axes forts et prioritaires en termes de communication. Enfin, l’étude identifie un réel potentiel de développement de l’achat sur mobile : 34% des internautes prévoient d’effectuer plus d’achats sur les téléphones mobiles à l’avenir et 32% ont déjà remplacé l’ordinateur par les écrans mobiles pour effectuer des achats.

 

Source : Services mobiles

Retailers, ne ratez pas le virage du m-commerce

Avec un #frenchretail déjà en retard sur les habitudes de consommation des français, il ne faudrait pas passer maintenant à coté des usages… Pourtant, les acteurs de la profession, les médias, les institutionnels insistent tous sur l’importance de se « mobiliser » dans un univers où aujourd’hui, le mobile est le principal moyen d’accès au web.

Alors que les consommateurs passent en nombre au mobile, les e-commerçants ont encore beaucoup de progrès à faire en matière de m-commerce. Didier Nguyen, directeur commercial Europe du Sud chez Limelight Networks, fait le point sur les attentes des acheteurs et les solutions pour les combler.

Les mobiles représentent un segment croissant du commerce en ligne. Selon les statistiques, 62% des utilisateurs de mobiles ont déjà effectué des achats sur internet par ce biais et 42% des consommateurs se servent de leur smartphone ou tablette comme principal moyen d’accès à des sites web. L’usage généralisé des portables a des répercussions sur l’ensemble de l’environnement commercial, aussi bien au niveau des attentes des consommateurs en matière d’achats en ligne qu’au niveau de l’avenir des magasins ou centres commerciaux.

Certaines données récentes sur les attentes des consommateurs en matière de qualité de service numérique révèlent que 79% d’entre eux seraient prêts à recommander une marque après une expérience positive sur le Web. À l’inverse, 22% des cyberconsommateurs quittent une page web qui met plus de 3 secondes à se charger et 38% se tournent vers un site concurrent en cas d’expérience décevante. Pour éviter de perdre des clients au profit de la concurrence, les e-commerçants doivent tout mettre en oeuvre pour proposer une expérience probante de m-commerce en intégrant des technologies innovantes.

Le besoin de rapidité

Prendre conscience de l’importance de la vitesse de chargement des pages web pour les consommateurs mobiles est essentiel pour le commerce en ligne. Ainsi, selon d’autres études, chaque temps de latence supplémentaire de 100 millisecondes (ms) aboutit à 1% de baisse des ventes. Ce chiffre considérable illustre la nécessité d’accélérer le chargement des pages web pour les e-commerçants.

Avant tout, il est indispensable de comprendre ce qui cause un décalage entre le clic d’un consommateur sur un lien et le chargement de la page web correspondante. En fait, cela peut dépendre du débit de la connexion mobile comme de la proximité entre les serveurs web et les opérateurs mobiles, ainsi que de l’infrastructure internet à franchir pour les requêtes et les réponses. À cela s’ajoute le nombre d’objets figurant sur la page web de l’e-commerçant. Chaque requête envoyée par un consommateur lors de son interaction avec une page mobile peut donc donner lieu à un temps de latence de 20 à plus de 100 ms.

Partant de ce constat, comment les e-commerçants peuvent-ils faire évoluer leur stratégie mobile pour améliorer la vitesse de leurs pages web? Les protocoles modernes, par exemple HTTP/2, permettent de cumuler plusieurs requêtes sur la même connexion, ce qui réduit les latences pour afficher tout le contenu d’un site marchand. En outre, en rapprochant ce contenu des points d’accès de l’opérateur mobile, les e-commerçants peuvent raccourcir les échanges avec leurs serveurs et, par conséquent, le temps de chargement de chaque page.

Actualisation du contenu

En faisant leurs achats sur leur mobile, les clients ont généralement affaire à des pages web tant statiques que dynamiques. Le contenu des pages statiques évolue plus rarement et ne se met pas à jour à chaque seconde. En revanche, les pages dynamiques changent fréquemment avec du contenu personnalisé et en temps réel. Les requêtes pour ce type de contenu sont générées au fur et à mesure des interactions du consommateur avec le site marchand.

À titre d’exemple, dans le cas d’un consommateur cherchant à visualiser un vêtement dans un autre coloris, des requêtes de contenu dynamique de ce type sont générées spécifiquement pour chaque utilisateur accédant au site et doivent donc être retransmises au point d’origine à chaque visite d’une page. Il est essentiel d’optimiser la diffusion du contenu dynamique de façon à ne pas retarder les réponses envoyées au consommateur.

Un autre aspect important consiste à veiller à ce que les pages web mobiles soient spécialement conçues pour les écrans mobiles et non dérivées de celles formatées pour les ordinateurs de bureau ou portables. Nous avons tous vu des pages mal restituées en faisant des achats sur notre mobile.

L’actualisation peut également être source d’inconvénient lorsqu’un contenu incorrect est conservé en cache sur le réseau comme un prix qui n’est plus valable pour un article ou bien une référence se trouvant sur une page qui n’est plus disponible. En pareil cas, il peut être difficile de supprimer ce contenu obsolète rapidement. Fort heureusement, il existe aujourd’hui des mécanismes permettant de purger sans délai un contenu périmé, le rendant inaccessible quasi instantanément après sa suppression. Cela garantit un contenu en permanence accessible, à jour et exact.

Protection de l’infrastructure web

Selon l’étude 2016 Cyberthreat Defense Report, un e-commerçant sur trois a déjà subi un manque à gagner à la suite d’une cyberattaque, et très souvent les consommateurs évitent de se rendre sur un site marchand qui a été piraté. Les mobiles étant perçus comme le maillon faible de la sécurité, comment les e-commerçants peuvent-ils assurer la sécurité et la protection de leur site web et de leurs données clients?

La protection contre les cyberattaques recouvre de nombreux aspects, tels que le cryptage des données, le contrôle d’accès au contenu des sites… En vue d’une protection efficace, de nombreux e-commerçants commencent à se tourner vers des services dans le cloud pour toutes les mesures de sécurité. Le recours à un CDN leur garantit la protection de leurs sites web mobiles ainsi que la sécurité des données de leurs clients.

À quoi s’exposent les enseignes qui ne donnent pas la priorité aux mobiles? Il s’agit pour elles d’être omnicanal: le m-commerce, tout comme les achats sur ordinateur ou en magasin, est une représentation de la marque. Si les e-commerçants ne font pas en sorte de proposer l’expérience d’achat la plus rapide, la plus fiable et la plus sûre, ils risquent non seulement de perdre des clients mais aussi d’entacher leur image de marque. Alors que les analystes prévoient la fermeture de 30% de certaines galeries marchandes et centres commerciaux d’ici 2025, vraisemblablement en raison du succès du commerce en ligne et du m-commerce, il n’y a d’autre choix pour le commerce que d’offrir la meilleure expérience client sur les mobiles.

Source : ecommercemag

Burberry réalise 40% de ses ventes en ligne sur mobile

Mobilefirst #appsmobile 40% des ventes sur leur App… alors qu’elle n’existait pas l’année dernière ! BURBERRY n’a pourtant pas la réputation d’être un « early adopter » dans le digital. Mais leur initiatives montrent bien que l’action prime sur la réflexion et que la moindre campagne digitale n’est pas à l’abri d’être ultra performante (ex : sur le sac DK88)

Le groupe de luxe britannique a présenté de très bons résultats la semaine dernière, portés par les ventes en ligne et le marché chinois.

40% des ventes en ligne sont réalisées sur mobile chez Burberry. La marque britannique a présenté la semaine dernière ses résultats pour le premier trimestre 2017. En bonne forme, le groupe de luxe a réalisé 478 millions de livres de chiffre d’affaires sur le trimestre s’achevant en juin 2017, soit 534 millions d’euros. Les ventes progressent même de 4% sur le trimestre. Ces résultats, meilleurs que prévus par les analystes, sont également portés par les ventes en ligne et le mobile. Lancée l’an dernier et disponible sur 5 marchés, l’application Burberry représente 40% des ventes en ligne du groupe.

Un marché chinois performant grâce aux réseaux sociaux

Sur le trimestre, Burberry parvient à doubler ses revenus sur le marché chinois par rapport à la même période l’année dernière. Le groupe de luxe souligne dans son communiqué que ces bons chiffres ont été acquis grâce au triplement de l’engagement sur WeChat. Burberry a mis en place une campagne digitale pour son sac à main DK88 particulièrement réussie. Le nouveau CEO de Burberry, Marco Gobbetti, explique qu’il reste encore du chemin à parcourir, le groupe devant notamment se renforcer sur le marché américain.

Source : LSA

M-commerce : en forte progression, la France comble peu à peu son retard [Infographie]

Le m-commerce est un canal d’achat en tant que tel, nous en convenons tous … mais il faut aussi impérativement lier ces achats sur mobile (ce « e » qui se transforme en « m ») à son usage en magasin … car c’est une tendance lourde et qui sera au centre des comportements d’achat en point de vente dans les 5 années à venir. Nous utilisons tous notre mobile en point de vente, mais la qualité de la connexion est un handicap et l’offre fonctionnelle est désespérante (comparer un prix ? localiser ?….) pourtant le consommateur est en attente d’interactions, est demandeur de nouvelles expériences mobiles . La maitrise de l’eco-système spécifique au « mobile in store » sera donc le principal gisement de valeur ajouté en point de vente vs les comportements en magasin … Et on ne parle pas du mobile comme moyen de paiement …

A l’occasion de la seconde édition de l’Observatoire du Commerce Mobile, dévoilée le 6 juillet 2017, la Mobile Marketing Association France étudie cette fois le e-commerce sur mobile, qui connaît en France un véritable essor.

Le poids du m-commerce est estimé à 27,4% du e-commerce en France, selon la seconde édition de l’Observatoire du Commerce Mobile, publiée le 6 juillet 2017. Une progression qui a de quoi réjouir les professionnels du commerce. « Qu’il s’agisse de e-commerce mobile, d’achats in-App ou d’interactions en point de vente, le commerce mobile est en forte progression en France. Le focus sur les indicateurs de performance montre que dans un cas sur quatre, une mise au panier sur mobile se transforme en achat« , observe Pierre Gaymard, coordinateur de l’Observatoire du Commerce Mobile. La MMAF s’est intéressée à la fois au mobile en termes de canal d’achat mais également à l’utilisation du smartphone en magasin. Le constat est sans appel : 70% des consommateurs utilisent leur mobile en point de vente, principalement pour comparer les prix ou consulter des avis. Le mobile est aussi utilisé pour localiser une boutique (37%). « Le mobile remplit un rôle online et offline, résume Bertrand Jonquois, Rapporteur de la commission Commerce mobile de la Mobile Marketing Association France. Son utilisation en point de vente suscite donc de nouvelles interactions« . L’Observatoire du Commerce Mobile porte donc sur les achats en ligne mais intègre l’influence grandissante du smartphone sur les achats en points de vente, le mobile-to-store et le mobile-in-store, ainsi que la mutation programmée du smartphone en terminal de paiement. « Pour comprendre le poids réel du commerce mobile, il est important de dépasser l’idée communément admise que le m-commerce se résume au e-commerce sur smartphone de biens physiques ou dématérialisés« , poursuit Bertrand Jonquois.

Le smartphone stimule la hausse des transactions

Plus d’un quart des transactions digitales est réalisé sur mobile en France. Avec une part de 16,6%, les smartphones représentent désormais plus de 60% des  transactions mobiles. Le montant annuel moyen de transactions mobiles progresse de 7% en France en 2016. Mais il accélère bien nettement aux US et au UK à + de 10% de progression. La France progresse de 5% en transaction moyenne et 7% en volume annuel à 759 €. Le nombre de transactions mobiles a triplé en France en 3 ans. « Confirmation de l’accélération de l’activité, le montant annuel progresse plus vite que celui des transactions moyennes, ce qui traduit bien une croissance du nombre d’actes« , poursuit l’étude.

Sur 5 secteurs étudiés (grande distribution, équipement électronique, équipement maison, mode/luxe, équipement sport), le taux d’achat moyen ressort à 25,1% sur smartphones : lorsqu’un article est mis au panier, le comportement du mobinaute est plus proche de celui sur desktop, « signe de l’impulsivité du canal« , selon la MMAF. D’un secteur d’activité à un autre, le poids du mobile représente près d’un tiers de celui du desktop.

En progrès mais peut mieux faire

En atteignant 17,5 millions (+24%), le nombre d’acheteurs mobiles devrait progresser sensiblement en France mais reste en retard sur le Royaume-Uni (28,2 millions) et surtout l’Allemagne (31,4 millions), deux pays où le m-commerce est en plus forte croissance. Même retard sur le volume des ventes sur mobile : bien qu’il devrait progresser de 32% pour atteindre 13,3 milliards d’euros, il est déjà de 28,3 milliards en Allemagne et de plus de 31 milliards au Royaume-Uni. Les achats in-App affichent également une forte progression pour atteindre 570 millions de dollars en France, toutefois loin derrière l’Allemagne (800 M$) et surtout le Royaume-Uni (950 M$). « Le e-commerce et le m-commerce s’étant d’abord développés dans les pays anglo-saxons, ce retard est logique« , poursuit Bertrand Jonquois.

Si le poids du m-commerce progresse, la France demeure bien au-dessous de la moyenne mondiale (37,4%) et loin derrière des pays tels que le Royaume-Uni ou le Japon, où le m-commerce est désormais majoritaire.

La France en avance sur le paiement mobile

Mais la France n’est pas en retard sur tout. Si le smartphone est plus rarement utilisé pour payer des achats (7%), les paiements mobiles sont toutefois en forte progression (+35%) et touchent désormais plus de 2,3 millions de Français, ce qui place l’hexagone devant l’Allemagne ou l’Italie. La raison : « un écosystème des Fintech particulièrement  favorable » selon la MMAF, avec des acteurs tels que Lydia, désormais partenaire de grands noms de la distribution. « Historiquement, la France a basculé dans la monétique plus tôt que ses voisins européens. Le paiement mobile s’est donc ancré plus facilement, ainsi que le paiement sans contact« , ajoute Jérôme Bouteiller de la MMAF. A date, 60% des commerçants sont équipés de ce dispositif selon le Groupement des cartes bancaires CB.

Parmi les autres principaux enseignements de cet Observatoire, la MMAF note qu’Amazon est non seulement le site mobile le plus visité devant Leboncoin et Cdiscount, mais que le groupe américain domine également le classement des apps, devant Vente-Privée et FNAC. « Après Amazon, la majorité des e-commerçants du classement sont Français, ce qui est un très bon indicateur« , conclut Bertrand Jonquois.

L’infographie complète :

Méthodologie :

S’appuyant sur les données de RetailMeNot, comScore, Criteo, l’AFSCM, Cartes Bancaires CB, l’AFMM et App Annie, l’Observatoire du Commerce Mobile a pour objectif de fournir des indicateurs cle?s en matière d’e-commerce mobile, de paiement mobile, d’achats in-App mais également d’interactions mobiles en point de vente.

 Source : LSA

Le mobile : du commerce de proximité à distance

Alors ? Quelle stratégie mettre en place pour faire face au déplacement massif de l’audience sur Mobile ?

smartphone

Selon une étude publiée par Deloitte* en mars dernier, les Français se servent en particulier de leur mobile pour échanger des SMS (75 %), passer des appels téléphoniques (56 %) et échanger des e-mails (47 %). Ils sont 55 % à le consulter plus de 10 fois par jour (74 % chez les jeunes de 18 à 24 ans).

Le Mobile tient donc une place importante dans le quotidien des Français. Mais comment les marques, les enseignes appréhendent-elles ce déplacement massif de leur audience ? Quelles sont les nouvelles règles du jeu ? Comment optimiser au mieux ce canal avec une vision sur le long terme ?

Il y a 10 ans, le e-commerce devenait de plus en plus présent dans la vie des Français et continue de l’être. Tous les ans, ce marché enregistre une croissance à deux chiffres. Mais aujourd’hui, les pure players et les points de vente physiques vivent une mutation profonde ensemble, c’est le décloisonnement des deux promesses. Le consommateur est à la recherche d’une expérience « hybride » mêlant web, mobile et point de vente et les commerçants en face doivent être dans une approche omnicanale efficace et fluide.

La rentabilité du mobile n’est plus à prouver, en janvier dernier, la Fevad partageait son bilan annuel de 2016 en mentionnant les chiffres du M-Commerce : une augmentation de 30 % du nombre de transactions en un an ce qui amène aujourd’hui le mobile à représenter plus du quart du chiffre d’affaires du e-commerce. Au moment de la montée en puissance des smartphones, le mobile tenait une petite place dans la distribution des e-marchands, mais plusieurs d’entre eux ont beaucoup cru en ce canal et sont aujourd’hui ce qu’on appelle des « Mobile First », c’est le cas d’entreprises comme Showroomprive par exemple. L’entreprise indiquait au cours d’une récente table ronde organisée par la Mobile Marketing Association France que son audience se trouvait à 80 % sur le mobile et que ce canal représentait 60 % de son chiffre d’affaires.

Les pure players sont loin d’être les seuls concernés par cette transformation. La digitalisation du point de vente est un sujet qui ne date pas d’hier, mais avec l’omnicanalité qui s’impose chez tous les acteurs du commerce, il prend une place de plus en plus importante dans la mise en place d’une bonne stratégie de distribution. Au-delà du canal et des services proposés (coupons de réductions, promotions en push…), l’enjeu principal des magasins va se trouver dans la relation client. Le commerce physique permet une réelle proximité avec l’acheteur : des vendeurs qui créent un échange personnalisé, des experts qui rassurent sur la complexité technique de certains produits, des conseillers qui accompagnent dans la recherche d’un cadeau… Alors comment à l’ère de la digitalisation du point de vente, la relation humaine peut-elle être la même entre le commerçant et ses clients ? Faut-il choisir entre la relation de proximité avec un client et la digitalisation d’un commerce physique ?

Mais au fond, la distance aujourd’hui existe-t-elle vraiment avec le mobile ? Le mobile, avec le format message plus particulièrement, ne permet-il pas au contraire d’éliminer toute contrainte de temps et d’espace et donc de mieux s’adapter à cette exigence consommateur qu’est le ATAWAD (Any Time, Anywhere, Any Device) de Xavier Dalloz ? Le format message sur mobile offre de nombreux avantages : il est asynchrone, il permet de garder une traçabilité de la discussion de façon indéterminée et surtout il permet au consommateur d’utiliser son mode de consommation préféré dans son quotidien pour échanger avec les marques. L’approche conversationnelle change également la donne. Depuis quelque temps, les marques peuvent faire parvenir un message promotionnel au consommateur sans que celui-ci ne puisse répondre ou sans qu’il ait lui la possibilité de prendre contact avec elles en passant par le même format ! En permettant au consommateur d’engager la discussion par message sur son mobile, les marques augmentent de façon certaine la qualité de leur relation client.

Le format messaging va continuer à prendre une place de plus en plus importante dans l’échange entre les entreprises et leurs clients. L’annonce par Google du déploiement de son offre RCS va dans ce sens, on repousse les limites du SMS avant tout pour mieux s’en servir commercialement. Le Rich Communication Service va permettre aux marques de s’appuyer sur tous les avantages du format message enrichi : communication en groupe, envoi de photos, vidéos et cela représente réellement une aubaine. Il peut quand même paraître incroyable que des services client dans les entreprises s’appuient sur le mode de communication préféré des clients afin d’améliorer les relations, et donc la satisfaction. Imaginons un appel à un service client qui doit nous aider dans la gestion d’un problème d’installation d’électroménager ou informatique, le conseiller et le client vont parler la même langue grâce à la transmission d’informations visuelles en temps réel ! Aujourd’hui, les consommateurs préfèrent le message au mail, simple, rapide, discret et asynchrone et le RCS est parfaitement en phase avec ce qu’on peut attendre en termes de services à l’ère du digital.

*étude Deloitte sur « les Usages du mobile en 2016 »

Source : Les Echos

Transformation digitale : votre PME-TPE BtoB ne pourra pas s’en passer !

Time to mcommerce ! Un seul chiffre qui résume l’IMPERATIVE nécessité de lancer le chantier DIGITALISATION en PME : 47% des entreprises françaises de plus de 250 salariés vendent en ligne contre seulement 11% des PME françaises ….

 

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Si hier, le digital semblait être un effet de mode, aujourd’hui le doute n’est plus permis. Plus qu’une tendance, il s’agit aujourd’hui d’un véritable levier de croissance pour les entreprises, et ce, en BtoB comme en BtoC. Nouveaux objets connectés, Cloud, Big Data… Autant d’outils de plus en plus sophistiqués au service de la performance commerciale des entreprises

 

Selon McKinsey, le numérique pèse pour plus de 110 milliards d’euros dans le PIB en France, ce qui est supérieur aux services financiers ou à l’agriculture. D’ici 2025, le potentiel de création de valeur des technologies du numérique est quant à lui estimé à 1 000 milliards d’euros. Face à cette ascension fulgurante du numérique, il semble difficile de passer à côté de la transformation digitale, non ?

La frilosité des TPE et PME face à la transformation digitale

Ne nous ne le cachons pas, l’avancée des entreprises dans la transition digitale dépend souvent de leur secteur d’activité. Il s’agit en effet d’évoluer face à la concurrence, de plus en plus prononcée à l’ère du tout-Internet. Démocratisation des outils digitaux, multiplication des canaux de communication, évolution du comportement des prospects… Les entreprises doivent dorénavant composer avec ces changements et surfer sur la vague digitale plutôt que nager à contre-courant !

Mais jusqu’à présent, ceux qui tirent les avantages de ces changements sont bien les grandes entreprises. Selon une étude de Facebook en collaboration avec le cabinet Deloitte, 47% des entreprises françaises de plus de 250 salariés sont capables de vendre leurs produits en ligne, contre seulement 11,5% des PME françaises. Un gâchis pour les PME et TPE, lorsque l’on sait qu’il existe 30 millions de consommateurs en ligne en France !

Oui, la transformation digitale devient nécessaire !

La culture du digital est bel et bien née et se généralise au fil du temps. Avec elle, de nouveaux enjeux de croissance ont fait leur apparition et doivent enfin vous décider à entamer votre transition numérique :

  • Développer sa notoriété sur le Web : selon l’INSEEC Digital Institute, on comptait en 2016, 2 milliards d’individus connectés à Internet. Il paraît donc difficile d’omettre les canaux du Web pour prospecter, non ?
  • Trouver une nouvelle source de croissance : d’après le cabinet Roland Berger, les entreprises accélérant leur transformation digitale pourraient doubler leur taux de croissance.
  • Ne pas perdre du terrain face à la concurrence : peu importe où vous vous situez sur le marché, la digitalisation est une réelle opportunité de croissance. Si vous tardez à entamer votre transition digitale, il y a fort à parier que vous perdrez des parts de marché au profit de vos concurrents, qui auront été plus réactifs.
  • Doper sa productivité : en ayant recours aux outils de gestion de projet en ligne, vous permettrez aux salariés de votre TPE ou PME BtoB un gain de temps considérable via l’automatisation de certaines tâches… temps qu’ils pourront consacrer à leurs activités prioritaires !
  • Booster son chiffre d’affaires annuel : en commercialisant vos produits ou services sur le Web via des sites optimisés grâce à une stratégie de SEO pertinente, vous augmentez vos chances d’être repéré par vos prospects et collectez dans un autre temps des informations indispensables sur ceux-ci.
  • Gagner en rentabilité : les entreprises qui ont réussi leur transition digitale sont en moyenne 26% plus rentables que leurs pairs !

Vous l’aurez compris, la transformation digitale est une réelle opportunité pour les TPE et PME BtoB d’accélérer leur développement commercial à moindre coût. Pour atteindre ces objectifs, à vous d’adopter les meilleures pratiques !

4 étapes pour réussir la transformation digitale de son entreprise BtoB

Si la transformation numérique passe par une mise à niveau des outils technologiques de votre entreprise, il ne faut cependant pas omettre l’évolution nécessaire des activités et comportements au sein de celle-ci :

  • Repenser son business model : pour les entreprises, les fondamentaux s’articulent autour du chiffre d’affaires et de la marge. Pour continuer à être rentable à l’ère du tout-digital, il est donc nécessaire de réfléchir à son organisation, qui doit adapter ses offres en fonction du nouveau comportement des prospects.
  • Réétudier son organisation interne : pour une transition digitale correctement établie, il est indispensable d’étudier les besoins selon chaque branche de l’entreprise. Cela est souvent du ressort du Chief Digital Officer (CDO), qui devra établir la stratégie digitale, ses objectifs, et accompagner les équipes dans son exécution. L’alignement des équipes et une bonne coordination sont de mise pour une transformation digitale réussie !
  • Ne pas délaisser la dimension RH : sans les compétences nécessaires en interne, il sera difficile pour une TPE ou PME BtoB de lancer correctement sa transition numérique. Faites donc confiance à votre DRH ou responsable RH pour recruter des profils compétents. Ne l’oubliez pas, de nombreux acteurs du digital ont pour objectif d’aider les entreprises dans leur transition digitale. Vous pouvez tout à fait faire appel à une agence SEO, agence de communication digitale ou bien de marketing digital, plutôt que recruter une équipe digitale dans sa totalité !
  • Faire de l’expérience client une priorité : vos prospects sont plus autonomes qu’auparavant et plus exigeants ; à vous de tout mettre en œuvre pour capter leur attention ! Stratégie multicanale, marketing de contenu… Autant de leviers à actionner selon les données que vous aurez préalablement récoltées sur vos prospects, grâce aux outils digitaux tels que le tracking.

Si le budget est à première vue le frein principal des entreprises souhaitant entamer leur transformation digitale, c’est en réalité l’alignement managérial qui semble poser problème à toute évolution. Mais l’erreur la plus importante pour les TPE et PME serait de penser que la digitalisation est réservée aux poids lourds du BtoB. Le Web recèle d’outils toujours plus innovants, combinés au sein du concept de prospection digitale, qui sont abordables pour les petites sociétés. Et sous couvert d’une volonté des équipes et des dirigeants, le projet de transition numérique est engageant et porteur de réelles opportunités de croissance pour toutes les entreprises !

 

Source : Webmarketing-com

[INFOGRAPHIE] Les comportements d’achats sur mobile

Quelles sont les habitudes d’achats de la génération Y sur mobile ? (Vous savez cette génération de digital natives, nourris aux internet, où 73% d’entre eux dorment avec leur mobile ) Qu’achète-t-elle sur mobile : des fleurs ? de la nourriture ? … Merci à Skilled pour cette infographie!

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Avec un peu plus d’1/4 des achats web réalisés depuis un mobile, le m-commerce est désormais une réalité avec laquelle les marques doivent impérativement composer. Comportements d’achats, moyens de paiement, impact des réseaux sociaux, personnalisation de l’offre… Cette infographie liste les étapes à suivre pour ne pas passer à côté de cette tendance de fond qu’est devenu le commerce mobile.

 

Habitudes de consommations, méthodes de promotion efficaces, best practices de certaines marques…

Skilled propose par le biais de cette infographie dix conseils intéressants à prendre en compte pour créer des stratégies efficaces en terme de commerce mobile aujourd’hui, notamment auprès de la génération Y, très férue de m-commerce…

 

 

 

La génération Y comme cible prioritaire

Lorsque l’on s’intéresse au commerce mobile, la génération Y est la première des cibles à prendre en compte.

Nourris à la sauce Internet illimité, ces acheteurs potentiels préfèrent acheter en ligne sur leurs smartphones que sur leurs ordinateurs.

Ensuite, il ne faut pas perdre de vue que les consommateurs de la génération Y sont susceptibles d’adopter les tous nouveaux portefeuilles mobiles, et qu’il peut être intéressant de se rapprocher des secteurs des réservations d’hôtel ou encore de billets d’avions, qui ne demandent qu’à être développés sur smartphone.

 

Mixer social et mobile

En terme de promotion, les réseaux sociaux se révèlent être un support de choix pour toucher les mobinautes.

En effet, les acteurs de la génération Y sont des utilisateurs continus de leurs smartphones et y jettent un coup d’oeil en général moins d’une heure après leur réveil. Plus encore, 73% d’entre eux dorment avec leur smartphone !

Ceci associé avec leur consommation effrénée de contenu sur tous les réseaux sociaux confirme évidemment que le ciblage des consommateurs sur mobile passe par la publicité sur les réseaux sociaux pour un maximum de visibilité.

Jouer sur la « fear of missing out » et le besoin compulsif de partage sur les réseaux sociaux peut également être un bon moyen d’aider au développement de sa marque en terme de commerce mobile.

 

Tout ne s’achète pas sur mobile

Il est essentiel pour toute marque voulant se lancer et se développer en terme de commerce mobile, de bien connaître les goûts et préférences de ses acheteurs cibles.

A tire d’exemple, il est intéressant de savoir que 40% de la génération Y dépense plus en fleurs via le commerce mobile que dans tout autre produit, suivi de près par les courses de taxi et les réservations en tous genres.

Les entrepreneurs, eux, préfèrent se concentrer sur les réservations Uber tandis que les lycéens ont démocratisé une bonne fois pour toute la commande et la livraison de nourriture en ligne.

Les jeunes parents et les employés à temps complet sont, quant à eux, parmi les premiers utilisateurs de banques en ligne.

 

Comme pour le commerce classique, vendre sur mobile impose donc de s’adapter aux pratiques des acheteurs et de cibler son offre en fonction de leurs attentes.

Rien de bien nouveau en somme, si ce n’est qu’en matière de connaissance clients et de personnalisation, le smartphone offre des possibilités quasi infinies aux commerçants d’aujourd’hui…

 

Source : comarketing-news